Jean Ping a été ministre de l’Information dans le gouvernement d’Omar Bongo, en 1990. En février 2008, il prend la tête de la Commission de l’Union africaine (UA). Se considérant comme le « président élu » du Gabon depuis le scrutin de 2016, dont il conteste les résultats, l’opposant à Ali Bongo Ondimba s’est fait plus discret ces dernières années. Il a peu à peu éloigné de son cercle proche ses collaborateurs de l’époque. Sa dernière intervention en date : son habituel discours de vœux pour la nouvelle année, publié sur les réseaux sociaux. Alors qu’approche le scrutin présidentiel du 2 septembre 2023, dont la campagne doit débuter le 19 août, difficile de savoir ce que compte faire l’ancien ministre des Affaires étrangères. Bien peu de ses connaissances croient en une nouvelle candidature face à son rival à la tête de l’État, Ali Bongo Ondimba – lequel tarde lui-même à annoncer une participation, jugée néanmoins certaine.
Le président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping, est arrivé samedi à Abidjan pour rencontrer le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo et son rival Alassane Ouattara en pleine flambée de violences dans le pays, a-t-on appris de source proche de l’UA.
Le président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping, était vendredi à Abidjan pour une médiation entre les deux présidents proclamés de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara. L’échec est patent : le président sortant a refusé en bloc les propositions dont Ping était porteur.
Présent à Cotonou, où il participe au symposium sur le cinquantenaire des indépendances africaines dans l’espace francophone, le président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping, réagit pour jeuneafrique.com aux derniers développements de l’actualité en Guinée.
Présent à New York, où il a participé au sommet des chefs d’État sur les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), du 20 au 22 septembre, le président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping, réagit aux sujets les plus sensibles de l’actualité africaine.
Les États-Unis ont loué les efforts de l’Union africaine (UA) en faveur de la démocratie sur le continent, lors de l’ouverture à Washington d’une session de dialogues entre l’administration Obama et l’organisation panafricaine, dirigée par Jean Ping.
L’aînée des Bongo Ondimba se fait de plus en plus discrète au palais présidentiel et à Libreville. Par choix ? Par souci de s’effacer ? Ou pour incompatibilité d’ambitions ?
Guinée, Côte d’Ivoire, Madagascar, Gabon, Kadhafi, la gouvernance, ses relations avec les chefs d’État… À la veille du 14e sommet de l’Union africaine, le président de la Commission s’est confié à Jeune Afrique.
Le président de la Commission de l’Union africaine (CUA) a ouvert, le 28 janvier à Addis-Abeba, les travaux des ministres des Affaires étrangères, dans le cadre du sommet biannuel de l’organisation.
« Les chefs d’État avaient besoin d’un fonctionnaire à la tête de l’Union africaine… ils l’ont trouvé ! » grince un proche d’Alpha Oumar Konaré. Un an après son arrivée à la tête de la Commission de l’UA, Jean Ping sait que la vieille garde de son prédécesseur lui reste hostile, mais il n’en a cure.