Après « Les Misérables », le réalisateur tourne une nouvelle fois dans les grands ensembles des banlieues françaises et filme le mal-logement des années 2000. Il s’implique aussi sur le continent, grâce à son École Kourtrajmé.
Le 19 mars, dans un hôtel parisien cossu, se tenait la seconde cérémonie de remise des « Prix Mandela ». Des récompenses honorifiques décernées par l’Institut éponyme, un think-tank qui revendique la promotion des valeurs de l’ancien président sud-africain… mais dont la crédibilité, remise en cause par plusieurs de ses « partenaires », ne laisse pas d’interroger.
Les coupures d’électricité intempestives que subissent les citoyens africains font également transpirer les chefs d’État. Ce mercredi, un président a vu sa parole coupée, tandis qu’un autre se voyait obligé de s’exprimer crûment…
C’est en novembre 2014 à Dakar, à l’occasion du XVe sommet de la Francophonie, que Jean-Louis Borloo a fait la connaissance de celui qu’il qualifie d’« homme le plus influent du Moyen-Orient ».
Jean-Louis Borloo appelle les grandes fondations philanthropiques à soutenir son projet d’électrification de l’Afrique. L’ancien ministre français a plaidé en ce sens mercredi aux côtés d’un conseiller du prince et mécène saoudien Al Walid Ben Talal.
En déplacement à Marrakech à l’occasion de la COP 22, la ministre française de l’Environnement et gardienne de l’esprit de l’accord de Paris a annoncé l’installation prochaine d’une antenne auprès de la Banque africaine de développement (BAD). Cette antenne gérera les dix milliards de dollars mobilisés pour les initiatives africaines en matière d’énergies renouvelables. Interview.
Le conglomérat kényan, dont le principal actionnaire est le tycoon Chris Kirubi, a sollicité l’expertise de l’ancien président de la BAD dans la cadre de son expansion à l’est et à l’ouest du continent.
Un think tank réunissant des chefs d’entreprise et des leaders d’opinion – le Club Efficience –, un Who’s Who devenu une référence (le Gotha noir) et une devise, « Démentir les préjugés par l’exemple »…
Prendre un café avec Jean-Louis Borloo, une après-midi ensoleillée de début septembre à Paris, alors que les terrasses de la porte d’Auteuil sont pleines, c’est d’abord savoir attendre.
Après douze mois d’activité, la Fondation Énergies pour l’Afrique, que dirige l’ancien ministre français Jean-Louis Borloo, a remis son rapport d’activité à François Hollande.
Ouagadougou abrite du 24 au 26 février prochains, la quatrième édition du forum de développement des entreprises en Afrique de l’ouest, Africallia. La capitale burkinabè sera ainsi une plateforme d’affaires pendant 48 heures. Cette année, l’accent sera notamment mis sur les opportunités du secteur de l’énergie.
Ambitieuse mais mal ficelée, une exposition parisienne, regroupant 54 artistes issus d’autant de pays africains, a tenté d’alerter sur les problèmes d’accès à l’énergie sur le continent. Elle sera visible en Afrique en 2016.
Devant les députés français, Roger Nokdo Dang, président du parlement panafricain, a appelé mardi la France à soutenir le plan d’électrification de l’Afrique, porté initialement par Jean-Louis Borloo. Un projet qui nécessite, selon lui, 5 milliards de dollars par an.
Patronne d’Allo, un important groupe de télécommunications et de médias, la Franco-Guinéenne Chantal Cole, qui géra la communication du président Lansana Conté dans les dernières années de sa vie, travaille aujourd’hui à la réélection d’Alpha Condé, l’ancien adversaire de celui-ci.
Le barrage de Kaléta a été inauguré lundi par le président Alpha Condé en présence des chefs d’État nigérien et congolais. La Guinée attend beaucoup de cette centrale, qui devrait permettre de combler une partie du déficit électrique du pays.
Accès à l’électricité, modernisation de l’agriculture, soutien aux PME… Face à Jeune Afrique, le patron de l’institution panafricaine fixe clairement ses objectifs. Quelques jours après avoir pris ses fonctions, il se montre confiant et déterminé.
Grand invité de l’économie de RFI et de Jeune Afrique, l’ancien ministre français Jean-Louis Borloo expose son grand projet : mobiliser les chefs d’Etat pour financer l’électrification du continent d’ici à une dizaine d’années.
Pour la promotion de son « plan Marshall » électrique pour l’Afrique, Jean-Louis Borloo a rencontré trente-sept chefs d’État africains, qui, dans leur majorité, semblent adhérer au projet. Mais, même si l’initiative recevait l’appui et les fonds nécessaires, qui dirigera cette Agence africaine de l’électrification ?
L’ancien ministre français Jean-Louis Borloo est à la recherche d’une personnalité africaine de premier plan pour diriger l’agence chargée de piloter son projet d’électrification du continent. En tête de liste : le Rwandais Donald Kaberuka, président de la BAD, qui quittera son poste en septembre. Reste à convaincre Kigali.
En visite privée à Paris la semaine du 20 avril, après avoir participé aux assemblées du FMI à Washington, le président guinéen n’a pas perdu son temps.
Une vingtaine de maires francophones de grandes villes africaines se sont réunis vendredi à Paris, à l’initiative de Jean-Louis Borloo et de Anne Hidalgo, maire de la capitale française, pour mettre en place une « électrification durable » du continent.
Retiré de la politique active, l’ancien ministre de l’Écologie de Nicolas Sarkozy lance un « plan Marshall » censé aboutir à l’électrification de tout le continent. Mais il se montre fort évasif sur les soutiens politiques dont il dispose. Et sur le financement – 200 milliards d’euros au total – de sa future agence.
Lorsqu’il quittera le poste de président de la Banque africaine de développement, en septembre prochain, que fera Donald Kaberuka, jeune retraité d’à peine 63 ans ?
L’ancien ministre français Jean-Louis Borloo a présenté ce mardi en présence du président François Hollande son plan pour l’électrification de l’Afrique, qui nécessitera au total 200 milliards d’euros de financements sur une dizaine d’années.
Présidée par le financier Lionel Zinsou et lancée officiellement le vendredi 6 février lors du Forum économique franco-africain, la fondation pour la croissance entend être un nouveau carrefour d’échange au service des intérêts du continent et des entreprises françaises.
Les chef d’État du continent se sont réunis les 26 et 27 juin à Malabo en Guinée équatoriale. Voici quelques indiscrétions rapportées par nos journalistes sur place.