« VIP en prison » (2/4) – Le général Jean-Marie Michel Mokoko a été évacué vers la Turquie après de longues tractations auprès du président Denis Sassou Nguesso. L’état de santé de l’opposant congolais de 73 ans, incarcéré depuis quatre ans, inquiète ses proches.
Bernadette et Edgar Alain Mebe Ngo’o, Jean-Marie Michel Mokoko, Vital Kamerhe, Gilbert Diendéré… Après avoir évolué au sommet du pouvoir, ils se retrouvent derrière les barreaux. Rendez-vous au parloir avec des détenus qui ont chuté de haut.
Selon un groupe d’experts onusiens, l’opposant Jean-Marie Michel Mokoko, condamné le 11 mai à vingt ans de prison, doit être « immédiatement libéré » et bénéficier d’un « droit de réparation » pour détention arbitraire. Les autorités congolaises dénoncent quant à elles un avis « biaisé ».
Présentés par l’accusation comme des mercenaires, six coaccusés français auraient dû comparaître devant la cour d’appel de Brazzaville pour le procès du général Jean-Marie Michel Mokoko, condamné le 11 mai à vingt ans de prison pour « atteinte à la sécurité intérieure de l’État ».
Le procès pour atteinte à la sécurité intérieure de l’État du général Norbert Dabira s’est ouvert mardi devant la Cour criminelle de Brazzaville, quelques jours à peine après la condamnation de Jean-Marie Michel Mokoko, à vingt ans de prison.
Condamné le 11 mai à vingt ans de prison pour « atteinte à la sécurité intérieure de l’État », le général Jean-Marie Michel Mokoko n’a pas dérogé à sa « stratégie du silence » durant le procès. Un mutisme qui fait beaucoup parler, à Brazzaville.
Principal opposant au président congolais Denis Sassou Nguesso, le général Mokoko, 71 ans, a été condamné vendredi à 20 ans de prison par la justice à Brazzaville, où selon des analystes une guerre de succession au chef de l’État se mène déjà en coulisses.
Le procès du Général Jean-Marie Michel Mokoko s’est ouvert ce lundi 7 mai à Brazzaville. Les audiences devraient s’étaler sur dix jours. Retour sur les éléments clefs du dossier.
Convoqué par les juges d’instruction pour un interrogatoire, ce lundi, puis à nouveau ce mardi, le général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 20 mars 2016, actuellement détenu pour « atteinte à la sûreté intérieure de l’État », s’est retranché dans le mutisme.
Le calendrier judiciaire va s’accélérer au Congo au cours des dix prochains mois. D’ici à juin et juste après la réunion du Conseil supérieur de la magistrature s’ouvriront les sessions criminelles des cours d’appel de Brazzaville et de Pointe-Noire
La chambre de mise en accusation de la Cour d’appel de Brazzaville a rejeté jeudi la demande de mise en liberté provisoire du général Jean-Michel Mokoko. La veille, le candidat malheureux de la dernière présidentielle, poursuivi pour atteinte à la sûreté de l’État, avait été de nouveau inculpé pour « incitation au trouble à l’ordre public ».
Le général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat malheureux à la présidentielle du 20 mars au Congo a été inculpé pour atteinte à la sûreté intérieure de l’État, a-t-on appris jeudi auprès de son avocat. Il est actuellement en détention préventive à la maison d’arrêt de Brazzaville.
Le général Jean-Marie Michel Mokoko a été arrêté mardi soir et placé en garde à vue à la direction générale de surveillance du territoire (DGST) à Brazzaville, a annoncé son avocat.
Le ministre congolais de la Justice a demandé jeudi au procureur de la République d’accélérer la procédure engagée contre le général Jean-Marie Michel Mokoko, mis en cause dans une vidéo tournée en 2007 où il était question d’un coup d’État contre le président Denis Sassou Nguesso.
Le général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat à la présidentielle de dimanche au Congo, a déclaré samedi à l’AFP avoir reçu une nouvelle convocation des services de sécurité intérieure et a dénoncé une volonté politique de torpiller sa candidature à la veille du scrutin.
À la veille du lancement de la campagne électorale, le général Jean-Marie Michel Mokoko, l’un des neuf candidats à la présidentielle du 20 mars au Congo, a exigé jeudi le report du scrutin, dénonçant une « gouvernance électorale opaque ».
Appelé à se justifier sur une vidéo embarrassante, le général Jean-Marie Michel Mokoko est entendu mardi, pour la deuxième fois consécutive, au bureau de la DGST. Dans l’entourage du candidat déclaré à la présidentielle du 20 mars, l’on assure que l’officier a décidé de coopérer pour faire avancer l’enquête.
Le procureur de la République a ordonné vendredi à Brazzaville « l’interpellation » et « l’interrogatoire » du général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat à la présidentielle du 20 mars face au président sortant Denis Sassou Nguesso.
Invité à se présenter vendredi au cabinet du directeur des services intérieurs, le général Jean-Marie Michel Mokoko a indiqué jeudi à Jeune Afrique qu’en sa qualité de « militaire en disponibilité », il ne répondrait pas à cette convocation.
Une vidéo datant d’il y a quelques années montre Jean-Marie Michel Mokoko, ancien chef d’état-major et candidat à la présidentielle congolaise, en train de préparer un coup d’État contre Denis Sassou Nguesso.
Qu’est-ce qui s’est passé mardi à l’aéroport de Maya-Maya à l’arrivée du général Jean-Marie Michel Mokoko ? Le candidat à la présidentielle du 20 mars au Congo-Brazzaville affirme avoir été victime d’une « agression sauvage » de la part des forces de l’ordre, mais la police décline toute responsabilité.
Le général Jean-Marie Michel Mokoko a annoncé dimanche sa candidature au scrutin présidentiel du 20 mars au Congo-Brazzaville. Cet ancien chef d’état-major de l’armée congolaise a-t-il les moyens de l’emporter face au président sortant Denis Sassou Nguesso ?
Les chefs d’État de la Ceeac doivent se réunir vendredi à Malabo en marge du 23e sommet de l’Union africaine pour évoquer la situation en Centrafrique. Le chef de la Misca (la force africaine), le général congolais Jean-Marie Michel Mokoko livre pour « Jeune Afrique » son analyse.
Sur décision de Denis Sassou Nguesso, le général congolais Jean-Marie Michel Mokoko a été nommé fin novembre à la tête de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (Misca). Le général de brigade camerounais Martin Tumenta Chomu a quant à lui été choisi pour commander les troupes.