Joe Biden a été élu président des États-Unis à l’issue de l’élection du 3 novembre 2020. Le démocrate succède à Donald Trump et deviendra officiellement le 46e président américain lors de son investiture, prévue le 20 janvier 2021.
Renseignement, avion de surveillance… La coopération sécuritaire entre les États-Unis et la Côte d’Ivoire s’est renforcée ces derniers mois. Explications.
Le secrétaire d’État américain débute ce 22 janvier une tournée d’une semaine en Afrique de l’Ouest afin de maintenir l’influence de Washington face à celles, grandissantes, de Pékin et Moscou.
La « Madame Afrique » du président américain s’est entourée de nouveaux responsables pour l’Afrique centrale et australe, tandis que son actuel bras droit vient également d’être fraîchement nommé.
Joe Biden évoque une action « défensive » pour protéger, notamment, le commerce international. Les Houthis disent cibler les navires commerciaux qu’ils soupçonnent d’être liés à Israël, affirmant agir en « solidarité » avec la bande de Gaza.
Pour la deuxième fois seulement dans l’histoire des États-Unis, une élection présidentielle devrait opposer les deux derniers chefs de l’État élus à la Maison Blanche. Un match retour aux airs de revanche qui n’enthousiasme personne.
La Chambre de commerce des États-Unis a une nouvelle responsable pour l’Afrique. Kendra Gaither ambitionne d’approfondir des relations commerciales qui sont loin d’avoir atteint tout leur potentiel. Rencontre.
La trêve de 72 heures, annoncée le 11 décembre par Washington, semble se poursuivre pour le moment. Alors que les combats entre le mouvement rebelle et l’armée congolaise se rapprochaient de Goma ces derniers jours, les discussions se sont intensifiées en coulisses pour tenter de faire baisser la tension.
Alors que l’offensive se poursuit et que les conditions de vie des Palestiniens déplacés se dégradent, Washington semble hausser le ton face à Tel-Aviv.
Très attendue par le président angolais, João Lourenço, la rencontre avec son homologue américain, Joe Biden, acte le renforcement des relations entre les deux pays. Sans résoudre tous les challenges de la coopération bilatérale.
L’Afrique sera très largement représentée lors de la Conférence des parties sur le climat de l’ONU, qui se tiendra du 30 novembre au 12 décembre aux Émirats arabes unis. JA dévoile l’agenda des présidents.
La pause humanitaire de quatre jours se termine théoriquement ce 27 novembre. Après plusieurs échanges d’otages et de prisonniers, les discussions sont en cours pour éviter une reprise des combats.
En opération séduction lors des Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale, l’ancien cadre du secteur privé, soucieux de son image soigneusement forgée de défenseur des populations vulnérables, a fait en sorte que l’on ne s’appesantisse pas sur sa – trop – grande proximité avec les intérêts américains.
À l’heure où Israël poursuit ses bombardements sur Gaza dévasté, les négociations avec le Hamas pour obtenir la libération des otages capturés lors de l’attaque du 7 octobre se poursuivent. Les détails doivent être annoncés prochainement.
Depuis le 7 octobre et le lancement de l’offensive du Hamas sur Israël, la communauté internationale se divise entre les partisans de l’un ou l’autre camp. Un classique, surtout de la part des grandes puissances qui ont toujours entretenu un rapport particulier avec le conflit israélo-arabe.
Le Premier ministre israélien a rejeté une nouvelle fois cette possibilité, alors que le territoire palestinien sous contrôle du Hamas est devenu selon l’ONU « un cimetière pour les enfants ». Benjamin Netanyahou a promis d’y prendre la « responsabilité générale de la sécurité » après la guerre qui entre, ce 7 novembre, dans son deuxième mois.
Les contours et l’avenir de la loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique sont au cœur des discussions entre les ministres du Commerce américain et africains qui se tiendront à Johannesburg du 2 au 4 novembre.
Parallèlement au gouvernement d’union nationale d’urgence, un organe de contrôle militaire a été créé. Sa mission : diriger les opérations dans la bande de Gaza. Il est composé de cinq figures politiques majeures, dont trois généraux.
Derrière l’affrontement entre Israël et le Hamas, nombre d’acteurs s’agitent de manière plus ou moins visible. Allié du Hezbollah et discret soutien du Hamas, l’Iran espère peser sur les équilibres régionaux et profiter du conflit.
Le président français a également rappelé l’objectif d’une solution à deux États dans le conflit israélo-palestinien. De leur côté, les négociateurs qataris affichent leur optimisme quant à la libération des otages.
Washington a mis en garde l’Iran contre tout élargissement du conflit déclenché par l’attaque meurtrière du mouvement islamiste Hamas, au cours de laquelle plus de 1 400 Israéliens, pour la plupart des civils, ont été tués. Du côté palestinien, plus de 4 500 personnes, en majorités des civils dont 1 900 enfants, ont trouvé la mort à ce jour.
En visite à Tel-Aviv, le président américain a fait sienne la version israélienne sur le bombardement de l’hôpital al-Ahli Arabi. Il a par ailleurs annoncé l’entrée de camions d’aide humanitaire à Gaza depuis l’Égypte.
En visite aujourd’hui en Israël, le président américain a affirmé sa volonté de travailler avec Israël pour éviter « davantage de tragédie » touchant les civils. Il a également tenté d’obtenir le passage des convois humanitaires actuellement bloqués à la frontière égyptienne.
Joe Biden doit rencontrer aujourd’hui Benyamin Netanyahou dans un contexte dramatique, après le bombardement de l’hôpital Al-Ahli Arabi de Gaza, tandis que Donald Trump tente de rétropédaler après avoir loué « l’intelligence » du Hezbollah.
Visite du président Biden en Israël, départ de l’aide humanitaire vers Rafah : les soutiens se pressent dans la région alors que l’Iran menace d’une « action préventive » si l’offensive terrestre israélienne a bien lieu.
Le président de l’Autorité palestinienne a mis plusieurs jours à réagir au déclenchement d’une nouvelle guerre entre Israël et le Hamas. Mais est-il encore audible ?
Depuis quelques années, le débat sur le nombre de mandats effectués par les chefs d’État agite l’opinion publique africaine. Et nombreux sont ceux qui établissent une corrélation entre la limitation de la durée au pouvoir et la gouvernance idéale. À tort, selon Rachid Ndiaye.