Le camp du maréchal Haftar se réjouit de voir que la nomination de Jean-Yves Le Drian aux Affaires étrangères produit déjà ses effets : le 18 mai, la diplomatie française a fait savoir qu’elle appelait à la création d’une armée nationale libyenne sous le commandement de celui-ci.
Le président français, Emmanuel Macron, se rend au Mali vendredi. Une visite d’une journée à Gao, dans le nord du pays, où le président étrennera en Afrique son costume de « chef de guerre » et s’entretiendra à deux reprises avec le président Ibrahim Boubacar Keïta.
L’ancien directeur de cabinet civil et militaire de Jean-Yves Le Drian au ministère de la Défense, Cédric Lewandowksi, va rejoindre le privé et le groupe EDF, a-t-on appris d’une source proche de l’intéressé.
Devenu au fil du temps le « Monsieur Afrique » de François Hollande, le ministre français de la Défense a fait ses adieux dimanche au continent sur un message, « ne rien céder » face au terrorisme, et un conseil pour son successeur, la « patience ».
Le journaliste Hubert Coudurier dresse un portrait à l’africaine du ministre de la Défense français dans son livre biographique » Jean-Yves Le Drian, le glaive du président ».
Il est toujours hors de question, pour l’armée française, de passer aux aveux publiquement. Les faits ont pourtant été reconnus, dans le secret d’une réunion tenue à huis-clos par des militaires de l’opération Barkhane : le 30 novembre, au cours d’une patrouille menée dans l’extrême-nord du Mali, des soldats français ont tué un enfant, puis l’ont enterré en catimini.
En déplacement à Bangui lundi, le ministre français de la Défense, Jean-Yves le Drian, a entériné la fin officielle de l’opération militaire Sangaris. Reportage.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a officialisé la fin de l’opération Sangaris lors d’une visite éclair dans la capitale centrafricaine Bangui ce lundi. Il a néanmoins assuré que l’armée française resterait présente et vigilante.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est arrivé dimanche soir à Bangui pour officialiser la fin de l’opération Sangaris, malgré les regains de violences.
Le ministre de la Défense français a reçu lundi 13 juin à l’hôtel de Brienne les représentants de plusieurs gouvernements venus passer commande d’armements à l’occasion de la deuxième édition du salon Eurosatory (13-17 juin), premier au monde dans les domaines terrestre et aéro-terrestre. Parmi les États africains les plus en vue se trouvaient l’Égypte et la Côte d’Ivoire.
La France et le Nigeria ont signé jeudi une feuille de route sur leur coopération militaire, notamment en matière de renseignement, afin de renforcer la lutte contre Boko Haram dans la région du lac Tchad.
Après son déplacement au Mali et au Burkina (18-20 février) en compagnie de Manuel Valls pour réaffirmer le soutien de la France à la lutte antiterroriste dans la bande sahélo-saharienne, Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, envisage de se rendre courant avril au Nigeria, au Cameroun et au Tchad afin de faire le point sur la coopération régionale contre Boko Haram.
La France va poursuivre son opération antiterroriste au Sahel dans son format actuel, malgré les deux attentats qui viennent de toucher Bamako et Ouagadougou. C’est ce qu’a affirmé le ministre de la Défense français, Jean-Yves Le Drian, mercredi.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian a accordé une interview à Jeune Afrique, dans l’édition en kiosque du 6 au 12 décembre, à l’occasion d’un dossier consacré à l’expansion de l’État islamique en Afrique.
Recep Tayyip Erdogan, John Kerry, Ban Ki-moon, Shinzo Abe… Les visiteurs de poids se bousculent au portillon djiboutien, soucieux de bénéficier de sa position stratégique.
On en sait un peu plus sur les tentatives d’escroquerie dont a été victime, fin juillet et jusqu’à la mi-août, le ministre français de la Défense. Jeune Afrique révélait en effet début août que des escrocs basés en Israël avaient téléphoné à plusieurs chefs d’État africains en se faisant passer pour Jean-Yves Le Drian.
Des escrocs basés en Israël ont téléphoné à plusieurs chefs d’État africains en se faisant passer pour Jean-Yves Le Drian, afin de leur soutirer des millions d’euros. Le ministre français de la Défense a porté plainte.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, est reparti de Bangui et Brazzaville (avant de gagner Le Caire et Djibouti) plutôt confiant quant à la tenue de l’élection présidentielle centrafricaine aux dates prévues : 18 octobre et 22 novembre.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, est attendu de pied ferme à Djibouti ce dimanche pour une visite de deux jours sur fond de rapports distendus entre les deux pays.
Le ministre français de la Défense doit notamment rencontrer Denis Sassou Nguesso et Ismaïl Omar Guelleh lors d’une tournée africaine, du 22 au 28 juillet.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, a effectué lundi un déplacement à Gao et Bamako pour afficher le soutien de France à la Minusma et aux autorités maliennes après la signature de l’accord de paix.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, a refusé jeudi de confirmer la mort du chef terroriste Mokhtar Belmokhtar, mais affirmé que celle-ci était tout de même « très probable ».
Initialement programmée pour avril, puis repoussée pour des raisons de calendrier, la visite de Jean-Yves Le Drian à Djibouti, très attendue par les autorités locales comme par les militaires français, est de nouveau d’actualité : elle devrait avoir lieu en juillet.
Si un soldat français s’est rendu coupable de viol sur un enfant lors de la mission Sangaris en Centrafrique, il doit « se dénoncer immédiatement », a estimé le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian.
Attendu à Djibouti pour sa première visite dans ce pays – « une date avait été retenue en avril, mais apparemment elle ne convenait pas au calendrier du président Ismaïl Omar Guelleh [IOG] », assure-t-on à Paris -, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a été reçu, le 19 avril, par le chef de l’État djiboutien… à Aqaba, en Jordanie.
Très attendue par les autorités comme par les militaires français, la visite de Jean-Yves Le Drian à Djibouti, qui devait avoir lieu au mois d’avril, a été reportée.
À la suite de l’interview d’Ismaïl Omar Guelleh dans « Jeune Afrique » paru cette semaine, le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a décidé d’aller rendre visite dès avril au président de Djibouti, « en fonction des disponibilités » de ce dernier.
Un an après le déclenchement de l’opération Sangaris, et deux ans après celui de l’opération Barkhane, le ministre français de la Défense affiche ses objectifs : des transitions politiques réussies et davantage de coopération régionale en matière de sécurité.