James Alix Michel, né à Mahé en août 1944, est le président des Seychelles depuis 2004. D’abord instituteur, il se reconvertit dans la télécommunication et l’industrie hôtelière. Il intègre en 1979 le Seychelles People’s United Party (SPUP). De 1977 à 2004, il occupe plusieurs postes ministériels et devient vice-Président. En 2004, il succède au président France-Albert René à sa démission et est élu officiellement en 2006, puis réélu en 2011.
Fin septembre, après la défaite historique de son parti, le Lepep, aux élections législatives, et moins d’un an après sa réélection à la tête de l’archipel, James Michel donnait sa démission. Trois semaines plus tard, celui qui a présidé le pays pendant douze ans passait le relais à son fidèle vice-président, Danny Faure. Il explique les raisons de ce choix à Jeune Afrique.
Le président des Seychelles James Michel a été réélu pour la troisième fois, en devançant de très peu son adversaire Wavel Ramkalawan lors d’un second tour inédit pour un scrutin présidentiel dans l’archipel, a annoncé samedi la Commission électorale.
Les Seychellois croyaient le candidat du Lepep indétrônable. Mais l’actuel président, au pouvoir depuis 2004, pourrait être battu par son éternel opposant lors du premier second tour de l’histoire du pays.
À 87 ans, Béji Caïd Essebsi se pose déjà en futur président de la République tunisienne. Blaise Compaoré, lui, vient de quitter la présidence burkinabè qu’il occupait depuis vingt-sept années. L’occasion de faire un point sur la vieillesse et le pouvoir en Afrique.
Contre le diktat des institutions occidentales, James Brett, le fondateur du Museum of Everything, sillonne le monde à la recherche d’artistes autodidactes.
La première rencontre directe entre Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, le 25 juillet aux Seychelles, suscite de grands espoirs de sortie de crise à Madagascar. Mais les points qui posent problème restent nombreux.