Hosni Moubarak est un homme d’État égyptien. Après une carrière militaire, il devient en avril 1975 vice-président de la République. Après l’assassinat d’Anouar el-Sadate, il est élu président de la République le 13 octobre 1981. Il sera réélu en 1987, 1993, 1999 et en 2005 avec 88,5 % des voix, officiellement élection multipartite. À partir du 25 janvier 2011, il doit faire face à la révolution égyptienne de ses citoyens, qui ne supportent plus la dictature policière. Il démissionne le 11 février 2011. Il sera condamné par la justice égyptienne, inculpé pour avoir ordonné la mort de manifestants.
Après six ans de procédure judiciaire, l’ex-président égyptien recouvre la liberté. Il était accusé de complicité dans la mort de manifestants lors des révoltes de 2011.
Hosni Moubarak n’en a pas fini avec la justice. Dix jours après l’annonce de sa libération prochaine, une enquête pour corruption a été rouverte contre l’ancien raïs.
Hosni Moubarak, l’ancien président égyptien pourrait être remis en liberté prochainement. Farid Al-Deeb, son avocat, a assuré à la presse que le parquet avait accepté ce 13 mars sa demande de remise en liberté, après qu’il a été acquitté par la cour de Cassation, au Caire, début mars.
Pour ce professeur de sciences politiques, l’avenir du monde arabe est à gauche. À condition que les progressistes continuent de résister aux islamistes et aux droites conservatrices.
Les avoirs en Suisse de l’ex-président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali resteront gelés un an de plus afin d’accorder plus de temps aux enquêtes pénales en cours et de soutenir la coopération judiciaire, a fait savoir le gouvernement suisse dans un communiqué.
Depuis son éviction du pouvoir en 2011, l’ancien raïs est maintenu en résidence surveillée dans une chambre d’hôpital, au Caire, avec vue sur le Nil. Récit d’une petite vie bien tranquille.
L’organisation du forum Africa 2016 illustre la volonté des autorités de renouer avec une appartenance continentale consacrée par la Constitution de 2014. Reportage.
La chaîne Arte édite en DVD un documentaire de Jihan el-Tahri qui retrace les parcours de Nasser, de Sadate et de Moubarak. Et fait apparaître en creux celui de l’actuel homme fort du pays.
Un tribunal égyptien a ordonné lundi la remise en liberté des deux fils de l’ex-président Hosni Moubarak, condamnés en mai à trois ans de prison dans une affaire de corruption.
Il faisait partie des activistes filmés dans le documentaire « The Square ». Quatre ans après, Ahmed Hassan raconte ses espoirs, ses déceptions, ses certitudes.
Alors que les législatives sont annoncées pour septembre, les nombreux partis créés après la révolution risquent de ne pas présenter beaucoup de candidats… Explications.
Réformes radicales, répression de l’opposition, lutte contre le terrorisme… Le Premier ministre égyptien dresse le bilan de son action, deux ans après la destitution de l’ancien président islamiste Mohamed Morsi.
de sa première année aux commandes de la « nouvelle Égypte ».
La place Tahrir est relookée, la capitale s’affaire, le pays revient sur le devant de la scène internationale. Les Égyptiens sont optimistes, mais s’inquiètent de la menace terroriste et de l’instabilité régionale.
Hosni Moubarak sera finalement jugé pour les meurtres des manifestants lors de la révolte populaire de 2011 qui l’avait chassé du pouvoir. La Cour de cassation du Caire vient d’annuler l’abandon des accusations de complicité contre lui.
L’ex-président égyptien Hosni Moubarak, chassé du pouvoir par une révolte populaire en 2011, a été condamné samedi à trois années de prison, tout comme ses deux fils, pour avoir détourné plus de 10 millions d’euros de fonds publics.
Blanchi en novembre des accusations de meurtre de manifestants pendant la révolte de 2011, l’ex-président égyptien sera face de nouveau à la justice à partir du 4 avril pour un procès pour corruption.
Un tribunal égyptien a ordonné aujourd’hui la libération d’Alaa et de Gamal Moubarak, les deux fils de l’ex-président Hosni Moubarak. Mais un nouvel épisode judiciaire les attend.
Le procès Moubarak va rebondir en appel. Mardi, le procureur général égyptien a annoncé qu’il interjetait appel de l’abandon de l’accusation de complicité de meurtre à l’encontre de l’ancien chef de l’État, Hosni Moubarak.
Hosni Moubarak a été condamné mercredi à trois ans de prison pour corruption. En juin 2012, l’ex-président égyptien était déjà condamné à la prison à vie pour avoir ordonné à l’armée de tirer sur les manifestants qui réclamaient son départ. Une affaire qui est de nouveau rejugée.
L’ancien président égyptien, Hosni Moubarak, a comparu mercredi devant un tribunal égyptien pour détournement de fonds publics, selon des images diffusées par la télévision nationale. Il est poursuivi en tout dans quatre affaires distinctes.
L’ex-président égyptien, Hosni Moubarak, a quitté, jeudi 22 août, sa prison du Caire pour être assigné à résidence dans un hôpital militaire. Son procès pour meurtre de manifestants reprendra dimanche prochain.
L’ancien président égyptien Hosni Moubarak a été remis en liberté conditionnelle dans l’attente d’un procès dans une affaire de corruption, mais il reste détenu pour un dernier chef d’inculpation.
Dans une interview publiée dans un journal local, l’ex-président égyptien Hosni Moubarak, poursuivi pour la mort de manifestants, se dit certain d’être jugé « justement » par les générations futures. Son avocat a toutefois catégoriquement démenti que l’entretien ait eu lieu.
L’ex-président égyptien Hosni Moubarak a comparu samedi au Caire pour son nouveau procès, dernier épisode en date d’un long feuilleton judiciaire pour tenter d’établir sa part de responsabilité dans la répression meurtrière de la révolte contre son régime début 2011.
La justice égyptienne a ordonné lundi 15 avril la libération conditionnelle de Hosni Moubarak, poursuivi pour la mort de centaines de manifestants lors de la révolution égyptienne. L’ancien président reste toutefois en détention pour d’autres affaires.
Selon son avocat, Farid al-Dib, le président déchu Hosni Moubarak est « triste et frustré » devant la multiplication des manifestations violentes qui ont pour but de dénoncer la politique de son successeur Mohamed Morsi.