Président de la République de Djibouti depuis 1999, il est né en Éthiopie en 1947. Il s’investit dans la Ligue populaire africaine pour l’indépendance (LPAI) en 1974, jusqu’à être évincé de la “sûreté générale”. Trois ans plus tard, dès l’indépendance du pays, il devient chef du cabinet du président. Élu à la tête du Rassemblement populaire pour le progrès (RPP) en 1981, il dirige le comité central et la commission culturelle du parti.
Lula Ali Ismaïl tournera en octobre le premier long-métrage djiboutien, Dhalinyaro, qui évoque le quotidien et les espoirs des jeunes filles de son pays.
Une délégation, conduite par le président Ismaïl Omar Guelleh, s’est rendue à Londres le 8 mai. Objectif : inciter les investisseurs britanniques à s’intéresser à cette petite République, porte d’entrée du commerce à destination de l’Afrique.
Pour la première fois depuis l’indépendance, l’opposition devrait faire son entrée au Parlement de Djibouti à l’issue des législatives du 22 février. La majorité présidentielle de Ismaïl Omar Guelleh n’est pas véritablement menacée, mais elle pourrait tout de même y laisser des plumes.
Suite à ses revers électoraux du début d’année, le parti djiboutien du Rassemblement populaire pour le progrès a joué la carte du changement en renouvelant les deux tiers de son bureau politique.
Le président de Djibouti, Ismaïl Omar Guelleh a signé avec son homologue français, Nicolas Sarkozy, un nouveau traité de coopération militaire, lors d’une visite à Paris le 21 décembre 2011.
Ismaïl Omar Guelleh, le chef d’Etat djiboutien, est arrivé à Paris mercredi 21 décembre pour signer de nouveaux accords de coopération militaire avec la France. Il doit être reçu à l’Elysée par Nicolas Sarkozy.
Révolutions arabes, Somalie, Érythrée, piraterie, mais aussi la situation intérieure d’un pays qui « était né pour mourir »…Le chef de l’État Ismaïl Omar Guelleh, à l’orée de son ultime mandat, livre ses vérités.
Le président djiboutien Ismaïl Omar Guelleh a mis sur pied une équipe gouvernementale rajeunie, chargée de conduire les chantiers prioritaires : lutte contre le chômage et amélioration des performances économiques.
Après une présidentielle remportée facilement, le président djiboutien Ismaïl Omar Guelleh a prêté serment pour un troisième mandat. Le dernier, a-t-il promis.
Le président sortant de Djibouti, Ismaël Omar Guelleh, a remporté l’élection présidentielle de vendredi avec 79,26% des voix, selon des résultats annoncés samedi par le ministre de l’Intérieur portant sur 90% des bureaux de vote.
Il a suffi d’une manifestation violente, le 18 février, au cœur de Djibouti-ville, avec le concours de l’opposition radicale, pour que le grand voisin éthiopien s’inquiète.
Le chef de l’État djiboutien a décidé de jouer les prolongations à la faveur d’une révision de la Constitution lui permettant de se représenter. Il s’en explique dans un long entretien. Et parle aussi des relations de son pays avec la France, des « affaires » et d’une Corne de l’Afrique sous haute tension.
Dans un long entretien à « Jeune Afrique », le chef de l’État djiboutien évoque la récente révision constitutionnelle, son possible troisième mandat, et les grands dossiers du moment.
Un opposant et homme d’affaire franco-djiboutien a porté plainte à Paris contre le président de Djibouti. Il l’accuse d’assassinat et d’extorison. Depuis deux ans, lui et son entourage sont harcelés, selon lui parce qu’il pourrait peser sur le prochain scrutin présidentiel.
De la crise en Somalie à l’affaire du juge français Bernard Borel, en passant par ses projets ferroviaires et pétroliers, le chef de l’État djiboutien livre sa vision de l’avenir dans la Corne de l’Afrique.