Jean Ping

Jean Ping a été ministre de l’Information dans le gouvernement d’Omar Bongo, en 1990. En février 2008, il prend la tête de la Commission de l’Union africaine (UA). Se considérant comme le « président élu » du Gabon depuis le scrutin de 2016, dont il conteste les résultats, l’opposant à Ali Bongo Ondimba s’est fait plus discret ces dernières années. Il a peu à peu éloigné de son cercle proche ses collaborateurs de l’époque. Sa dernière intervention en date : son habituel discours de vœux pour la nouvelle année, publié sur les réseaux sociaux. Alors qu’approche le scrutin présidentiel du 2 septembre 2023, dont la campagne doit débuter le 19 août, difficile de savoir ce que compte faire l’ancien ministre des Affaires étrangères. Bien peu de ses connaissances croient en une nouvelle candidature face à son rival à la tête de l’État, Ali Bongo Ondimba – lequel tarde lui-même à annoncer une participation, jugée néanmoins certaine.

Jean Ping est l’une des dernières chances pour la paix en Côte d’Ivoire. © Vincent Fournier, pour J.A.

Échec de la médiation de Jean Ping

Pour Jean Ping, les contestations ne doivent pas « fausser la sincérité des élections » en Guinée. © D.R.

Jean Ping : « La situation en Guinée n’est pas si dramatique »

la suite après cette publicité
L’action de l’Union africaine de Jean Ping est bien perçue par l’administration Obama. © Reuters

Washington tresse des lauriers à Jean Ping

Pascaline Bongo, ici avec son frère Ali Bongo, le président gabonais. © AFP

Le mystère Pascaline

Le président de la Commission de l’UA, à l’hôtel Prince de Galles à Paris, le 14 janvier © Vincent Fournier pour Jeune Afrique

L’Afrique selon Jean Ping

Le président de la Commission de l’UA, à l’hôtel Prince de Galles, à Paris, le 14 janvier © Vincent Fournier/JA

2009 : « Annus horribilis », selon Jean Ping

Jean Ping © Reuters

Jean Ping

Union africaine : Jean Ping, an I

Jean Ping

la suite après cette publicité