Président du Ghana depuis 2012, il est né en 1958 à Damongo, dans l’ouest du pays. En 1986, il étudie la communication puis la psychologie sociale à Moscou. Il s’occupe des relations publiques à l’ambassade du Japon au Ghana, entre 1991 et 1995. Député depuis 1996, il dirige ensuite le ministère de la Communication jusqu’en 2001. Sept ans plus tard, il est élu vice-président de la République.
Sans surprise, le président ghanéen John Dramani Mahama a été désigné à une large majorité candidat de son parti, le Congrès démocratique national (NDC). Il briguera donc un second mandat en 2016.
La justice ghanéenne a condamné mardi un homme à dix ans de prison après qu’il a été arrêté armé dans une église fréquentée par le président du Ghana, John Dramani Mahama, qu’il a dit vouloir assassiner. L’homme de 36 ans, inconnu du public, n’a jamais joué aucun rôle sur la scène politique.
Alors que, selon des résultats partiels, Faure Gnassingbé arrive largement en tête de la présidentielle du 25 avril, son rival Jean-Pierre Fabre refuse de reconnaître sa défaite. Les chefs d’États du Ghana et de la Côte d’Ivoire sont arrivés à Lomé « pour des consultations ».
Le Conseil des ministres a décidé vendredi de reporter l’élection présidentielle togolaise au 25 avril. Le président en exercice de la Cedeao, le Ghanéen John Dramani Mahama, avait proposé mardi aux autorités de repousser de dix jours le scrutin.
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a proposé mardi que la présidentielle togolaise soit reportée de 10 jours. Initialement prévu le 15 avril, le scrutin aurait ainsi lieu le 25 du même mois.
Convié à la célébration officielle du cinquantenaire de l’indépendance gambienne, ce mercredi, à Banjul, le président sénégalais, Macky Sall, a décliné l’invitation de son homologue Yahya Jammeh. Un accroc de plus dans la relation en dents de scie entre les deux chefs d’État.
À l’issue d’une session extraordinaire de la conférence des chefs d’État de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), organisée jeudi à Accra, les pays membres ont demandé à la communauté internationale et aux autres partenaires de ne pas imposer de sanctions au Burkina Faso, « compte tenu des efforts en cours au niveau de la région ».
Un accord sur la transmission du pouvoir aux civils a été trouvé mercredi soir au Burkina. Aucune personnalité n’a toutefois été désignée pour diriger cette période de transition d’un an devant conduire à la tenue d’élections en novembre 2015. Décryptage.
Les présidents Macky Sall, Goodluck Jonathan et John Dramani Mahama ont demandé mercredi à l’armée ainsi qu’aux représentants de l’opposition, de la société civile, et aux chefs traditionnels et religieux de proposer chacun, d’ici ce soir, trois noms de civils susceptibles de prendre la tête de la transition.
Après s’est entretenus avec le lieutenant-colonel Isaac Zida, John Dramani Mahama, Goodluck Jonathan et Macky Sall doivent rencontrer les partis de l’opposition burkinabè et la société civile.
À l’issue d’une réunion organisée mardi matin à Ouagadougou entre les leaders de l’opposition et les envoyés de la Cedeao, de l’Union africaine et des Nations unies, le chef de file de l’opposition, Zéphirin Diabré, a annoncé la venue à Ouagadougou, mercredi, des présidents Macky Sall (Sénégal), Goodluck Jonathan (Nigeria) et John Dramani Mahama (Ghana), afin de « faciliter la sortie de crise ».
Crise malienne, acords APE, épidémie d’Ebola… Élu le 29 mars président de la Communauté des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), le chef de l’État ghanéen, John Dramani Mahama, s’est confié à « Jeune Afrique » en marge du sommet Union européenne-Afrique (2 et 3 avril à Bruxelles).
Le président ghanéen, John Dramani Mahama, succède à son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, à la tête de la Cedeao. L’annonce a été faite samedi lors du 44e sommet de l’organisation ouest-africaine.
La Cour suprême vient de confirmer, ce jeudi 29 août, la victoire de John Dramani Mahama à l’élection présidentielle du Ghana, après huit mois de débats sur des fraudes éventuelles.
La décision de la Cour suprême du Ghana est attendue, le 29 août, sur la validité, ou non, de la réélection de John Dramani Mahama lors du dernier scrutin présidentiel. Un test pour une des démocraties exemplaires du continent africain.
À l’issue de son tête-à-tête avec François Hollande, le chef de l’État ghanéen s’est confié à J.A., abordant aussi bien les questions de sécurité régionale que les rapports avec son voisin ivoirien.
Élu en décembre dernier, le président ghanéen, John Dramani Mahama doit rencontrer son homologue français, François Hollande, ce mardi 28 mai, à l’Élysée.
Le président ghanéen, John Dramani Mahama, vainqueur de l’élection présidentielle du mois dernier, a prêté serment lundi 7 janvier. L’opposition, qui a contesté les résultats du scrutin devant les tribunaux, avait annoncé qu’elle boycotterait la cérémonie.
Ancien vice-président du Ghana, John Dramani Mahama a déjoué les pronostics en s’imposant au sein de son parti et dans les urnes, le 7 décembre. Son challenger, Nana Akufo-Addo, semble toujours décidé à contester les résultats devant la Cour suprême.
La commission électorale du Ghana a donné les résultats provisoires définitifs de la présidentielle de vendredi et samedi derniers. Le sortant John Dramani Mahama (NDC) est déclaré vainqueur avec 50,70% des voix mais son rival Nana Akufo-Addo (NPP) entend démontrer que c’est lui qui a été élu.
Le président par intérim John Dramani Mahama mène d’une courte tête devant son principal rival Nana Akufo-Addo, selon de premiers résultats non-officiels de l’élection présidentielle qui a eu lieu dans le calme vendredi au Ghana.
John Dramani Mahama portera les couleurs du parti au pouvoir à la présidentielle ghanéenne de décembre. Portrait d’un homme que le décès de John Atta Mills a propulsé à la magistrature suprême.
John Dramani Mahama défendra les couleurs du Congrès national démocratique (NDC) lors de l’élection présidentielle qui aura lieu en décembre au Ghana. Seul à briguer l’investiture, le successeur de feu John Evans Atta Mills à la tête de l’État a été élu par 99,5% des délégués de son parti.
« Que la terre lui soit légère » : c’est ce que souhaitent à John Atta Mills, décédé le 24 juillet dernier, tous ceux qui l’admiraient. Après trois jours de cérémonies nationales, les obsèques de l’ancien président ghanéen s’achèvaient à Accra, vendredi 10 août, dans la ferveur populaire et en présence de seize chefs d’État.
Le Congrès national démocratique (NDC), le parti du président défunt John Atta-Mills, soutiendra la candidature du vice-président, John Dramani Mahama, à la présidentielle de décembre prochain.
Le président ghanéen John Atta-Mills est mort subitement, mardi 24 juillet, à l’âge de 68 ans. Les raisons officielles de son décès ne sont pas encore connues. Mais la procédure de succession s’est mise en place sans difficultés, dans un pays devenu un exemple de démocratie et de réussite économique sur le continent.
Des milliers de partisans de l’opposition au Togo défilaient à nouveau samedi dans les rues de Lomé contre la réélection du président Faure Gnassingbé le 4 mars.