Jakaya Kikwete, né en 1950 à Msoga, président de la République de Tanzanie de 2005 à 2015. Diplômé en économie, il participe activement à l’organisation du parti Chama Cha Mapinduzi (CCM) en 1977, puis prend la tête de l’administration de l’université de Dar es Salam. En 1994 il devient ministre des Finances, puis ministre des Affaires étrangères. Il se présente et remporte l’élection présidentielle en 2005 et en 2010.
Reclus au Katanga depuis juin, l’ancien chef de l’État congolais demeure insondable. Entretenue depuis cinq ans grâce une communication totalement verrouillée, sa discrétion inquiète les chancelleries autant qu’elle interroge la présidence de Félix Tshisekedi.
En attendant le sommet d’Addis-Abeba de janvier 2017, qui devrait décider de l’identité du prochain président de la Commission de l’UA, celui de Kigali, fin juillet, a rebattu les cartes.
Réunis à Kigali, les chefs d’État du continent doivent choisir le nouveau président de la Commission de l’UA parmi trois prétendants. À moins que cette décision ne soit remise à plus tard pour laisser le champ libre à d’autres compétiteurs…
À quand remonte la dernière alternance démocratique dans votre pays et qu’est devenu votre dernier chef d’État dont la succession s’est déroulée de manière pacifique ? De l’Algérien Liamine Zéroual en 1999 au Béninois Yayi Boni en 2016, zoom sur ces présidents qui ne se sont pas accrochés au pouvoir.
Ancien président tanzanien (2005-2015), Jakaya Kikwete est le candidat dont rêve l’Afrique du Sud pour la présidence de la Commission de l’Union africaine (UA).
Le nouveau président tanzanien John Magufuli a appelé vendredi à l’unité nationale alors que le résultat des élections est toujours contesté par l’opposition.
Si les résultats définitifs de l’élection présidentielle tanzanienne sont attendus jeudi, un premier décompte des voix dans environ 10% des circonscriptions donnait mardi 27 octobre l’avantage au candidat du parti au pouvoir.
Le décompte des votes se poursuit lundi en Tanzanie après les élections générales de dimanche qui pourrait déboucher sur la première alternance à la tête du pays depuis l’avènement du multipartisme. Mais l’ambiance se tend et le principal parti d’opposition dénonce de possibles fraudes électorales.
Les Tanzaniens se rendaient aux urnes dimanche pour élire leur président, leurs députés et leurs conseillers municipaux lors d’un scrutin très serré qui pourrait mettre fin au règne du parti au pouvoir depuis l’indépendance dans le pays le plus peuplé d’Afrique de l’Est.
La campagne électorale s’achevait en Tanzanie samedi avec les derniers meetings des candidats avant l’élection présidentielle de dimanche, qui devrait être la plus serrée depuis l’indépendance dans le pays le plus peuplé d’Afrique de l’Est.
En moins d’une semaine, l’ancien Premier ministre tanzanien Edward Lowassa a réussi l’exploit de claquer la porte du parti au pouvoir et de devenir le candidat unique des quatre principaux partis d’opposition à la présidentielle du 25 octobre – à laquelle le sortant, Jakaya Kikwete, ne se présente pas.
La ministre française de l’Écologie a entamé dimanche une tournée africaine pour préparer la Conférence sur le climat COP21 qui se déroulera au mois de décembre à Paris.
Le parti au pouvoir en Tanzanie a désigné dimanche John Magafuli, actuel ministre des Travaux publics, pour le représenter lors de l’élection présidentielle d’octobre prochain, selon des membres de ce mouvement.
Le général Godefroid Niyombare a annoncé mercredi qu’il destituait le président burundais. La situation reste toutefois confuse à Bujumbura où des tractations sont en cours, tandis que Pierre Nkurunziza tente de rejoindre la capitale burundaise.
Le président tanzanien, Jakaya Kikwete, a limogé mardi 23 décembre sa ministre des questions foncières, Anna Tibaijuka, mise en cause dans un vaste scandale de corruption qui agite le pays.
Les services de la présidence ont annoncé, lundi, que le président tanzanien, Jakaya Kikwete, a été opéré de la prostate avec « succès » aux États-Unis.
Le président tanzanien Jakaya Kikwete a appelé samedi à fournir les efforts nécessaires pour « préserver » la paix en République démocratique du Congo, au cours d’une courte visite officielle à Kinshasa, selon une déclaration retransmise sur la télévision publique congolaise.
La Tanzanie, née de l’union en 1964 du Tanganyika continental et de l’archipel de Zanzibar, célèbre samedi son 50e anniversaire sur fond de dissensions au sein du couple qui rendent son avenir incertain.
Paul Kagamé a menacé de « frapper » Jakaya Kikwete. Mais ce dernier n’est pas en reste et a promis de faire subir à son voisin « de sinistres conséquences ». Les présidents rwandais et tanzanien tentent depuis de calmer le jeu, mais jamais l’escalade verbale n’avait été si loin.
Toujours populaire, réputé compétent, Jakaya Kikwete achèvera en 2015 son second mandat. Prendre sa retraite, assure-t-il, ne lui posera aucun problème. Rencontre avec le chef de l’État tanzanien.
Conçue par les Allemands sur un schéma urbain violemment raciste, la ville tanzanienne de Dar es-Salaam s’est accommodée de l’exode rural et de l’abandon du socialisme africain… La plus grande ville du pays, c’est toujours elle !
La chanteuse sud-africaine Yvonne Chaka Chaka animait le lancement du forum des partenaires de la Global Alliance for Vaccines and Immunisation (Gavi), le 5 décembre à Dar es-Salaam. Une cérémonie que le président tanzanien et son ministre de la Santé ne devraient pas oublier.
La Tanzanie, qui préside l’organe de défense et de sécurité de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) met tout en oeuvre pour jouer le rôle de médiateur en lieu et place de l’Afrique du Sud.
Le président tanzanien sortant, Jakaya Kikwete, 60 ans, a été réélu pour un second mandat de cinq ans avec 61,17 % des voix lors de l’élection présidentielle de dimanche, a annoncé vendredi le président de la Commission électorale.
Un albinos a été élu député aux élections générales du dimanche 31 octobre en Tanzanie. Une première dans ce pays où les personnes souffrant de cette maladie génétique sont victimes des pires discriminations.