Face à l’ascension de Donald Trump dans les sondages, Hillary Clinton a tenté jeudi de redorer son image, écornée par les soupçons pesant sur sa santé, renforcés récemment par un malaise à la suite duquel le médecin de la candidate à la Maison Blanche a annoncé qu’elle était atteinte d’une pneumonie.
On imagine mal l’ancien président jouer les potiches si Hillary était élue. Mais comment va-t-il s’accommoder de cette situation inédite et aider son épouse sans la gêner ?
Il est le « Monsieur Afrique » de Hillary Clinton. Sa priorité : les pays anglophones. Son chouchou : le Nigeria. Et – il le fait savoir haut et fort – il n’aime pas les présidents qui s’accrochent au pouvoir.
Derrière son nom consensuel à vocation panafricaine, l’ONG américaine United for Africa’s Democratic Future (« unis pour l’avenir démocratique de l’Afrique ») se concentre en réalité sur la RD Congo et préconise le départ du président Joseph Kabila à la fin de son dernier mandat constitutionnel, en décembre.
Autant le dire d’emblée : s’il est un point sur lequel concordent les campagnes électorales de Hillary Clinton et de Donald Trump pour la présidentielle américaine du 8 novembre, c’est bien l’inexistence du moindre enjeu africain.
De Barack Obama jusqu’à son propre camp républicain, Donald Trump fait l’objet de sévères critiques après s’en être pris à la famille d’un officier musulman de l’armée américaine, mort au combat.
L’ancienne First Lady est devenue mardi la première femme candidate d’un grand parti à la présidentielle américaine. Son époux et ancien président Bill Clinton lui a rendu un vibrant hommage.
Les Américains sont capables de tout ! De porter un Noir à la Maison Blanche et peut-être une femme, demain, si Hillary Clinton l’emporte. Mais aussi, hélas, d’élire Donald Trump…
Décédée trois ans avant la primaire démocrate de 2008 qui vit s’affronter Barack Obama et Hillary Clinton, Shirley Chisholm avait déjà commencé à faire bouger les lignes en 1972. Portrait d’une femme qui avait du cran.
Le vainqueur des primaires à l’investiture républicaine Donald Trump devrait être investi mardi par les délégués républicains, réunis à Cleveland, dans l’Ohio (nord).
Qui sera candidat à la vice-présidence, en novembre ? Hillary Clinton hésite entre une dizaine de colistiers. Et Donald Trump n’a pas vraiment l’embarras du choix.
Bernie Sanders, candidat à la primaire démocrate en vue de l’élection présidentielle américaine, a officiellement annoncé vendredi qu’il voterait pour Hilary Clinton.
Le candidat républicain à la présidence américaine, Donald Trump, a déclaré, lors d’une interview à la chaîne CBS dimanche, avoir « gagné beaucoup d’argent avec Kadhafi ».
Tout porte à croire que la présidentielle de novembre 2016 sera un duel entre Hillary Clinton et Donald Trump aux États-unis. Les deux candidats ont consolidé leur position de favoris aux primaires démocrates et républicaines mardi.
La pierre tombale du père d’Hillary Clinton a été renversée dans le cimetière de Pennsylvanie, dans l’est des États-Unis, où il est enterré, peu après l’annonce de la candidature de Mme Clinton à la présidence, a annoncé mercredi la police.
La démocrate Hillary Clinton a officialisé dimanche, dans une vidéo diffusée sur le site hillaryclinton.com, sa candidature à l’investiture présidentielle de 2016, sa deuxième tentative pour devenir la première femme à diriger les États-Unis.
L’ex-First Lady s’apprête à annoncer sa candidature à la présidentielle de 2016. Sa désignation par le Parti démocrate ne sera qu’une formalité. Mais la suite s’annonce plus compliquée.
L’épouse de Bill Clinton n’est pas encore candidate à la présidentielle de 2016, mais nul doute qu’elle le sera bientôt. Sera-t-elle la première femme à accéder à la Maison Blanche ? Retour sur vingt ans de carrière au plus haut niveau.
Comme Hillary, Chelsea Clinton est douée d’un phénoménal sens des affaires. En politique, elle se contente pour l’instant de donner un coup de main à sa génitrice. En attendant mieux ?
Ex-First Lady, ex-secrétaire d’État et ex-rivale d’Obama, Hillary Clinton est loin d’avoir fait une croix sur la présidence. Son staff de campagne est déjà en place et piaffe d’impatience. Si tout va bien, elle deviendra en 2016 la première femme à diriger l’hyperpuissance planétaire.
Sa popularité est au plus haut, elle pourrait être la candidate démocrate à la présidentielle américaine… Mais voilà que ses confidences à une amie sortent dans les médias. Comme par hasard.
Depuis sa bataille avec Obama en 2008, ses relations avec la communauté noire se sont dégradées. Un retour de flamme est-il possible avant la présidentielle de 2016 ? Hillary Clinton en est convaincue.
Avant de passer le relais à John Kerry, la secrétaire d’État a lancé une ultime mise en garde contre le terrorisme islamiste en Afrique du Nord. Et prôné la plus grande fermeté.
Victime d’une thrombose, Hillary Clinton a passé la fin de l’année à l’hôpital. Elle est sortie début janvier, mais sa santé fragilisée sonne-t-elle la fin de ses ambitions présidentielles pour 2016 ?
La secrétaire d’État américaine, Hillary Clinton, était à Alger lundi 29 octobre pour une visite éclair d’une dizaine d’heures. Elle a appelé l’Algérie à jouer un rôle « central » dans la résolution de la crise au Mali.