Déjà présente en Zambie, la start-up se présente comme une réponse américaine à l’offensive chinoise sur les minerais africains nécessaires à la conception de véhicules électriques.
Philanthropie, soutien à l’entrepreneuriat, expérimentations commerciales… Le fondateur d’Alibaba mène depuis 2017 de multiples initiatives sur le continent. Premiers jalons d’un projet plus ambitieux ?
Par sa participation aux différents fonds d’urgence lancés par les gouvernements africains, mais aussi par des dons matériel ou encore la mise à disposition de sa logistique, le secteur privé du continent s’implique massivement dans la lutte contre le Covid-19.
Depuis qu’il a fait don de millions de masques et de matériel médical en mars, le milliardaire Jack Ma, 17e fortune mondiale, selon le magazine américain Forbes (40,9 milliards de dollars), est devenu le visage de l’aide chinoise en Afrique. Mais le patron d’Alibaba n’a pas attendu la pandémie de coronavirus pour s’intéresser au continent.
Des millions de fournitures médicales ont été livrées cette semaine à Addis-Abeba par le milliardaire chinois. Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a été chargé de les distribuer à travers le continent.
Qu’elles soient actives dans l’e-commerce, l’information ou la santé, le coronavirus pousse les entreprises de la tech africaine et internationale à déployer des solutions pour freiner la pandémie.
Jack Ma, le fondateur de l’empire chinois du e-commerce Alibaba, a annoncé l’envoi de matériel médical en Afrique. Plusieurs personnalités se sont également mobilisées pour venir en aide aux pays touchés par le Covid-19.
Les carences qui, en Afrique, ralentissent l’entrepreneuriat ressemblent à celles contre lesquelles j’ai dû lutter il y a vingt ans lorsque j’ai créé Alibaba. En s’appuyant sur la révolution numérique, il est possible de faire de l’Afrique un hub planétaire.
Révélations sur la liste confidentielle des grands patrons chinois qui accompagneront Jack Ma, fondateur du géant du e-commerce AliBaba, lors de sa visite inédite à Lomé le 14 novembre, prélude à une offensive potentielle de l’homme d’affaires et de ses partenaires en Afrique francophone.
Alibaba, le géant chinois de la vente en ligne, n’oublie pas le continent dans sa politique d’internationalisation et veut contribuer au renforcement du secteur privé local.
Les groupes Alibaba et Bolloré ont signé lundi un accord de « partenariat mondial ». Le groupe français collaborera notamment en Afrique avec le géant du e-commerce dans le domaine de la logistique.
À l’occasion de sa première tournée Africaine, le chinois Jack Ma, président et fondateur du site de e-commerce Alibaba, a annoncé la création d’un fonds de 10 millions de dollars pour les jeunes entrepreneurs africains.
Le fondateur d’Alibaba, un géant du commerce en ligne, vient, à 48 ans, de prendre sa retraite. Il est à la tête d’une fortune estimée à 2,6 milliards d’euros.