En juillet, l’ex-ministre du Commerce a été suspendu de ses fonctions au sein du conseil régional du Hambol (Nord). Il élabore désormais sa réintégration.
Depuis qu’Henri Konan Bédié, le patron du PDCI, a déclaré qu’il présenterait un candidat pour 2020, les rumeurs vont bon train. Mais l’ancien président n’a pas dit son dernier mot.
Pour la troisième année consécutive, les entrepreneurs congolais et d’ailleurs du « réseau Makutano » se sont donnés rendez-vous à Kinshasa. Une grand-messe de trois jours, du 14 au 16 septembre, pour parler industrialisation de la RD Congo. Mais pas seulement.
L’ancien ministre du Commerce, suspendu de la présidence du Conseil régional du Hambol en juillet, jouit de la protection du patron de son parti, Henri Konan Bédié. Celui-ci espère faire revenir le ministère de l’Intérieur sur la suspension.
Après avoir été de grands rivaux, Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié étaient les meilleurs alliés de la dernière décennie à Abidjan. Course au pouvoir et ambitions vont-elles sonner le glas de leur union ? Les tensions entre les deux chefs inquiètent.
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) compte désigner dès l’an prochain son candidat pour la présidentielle de 2020. Qui, parmi ses membres, serait susceptible d’obtenir l’investiture ? Jeune Afrique vous propose un rapide passage en revue.
Après le limogeage de Niamien N’Goran et la suspension de Jean-Louis Billon, symboles du malaise au sein de la coalition au pouvoir, le PDCI a appelé ses militants au calme.
Jean-Louis Billon suspendu, Niamien N’Goran limogé, plusieurs cadres du PDCI ont été mis sur la touche par la présidence ivoirienne, révélant les tensions de plus en plus fortes entre le parti d’Alassane Ouattara et son principal allié.
L’ex-ministre du commerce, Jean-Louis Billon, a été suspendu de ses fonctions de président du Conseil régional du Hambol. Une éviction décidée en Conseil des ministres pour éteindre la crise politique ouverte dans cette région depuis plusieurs semaines.
Malgré la baisse des cours, le groupe ivoirien se voit devenir un champion africain de l’agroalimentaire. C’est en tout cas l’ambition que porte son nouveau président, qui forme désormais un binôme au sommet avec Pierre Billon. Les deux héritiers des familles actionnaires regardent, selon lui, dans la même direction.
« Filles et fils de », nouvelles familles… Dans le second épisode de notre enquête sur les grandes familles ivoiriennes, ce cercle fermé de l’élite politique, économique et sociale connaît une évolution marquante après la mort du « Vieux ». Les différents successeurs de Félix Houphouët-Boigny vont toutefois contribuer à la pérennisation de ce système au gré de nombreuses alliances.
À présent, les puissantes familles ivoiriennes constituent une « caste » qui semble être un passage obligatoire pour quiconque aspire à accéder au pouvoir ou à s’y maintenir. L’entrelacement de leurs liens est si complexe que le malheur des uns peut aisément faire celui des autres… Fin de notre enquête sur les famille du pouvoir en Côte d’Ivoire.
En nommant Charles Koffi Diby à la vice-présidence du PDCI, Henri Konan Bédié poursuit la restructuration de son parti, en attendant la réunification prévue avec le RDR d’Alassane Ouattara.
Une nouvelle réglementation limite désormais à trois mois – contre huit mois auparavant – la date limite de consommation après fabrication. Ce qui exclut de fait les importations de ce produit depuis l’Europe.
Si l’équipe économique du gouvernement ivoirien est restée la même, deux changements majeurs ont été opérés. Kaba Nialé est nommée ministre du Plan et du Développement, laissant son poste de ministre chargée de l’Économie et des Finances à Adama Koné, jusque-là directeur général du Trésor.
Bien que la loi ne prévoie aucun plafond pour les dépenses, le président promet de se limiter et assure ne pas profiter des facilités de l’État. Ses rivaux en doutent.
L’élection d’octobre est peut-être la dernière qui verra s’affronter les trois formations historiques du pays : PDCI, FPI et RDR. Car déjà une recomposition, faite d’alliances et de scissions, est en cours.
Alors que les Ivoiriens s’apprêtent à prendre le chemin des urnes, « Jeune Afrique » vous propose de redécouvrir cette radiographie de l’économie ivoirienne, publiée initialement en juillet dernier.
Créée il y a onze ans, l’entreprise de négoce SAF Cacao, numéro trois du marché, tutoie déjà les multinationales. Un parcours sans faute que son trio de fondateurs entend bien poursuivre.
Jean-Louis Billon a perdu les portefeuilles de l’artisanat et des PME lors du dernier remaniement gouvernemental en Côte d’Ivoire. Qu’adviendra-t-il du plan Phoenix pour les PME qu’il a initié ?
À quelques mois de la présidentielle, prévue en octobre, et bientôt quatre ans après la fin de la crise postélectorale, « Jeune Afrique » s’est penché sur celles et ceux qui incarnent cette nouvelle Côte d’Ivoire dirigée par Alassane Ouattara.
Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture… Jeune Afrique dresse la liste des figures les plus influentes de la Côte d’Ivoire.
Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture… « Jeune Afrique » dresse la liste des figures les plus influentes de la Côte d’Ivoire.
Croissance impressionnante, construction à tout va, climat des affaires assaini… La Côte d’Ivoire fait des progrès considérables depuis la crise de 2010. Mais tout le monde n’en profite pas.
En ce mois d’octobre 2014, Sifca, le premier groupe privé de Côte d’Ivoire, fête ses 50 ans. Un demi-siècle de vie tumultueuse pour l’ancien leader du cacao, devenu le numéro un africain de l’huile de palme et du caoutchouc.
Longtemps directrice de la communication d’Orange Côte d’Ivoire, Henriette Gomis-Billon est désormais garante de l’image du groupe Sifca. La nouvelle recrue est l’épouse de Jean-Louis Billon, un des actionnaires de référence du groupe ivoirien.
Jean-Louis Billon, ministre ivoirien du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, était le « Grand invité de l’économie » du samedi 1er février, réalisé en partenariat avec RFI. Selon lui, la Côte d’Ivoire a les moyens de rebondir. Mais il faudra être patient.
La renaissance des petites et moyennes entreprises basées en Côte d’Ivoire, affectées par plus de dix années de crise, pourrait bien passer par le programme « Phoenix » que s’apprête à lancer le gouvernement.