Président de Madagascar depuis 2014, il est né en 1958 à Antsofinondry, au centre de l’île. Il obtient une maîtrise en sciences économiques avant de partir au Canada étudier la finance et la comptabilité. Diplômé, il revient et débute une carrière d’enseignant dans ces domaines. Dans le même temps, Il poursuit une carrière d’expert-comptable et devient vice-président du Conseil supérieur de comptabilité. En 2009, il est nommé à la tête du ministère des Finances et du Budget.
Depuis qu’il a remis les clés du palais d’Iavoloha à Hery Rajaonarimampianina, l’ancien président de la transition ne fait que de courts séjours sur la Grande Île. Il est loin d’en être déconnecté pour autant.
Personne ne l’attendait à ce poste, et c’est peu dire que ses adversaires ne l’ont pas ménagé, mais, en deux ans, Hery Rajaonarimampianina est parvenu à s’imposer à la tête du pays.
Renforcé par la victoire écrasante (plus de 60 % des suffrages) du HVM, son nouveau parti, aux élections sénatoriales du 29 décembre, le président Hery Rajaonarimampianina envisagerait sérieusement de remanier en profondeur son gouvernement de large coalition, qu’il juge paralysé par les luttes d’influence en son sein.
Le HVM, le parti du chef de l’État, a facilement remporté les élections sénatoriales du 29 décembre 2015, avec plus de 60 % des suffrages exprimés, selon les résultats annoncés le 9 janvier.
La Haute cour constitutionnelle de Madagascar a rejeté samedi comme non fondée la demande de destitution du président Hery Rajaonarimampianina votée par l’Assemblée nationale le 26 mai.
La chaîne de télévision Viva, propriété de Andry Rajoelina, a été en partie coupée mardi par les autorités, quelques heures après l’interpellation d’une députée de la formation politique de l’ex-homme fort de Madagascar.
Deux jours après la démission de Kolo Roger, le président malgache Hery Rajaonarimampianina a nommé mercredi le général Jean Ravelonarivo Premier ministre de la Grande Île. Le nouveau chef du gouvernement est un militaire peu connu du grand public.
C’est une rencontre très attendue qui se tient ce vendredi à Ivato, en périphérie d’Antananarivo, entre tous les anciens chefs d’État malgaches encore en vie autour de l’actuel président. Une réunion convoquée à l’instigation du Conseil œcuménique des églises chrétiennes du pays.
On est sans nouvelles de Marc Ravalomanana, l’ancien président malgache, arrêté lundi alors qu’il était de retour à Madagascar pour la première fois depuis sa chute en 2009. Son fils a accusé mardi les autorités d’avoir kidnappé son père.
De retour de son exil en Afrique du Sud, lundi, Marc Ravalomanana n’a pas été arrêté mais « mis en sécurité », selon Hery Rajaonarimampianina, le président malgache.
Deux mois et demi après son investiture, le chef de l’État, Hery Rajaonarimampianina, a enfin nommé un Premier ministre. Retour sur un acte par lequel il s’affranchit de son prédécesseur et encombrant parrain, Andry Rajoelina.
En visite à Paris, Hery Rajaonarimampianina, le nouveau président malgache a présenté les premières orientations économiques de son mandat. Fin connaisseur des dossiers économiques, il bénéficie d’un a priori positif de la part des entrepreneurs. Mais ceux-ci attendent fébrilement la nomination d’un nouveau gouvernement.
Il aurait dû n’être que l’homme lige d’Andry Rajoelina. Mais, loin de satisfaire les attentes de celui à qui il doit son élection à la présidence de Madagascar, Hery entend gouverner à sa guise.
Hery Rajaonarimampianina, le nouveau président de Madagascar, a repris mot pour mot le passage d’un discours de l’ex-chef de l’État français, Nicolas Sarkozy, durant son allocution d’investiture.
Le nouveau président de Madagascar Hery Rajaonarimampianina s’est fait le champion de l’unité nationale, annonçant une politique de la main tendue au camp de l’ex-président Marc Ravalomanana, lors de son investiture samedi à Antananarivo.
Il y a cinq ans, l’expert-comptable Hery Rajaonarimampianina n’aurait jamais songé à une carrière politique… et encore moins à la présidence ! Son élection doit beaucoup – sinon tout – à son prédécesseur, Andry Rajoelina.
Hery Rajaonarimampianina, soutenu par l’ancien homme fort du régime de transition Andry Rajoelina, a été officiellement déclaré nouveau président de Madagascar vendredi.
Le parti de l’ancien président malgache Marc Ravalomanana a menacé samedi de faire descendre ses partisans dans la rue si la Cour électorale spéciale (CES) ne reconnaissait pas la victoire de son candidat Robinson Jean Louis à la présidentielle.
L’élection présidentielle malgache a été remportée par le candidat soutenu par le régime sortant, Hery Rajaonarimampianina, selon le décompte définitif rendu public vendredi. La confirmation de sa victoire dépend désormais de la décision d’une Cour chargée d’examiner les recours en annulation déposés par son adversaire.
Les résultats provisoires publiés, lundi, par la Commission électorale donnent une confortable avance à Hery Rajaonarimamapianina, candidat du régime à l’élection présidentielle de Madagascar.
Après dépouillement des bulletins dans deux tiers des bureaux de vote, Hery Rajaonarimampianina, le candidat soutenu par Andry Rajoelina, était toujours en tête de l’élection présidentielle à Madagascar avec 51,81% des suffrages exprimés. Les résultats définitifs sont attendus pour le début du mois de janvier.
Le second tour de l’élection présidentielle malgache opposera Robinson Jean-Louis (21,6%) à Hery Rajaonarimampianina (15,93%). Les résultats ont été publiés vendredi par la Commission électorale.
Lundi à la mi-journée, les résultats publiés par la Commission électorale portaient sur un quart des bureaux de vote. Ils confirmaient la tendance d’un duel entre Robinson Jean Louis et Hery Rajaonarimampianina au second tour de la présidentielle malgache.
Le président sortant et son prédécesseur n’ont pas pu se présenter à l’élection qui a débuté ce 25 octobre ? Qu’à cela ne tienne, ils ont trouvé leurs poulains : Hery et Robinson.
On savait qu’Andry Rajoelina soutenait Hery Rajaonarimampianina à la présidentielle malgache. Mais un autre Rajoelina a fait son appartition parmi les soutiens du candidat.