Président de l’Érythrée depuis l’indépendance du pays en 1993, il est né en 1946, à Asmara, la capitale. Après des études d’ingénieur en Éthiopie, il rejoint le Front populaire de libération de l’Érythrée (FPLE) en 1970. Dix-sept ans plus tard, il est nommé secrétaire général de ce mouvement séparatiste. Désormais, le FPLE devient le Front populaire pour la justice et la démocratique (FJD) et reste le parti unique de l’État.
À 87 ans, Béji Caïd Essebsi se pose déjà en futur président de la République tunisienne. Blaise Compaoré, lui, vient de quitter la présidence burkinabè qu’il occupait depuis vingt-sept années. L’occasion de faire un point sur la vieillesse et le pouvoir en Afrique.
Créé en 2001, Wikipédia s’est imposée depuis comme l’encyclopédie numérique la plus consultée au monde. Participative, elle rassemble des informations collectées par les utilisateurs mais elle permet également de prendre le pouls de la webosphère. Voici les présidents africains qui intéressent le plus les internautes.
Quels chefs d’État africains participeront au sommet de l’Élysée pour la paix et la sécurité qui se tiendra à Paris, les 6 et 7 décembre ? Le point sur ce que l’on sait.
Le gouvernement éthiopien a décidé de rompre publiquement avec la politique de « paix armée » qui définissait les relations avec son voisin érythréen. Après dix ans de conflit larvé, Meles Zenawi s’est dit prêt à appuyer un changement de régime dans la « Corée du Nord » africaine.
Chef de la rébellion sudiste au depuis 1983, l’ancien guérillero devrait occuper le poste de vice-président dans le futur gouvernement de coalition nationale. De lui dépendra en grande partie la réussite de l’accord de paix.