Reconnu coupable le 21 mars, en tant qu’autorité hiérarchique, de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, Jean-Pierre Bemba, ancien vice-président de la RD Congo, a écopé mardi d’une peine de 18 ans de prison devant la CPI. Le temps que le condamné a déjà passé en prison sera déduit de la peine ordonnée, a précisé la juge.
« Les actes présumés de subornation de témoins de l’ex-vice président congolais Jean-Pierre Bemba et ses avocats montrent jusqu’où les accusés étaient disposés à aller pour cacher leur conduite illicite », a affirmé mardi l’accusation de la CPI lors du premier jour des plaidoiries dans cette affaire.
Après près de huit ans de procédure devant la Cour pénale internationale (CPI), la procureure de la Cour pénale internationale (CPI) a demandé mercredi 18 mai que le Congolais Jean-Pierre Bemba soit condamné à « 25 ans minimum » de réclusion.
Après le verdict de la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire Bemba, la procureure Fatou Bensouda a salué lundi une « décision historique » et un « message fort » adressé aux seigneurs de guerre à travers le monde. Interview.
Après près de huit ans de procédure devant la CPI, Jean-Pierre Bemba a été reconnu coupable lundi, en tant qu’autorité hiérarchique, de deux chefs de crimes contre l’humanité et de trois chefs de crimes de guerre commis par ses troupes en Centrafrique entre 2002 et 2003.
La Cour pénale internationale doit rendre son verdict ce lundi dans le procès de Jean-Pierre Bemba. Si ses partisans se prennent à rêver d’une libération rapide, voire d’un retour fracassant sur la scène politique congolaise, une autre bataille l’attend. Explications.
Le procès de Jean-Pierre Bemba à la Cour pénale internationale va connaître son verdict le 21 mars prochain. Soupçonné de cinq chefs d’accusation de crimes de guerre et crimes contre l’humanité pour des événements qui se sont déroulés en Centrafrique en 2002 et 2003, le Congolais est incarcéré à la CPI depuis 2008.
À un mois du verdict dans le procès pour crimes de guerre qui lui est intenté devant la Cour pénale internationale (CPI), Jean-Pierre Bemba entame, timidement mais sûrement, son retour en politique – plus que probable en cas d’acquittement.
Et si le chairman recouvrait sa liberté ? Kinshasa retient son souffle. Et tous les yeux se tournent vers La Haye, où, le 21 mars, l’on connaîtra le verdict de la CPI dans l’affaire Jean-Pierre Bemba.
La Cour pénale internationale a fixé mardi au 21 mars la date de l’audience publique au cours de laquelle sera rendu public le verdict dans l’affaire Jean-Pierre Bemba, ancien-vice président de la RDC poursuivi, en qualité de chef militaire, pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre en Centrafrique.
Le procès pour subornation de témoins de l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba et quatre de ses proches s’est ouvert mardi devant la Cour pénale internationale (CPI), la première affaire du genre instruite par cette instance.
Elle militait aux côtés d’Étienne Tshisekedi. Puis, en 2006, elle a rejoint le leader du MLC, dont elle est désormais le bras droit et à qui elle vient de rendre visite dans sa prison de La Haye. Un choix que cette opposante résolue au régime Kabila ne regrette nullement.
Après les déclarations finales mercredi et jeudi de l’accusation et de la défense, l’affaire Bemba est désormais mise en délibéré. En attendant le verdict, retour en cinq questions sur un procès qui s’est ouvert en 2010.
Libéré mardi par la Cour pénale internationale (CPI), qui le soupçonne de subornation de témoins, le secrétaire général adjoint du Mouvement de libération du Congo (MLC, de Jean-Pierre Bemba), Fidèle Babala, est arrivé à Kinshasa jeudi soir.
Selon une note interne de la Cour pénale internationale (CPI) rendue publique lundi, les plaidoiries finales dans l’affaire Bemba « seront entendues à partir du 13 octobre ». Le verdict pourrait alors être prononcé au plus tard début 2015.
Paul Madidi, porte-parole de la Cour pénale internationale (CPI) en RDC, a confié à « Jeune Afrique » que le procès de Jean-Pierre Bemba, ancien chef militaire du Mouvement pour la libération du Congo (MLC, ex-groupe rebelle), se déroulait dans « de bonnes conditions ». Et ce, malgré la récente arrestation de certains proches, dont son avocat, poursuivis pour subornation de témoins.
Le procès de l’ex-vice-président congolais, Jean-Pierre Bemba, devant la Cour pénale internationale (CPI) a repris mardi 14 août à la Haye et entre « dans une nouvelle phase », a déclaré la juge Sylvia Steiner. Après le bureau du procureur, c’est désormais au tour de la défense de présenter son dossier.
En appelant à voter le 28 novembre pour l’opposant congolais qui aura « le plus de chances de garantir le changement et l’alternance », sans plus de précision, Jean-Pierre Bemba tente d’influencer la présidentielle de 2011 en RDC… tout en préservant au maximum ses chances d’alliances pour 2016. Analyse.
À cinq jours de la présidentielle en RDC, Jean-Pierre Bemba appelle à voter pour l’opposant congolais qui aura « le plus de chances de garantir le changement ». Quant au secrétaire général de son parti, le MLC, il est encore plus direct : il fait savoir qu’il votera « Tshisekedi ».
L’ancien vice-président de la RDC, Jean-Pierre Bemba, s’est déclaré candidat à l’élection présidentielle de novembre. Il est toujours détenu à La Haye, où il doit répondre devant la Cour pénale internationale d’accusations de crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par des miliciens de son parti en Centrafrique.
Son procès devant la Cour pénale internationale s’est ouvert le 22 novembre. Accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, l’ancien vice-président de la RDC joue son avenir politique. Et compte se défendre pied à pied.
Alors que la première audience du procès de Jean-Pierre Bemba s’ouvrait cet après-midi à La Haye devant la CPI, les différentes parties ont exposé leurs principaux arguments lors d’une conférence de presse matinale.
Plus rien n’empêche désormais la CPI d’ouvrir le procès de Jean-Pierre Bemba. Elle vient de rejeter la demande de la défense qui en demandait l’annulation pour « exception d’irrecevabilité de la procédure ».
Même s’il y a peu de chances de sortir du quartier pénitenciaire de la CPI avant la présidentielle congolaise, rien ne s’oppose juridiquement à une candidature de Jean-Pierre Bemba.
Vital Kamerhe a rendu visite à Jean-Pierre Bemba, la bête noire du président Joseph Kabila, actuellement détenu par la Cour pénale internationale. Il cherche visiblement l’appui du parti de Jean-Pierre Bemba, en vue de la présidentielle.
L’ouverture du procès de l’ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre Bemba devant la Cour pénale internationale à La Haye, prévue le 5 juillet, est reportée au 14 juillet, a annoncé vendredi la CPI.
La Cour pénale internationale s’est prononcée contre remise en liberté provisoire de Jean-Pierre Bemba, en appel. L’ancien vice-président de RDC attendra le début de son procès, prévu pour avril 2010, derrière les barreaux.