Né en 1957 à Cacheu, à l’ouest du pays , José Mario Vaz a été président de la Guinée-Bissau de 2014 à 2020. Il arrive au pouvoir comme candidat du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC). Après un diplôme d’économiste obtenu à Lisbonne au Portugal, il rejoint la Banque du Portugal en 1982 comme membre du bureau des études économiques. Avant de diriger le ministère des Finances, il est élu maire de la ville de Bissau en 2004.
Élu à la tête de l’État le 13 avril 2014, il échoue à se faire réélire pour un second mandat. Il apportera son soutien à Umaro Sissoco Embaló en 2020.
Contre l’avis du parti au pouvoir, le président José Mario Vaz a nommé jeudi Baciro Dja au poste de chef du gouvernement. Le PAIGC appelle à la manifestation.
Les partisans du Premier ministre destitué et une coalition de syndicats ont appelé à une série de manifestations dès lundi pour obtenir la reconduction de Domingos Simoes Pereira à son poste de chef du gouvernement.
La formation au pouvoir en Guinée-Bissau, le PAIGC, a reproposé au chef de l’État José Mario Vaz le nom de Domingos Simoes Pereira comme Premier ministre, trois jours après son limogeage, a annoncé samedi à l’AFP la deuxième vice-présidente du PAIGC.
Le président José Mario Vaz a limogé mercredi soir le gouvernement formé en juillet 2014 par son Premier ministre, Domingos Simões Pereira. Au risque de replonger la Guinée-Bissau dans l’impasse.
Le président bissau-guinéen José Mario Vaz a renvoyé mercredi soir le gouvernement, sur fonds de vives tensions avec le Premier ministre. Reste à savoir comment le parti au pouvoir, dont sont issus les deux hommes, réagira.
Le Premier ministre bissau-guinéen, Domingos Simoes Pereira, a annoncé vendredi la dissolution prochaine du gouvernement par le président José Mario Vaz, en raison d’un conflit entre les deux hommes. Près de 400 personnes ont manifesté devant le palais présidentiel à Bissau pour s’y opposer.
À Bruxelles, les bailleurs de fonds internationaux se sont engagés à accorder plus d’un milliard d’euros d’aides à la Guinée-Bissau, a annoncé la Commission européenne, co-organisatrice de l’évènement.
Convié à la célébration officielle du cinquantenaire de l’indépendance gambienne, ce mercredi, à Banjul, le président sénégalais, Macky Sall, a décliné l’invitation de son homologue Yahya Jammeh. Un accroc de plus dans la relation en dents de scie entre les deux chefs d’État.
Putschiste récidiviste recherché par la justice américaine pour complicité de narcotrafic, le chef d’état-major de l’armée bissau-guinéenne était devenu trop encombrant.
Le chef de l’armée, le général Antonio Indjai, meneur du coup d’État d’avril 2012 et recherché par les États-Unis pour trafic de drogue, a été limogé lundi par le président José Mario Vaz.
Les fermetures de frontière s’enchaînent en Afrique de l’Ouest. Mardi, c’est la Guinée-Bissau qui annonce fermer jusqu’à nouvel ses frontières Sud et Est avec la Guinée.
La Guinée-Bissau s’est dotée vendredi d’un gouvernement sous la direction du Premier ministre, Domingos Simoes Pereira, une équipe dominée par le parti du président José Mario Vaz investi il y a onze jours, selon un décret rendu public à Bissau.
Sur son passé d’enfant-soldat, Allen Yéro Embalo a tiré un trait. Devenu journaliste, il veut porter la plume dans la plaie. Pas facile dans un pays où les trafics gangrènent jusqu’au sommet de l’État.
On craignait que la victoire de José Mario Vaz à la présidentielle bissau-guinéenne ne provoque des remous. Or un gouvernement d’union avec l’opposition est en vue, et l’état-major agrée. Pourvu que ça dure !
José Mario Vaz, candidat du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), a été élu mardi président de Guinée-Bissau. Il a remporté 61,90% des voix face à son adversaire Nuno Gomes Nabiam, candidat soutenu par l’armée.
Au lendemain du second tour de la présidentielle bissau-guinéenne, le Conseil de sécurité de l’ONU a appelé lundi les candidats et leurs partisans à « respecter la volonté démocratique de la population ».
Les électeurs de Guinée-Bissau ont commencé à voter dimanche pour le second tour de l’élection présidentielle dans l’espoir de ramener la stabilité dans ce pays au passé politique tumultueux.
La Guinée-Bissau, pays miné par la violence politico-militaire et le trafic de drogue, vote dimanche au second tour d’une élection présidentielle pour tourner la page de deux ans de transition ouverte le 12 avril 2012 par un énième coup d’État militaire.
La campagne pour le second tour de l’élection présidentielle du 18 mai en Guinée-Bissau a été lancée vendredi pour deux semaines, premier jour marqué à Bissau par une forte animation et des annonces de soutien à un des deux candidats.
Comme il y a deux ans, un candidat du PAIGC arrive en tête du premier tour de la présidentielle. Mais cette fois, c’est un indépendant qui crée la surprise, avec le soutien officieux de l’armée. Épilogue le 18 mai prochain, sauf complications.
José Mario Vaz, du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée-Bissau et du Cap-Vert (PAIGC, principal parti du pays), affrontera le candidat de l’armée, Nuno Gomes Nabiam, le 18 mai, au second tour de la présidentielle en Guinée-Bissau.
La campagne pour la présidentielle et les législatives du 13 avril débute samedi en Guinée-Bissau, des scrutins censés ramener la stabilité deux ans après un coup d’Etat qui avait à nouveau frappé ce pays habitué à la violence politico-militaire.
Malgré une requête du parquet général visant à faire invalider la candidature de José Mario Vaz, du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), à la présidentielle prévue le 13 avril, la Cour suprême a entériné sa participation au scrutin…
Le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), qui écrase la vie politique bissau-guinéenne depuis l’indépendance, vient de désigner in extremis son futur candidat à la présidentielle prévue le 13 avril en la personne de l’ancien ministre des Finances José Mário Vaz.