Lors de la présentation de ses arguments complémentaires devant la CPI, le bureau du procureur a requis, mercredi 4 juillet, cinq ans de prison et une « amende conséquente » contre Jean-Pierre Bemba dans l’affaire qui le vise pour subornation de témoins.
Le gouvernement congolais a annoncé fin juin qu’il ne s’opposerait pas à octroyer un passeport diplomatique à l’ancien vice-président Jean-Pierre Bemba, acquitté de crimes contre l’humanité et crimes de guerre par la CPI. D’après nos informations, la procédure avance.
Condamné dans une affaire de subornation de témoins, le sort judiciaire de Jean-Pierre Bemba devant la CPI sera définitivement fixé lors de l’audience du 4 juillet.
Jean-Pierre Bemba peut demander un passeport diplomatique pour rentrer en RDC après son acquittement par la Cour pénale internationale (CPI). Léonard She Okitundu, ministre congolais des Affaires étrangères, lui a signifié dans un courrier.
Hasard du calendrier : la semaine dernière, Moïse Katumbi était empêché de quitter la Belgique, tandis que Jean-Pierre Bemba y débarquait. Les deux politiciens congolais avaient-ils pour autant envie de partager un plat de moules-frites ?
En dix années de procédure, la Cour pénale internationale a successivement condamné, acquitté puis libéré le Congolais Jean-Pierre Bemba. Les 5 000 victimes centrafricaines de ses miliciens, elles, attendent toujours réparation. Retour sur une affaire dont la CPI sort plus illisible que jamais aux yeux des Africains.
La Belgique s’est dite prête jeudi 14 juin à accueillir Jean-Pierre Bemba, acquitté de crimes de guerre et crimes contre l’humanité. L’ancien vice-président congolais souhaite y rejoindre sa famille après une décennie passée en prison à La Haye.
L’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, acquitté en appel de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, est encore sous la surveillance des autorités de la Cour pénale internationale (CPI).
L’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, acquitté en appel de « crimes de guerre » et de « crimes contre l’humanité », a quitté mardi le centre de détention de la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye, a indiqué son avocat.
À Bangui, l’acquittement et la mise en liberté provisoire mardi 12 juin du Congolais Jean-Pierre Bemba a suscité l’incompréhension des victimes centrafricaines des razzias commises par les miliciens de l’ancien vice-président congolais. Fatou Bensouda, procureure de la CPI, a fait part de sa « déception » après la décision de la cour.
La Cour pénale internationale a ordonné mardi 12 juin la remise en liberté provisoire de l’ancien vice-président congolais. Jean-Pierre Bemba a été acquitté, vendredi, des charges de « crimes de guerre » et de « crimes contre l’humanité ». Il est attendu en Belgique ce mercredi pour rejoindre sa famille.
Alors que la Cour pénale internationale vient de les autoriser à plaider le non-lieu, les défenseurs de l’ex-président ivoirien espèrent que le procès de Laurent Gbagbo suivra le même destin que celui de l’ancien vice-président congolais.
Acquitté à la surprise générale par la Chambre d’appel de la Cour pénale internationale, Jean-Pierre Bemba pourrait être libéré après près d’une décennie passée en prison. Ses avocats ont plaidé en ce sens lors d’une audience mardi à La Haye. Les juges ont annoncé qu’ils prendraient une décision d’ici mercredi 13 juin.
La Cour pénale internationale (CPI) s’est « auto-sabordée » en acquittant vendredi Jean-Pierre Bemba de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, une décision historique qui affaiblit le message envoyé aux pires criminels de ce monde, selon les experts.
Intervenant par vidéoconférence, samedi 10 juin, lors d’un meeting à Kinshasa, Moïse Katumbi a réaffirmé son souhait d’une candidature unique de l’opposition. Mais l’acquittement par la CPI de l’ancien vice-président Jean-Pierre Bemba, qui demeure très populaire dans le pays, pourrait bouleverser la donne.
La chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI) a acquitté Jean-Pierre Bemba des charges de « crimes de guerre » et « crimes contre l’humanité ». Le point sur ce que contient exactement cet arrêt rendu vendredi 8 juin.
Condamné en première instance à 18 ans de prison pour « crimes de guerre » et « crimes contre l’humanité » en Centrafrique, l’ancien vice-président et ex-chef rebelle congolais Jean-Pierre Bemba a vu vendredi 8 juin sa culpabilité annulée en appel devant la Cour pénale internationale.
La chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI) n’a pas donné droit à l’appel de Jean-Pierre Bemba contre sa condamnation, fin mars 2017, à 12 mois de prison pour subordination de témoins. En 2016, l’ancien vice-président congolais avait été condamné à 18 ans de prison pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre.
Le procès en appel de Jean-Pierre Bemba s’est ouvert ce mardi devant le Chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI). L’ancien vice-président de la RDC, condamné en juin 2016 à 18 ans de prison pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre, avait fait appel du jugement, tout comme l’accusation, qui avait réclamé « au moins 25 ans de prison » en première instance.
Plus de 5 000 victimes de crimes de guerre demandent des réparations individualisées devant la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes commis en Centrafrique entre octobre 2002 et mars 2003, pour lesquels l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba avait été condamné en juin 2016.
Depuis La Haye où il purge une peine de prison pour crimes contre l’humanité, l’ancien vice-président congolais s’est exprimé par voie de communiqué lundi 30 octobre pour appeler à la mobilisation des forces politiques afin de préparer l’alternance politique en RDC.
L’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, reconnu coupable par la Cour pénale internationale de subornation de témoins dans son procès pour crimes de guerre et crimes contre l’Humanité, a été condamné mercredi à un an d’emprisonnement et 300 000 euros d’amende.
Le procureur a requis huit ans de prison à l’encontre de l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, reconnu coupable par la Cour pénale internationale (CPI) de subornation de témoins afin d’obtenir son acquittement dans son procès pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Sur les neuf pays qui font l’objet d’une enquête par la Cour Pénale Internationale, huit sont africains. Une statistique qui nourrit les accusations de « chasse raciale » portées par l’Union africaine, dans un contexte tendu. Le Burundi et l’Afrique du Sud viennent en effet de se retirer de la CPI.
L’ancien vice-Président congolais Jean-Pierre Bemba a été reconnu coupable d’atteinte à l’administration de la justice ce mercredi, par la Cour pénale internationale (CPI). Il était aux côtés de quatre autres accusés.
La Cour pénale internationale rend ce mercredi son verdict envers l’ancien vice-Président congolais Jean-Pierre Bemba. Il est accusé de subornation de témoins dans le cadre de son procès pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
L’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, condamné en juin à 18 ans de prison par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, a officiellement interjeté appel, dénonçant des vices de forme dans son procès.
Parce que Jean-Pierre Bemba ne pouvait pas ne pas savoir, la CPI l’a condamné à dix-huit ans de prison. Une sentence qui sonne le glas des ambitions de celui qui fut, autrefois, le vice-président du pays.