Jean Eyeghe Ndong est un homme politique gabonais. Né le 12 février 1946 à Libreville, il devient premier ministre le 20 janvier 2006 sous l’étiquette du Parti Démocratique Gabonais (PDG), suite au remaniement opéré par Omar Bongo Ondimba. Il démissionnera de son poste le 15 juillet 2009 pour se présenter à l’élection présidentielle, face à Ali Bongo. Depuis février 2014, il est maire de Libreville en tant que membre du Front Uni de l’Opposition pour l’Alternance (FUOPA).
Secrétaire général par intérim de l’ancien parti unique au Gabon, l’ex-ministre a également repris la vice-présidence du Sénat derrière Paulette Missambo. Et entend bien jouer, tout comme sa formation politique, un rôle dans la transition en cours.
Au Gabon, si le président sortant n’est pas encore candidat, il ne fait plus de doute qu’il va briguer un troisième mandat. Comment ses équipes ont-elles préparé le terrain ? Et que font ses rivaux pour résister à leurs manœuvres ? La compétition a déjà commencé…
Ali Bongo Ondimba remettra son mandat en jeu le 27 août. Face à lui, moins d’une vingtaine de candidats, mais quelques poids lourds décidés à tout faire pour mettre le chef de l’État à la retraite.
Candidat à l’investiture du Front uni de l’opposition pour la présidentielle 2016 au Gabon, Jean Ping est à pied d’œuvre depuis de nombreux mois. Où en-est-il ? Réponse en trois points.
Apparues au tournant du siècle dernier, elles ont façonné le pays et en détiennent, aujourd’hui encore, les principaux leviers politiques et économiques. Enquête sur une élite très attachée à ses privilèges.
L’élection présidentielle 2016 est déjà dans toutes les têtes au Gabon. Du côté de l’opposition, l’Union nationale tente de se mettre en ordre de bataille, sans relâcher la pression sur le pouvoir. Interview de son vice-président, Jean Eyeghe Ndong.
Les principaux ténors de l’opposition gabonaise font aujourd’hui front commun. S’accorderont-ils demain pour désigner un candidat unique à la présidentielle ?
Pour le présdient gabonais, Ali Bongo Ondimba, qui l’a nommé Premier ministre, Daniel Ona Ondo est l’homme de la situation. Sa mission : mener à bien des réformes délicates, destinées à améliorer les conditions de vie des Gabonais.
À deux semaines des élections municipales au Gabon, prévues le 15 décembre, le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) n’a toujours pas désigné son candidat à la mairie de Libreville. Une circonscription convoitée pourtant par un rival de taille, l’opposant Jean Eyéghé Ndong, ancien Premier ministre (2006-2009).
Le vice-président de l’Union nationale (UN), Jean Eyéghé Ndong, suscite une controverse au sein de son parti en voulant briguer la mairie de Libreville.
L’ancien Premier ministre gabonais Jean Eyeghe Ndong a assuré mercredi que l’envoi de « valises d’argent » était une pratique courante entre Omar Bongo et « certaines autorités françaises ». Il cite également des versements au fondateur du Front National Jean-Marie Le Pen.
Ancien Premier ministre, vice-président de l’Union nationale, Jean Eyéghé Ndong confie à Jeune Afrique son analyse de la situation politique au gabon et des questions qui se posent au sein de la coalition de l’UN.
L’ancien ministre de l’Intérieur, André Mba Obame, et l’ancien Premier ministre, Jean Eyéghé Ndong, auraient chacun reconquis leur siège de député d’après les « premières tendances » des législatives partielles, dévoilées par la télévision gabonaise. Le Parti démocratique gabonais (PDG) du président Ali Bongo Ondimba, aurait quant à lui remporté les trois autres sièges en jeu lors de ce scrutin.
Le collectif d’opposants qui ne reconnaît pas l’élection d’Ali Bongo organise lundi, mardi et mercredi une opération « ville morte » dans tout le Gabon.
L’ex-Premier ministre Jean Eyeghe Ndong et l’ex-ministre de l’Intérieur André Mba Obame, tous deux candidats à la présidentielle du 30 août, ont été empêchés de quitter le Gabon dimanche, a appris l’AFP de sources concordantes.