Joseph Kony est le chef des rebelles de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), ou Lord’s Resistance Army. Le groupe cible ses actions entre l’Ouganda et le Soudan du Sud, dans le but de renverser le président ougandais, Yoweri Museveni. Joseph Kony est visé par un mandat d’arrêt de la Cour Pénale Internationale (CPI), pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. En effet, le groupe et son chef sont accusés de rapts d’enfants pour en faire des soldats, mais aussi de massacres de civils. L’objectif de la LRA est d’instaurer un système théocratique fondé sur les principes de la Bible et des Dix Commandements.
C’est l’homme le plus recherché d’Afrique. Le fondateur de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), un groupe rebelle qui a semé la terreur pendant plus de trente ans en Ouganda, est traqué depuis 2005 par la justice internationale pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
La Cour pénale internationale a rendu son verdict, le 6 mai. Reconnu coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, l’Ougandais purgera une peine de vingt-cinq ans de prison.
Plus de trente après avoir fondé en Ouganda l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), le chef de guerre Joseph Kony, recherché par la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, court toujours.
En 2012, une vidéo virale de l’ONG Invisible Children – plus de 100 millions de vues en six jours – appelait à l’arrestation du chef de guerre ougandais Joseph Kony. Sept ans après, un documentaire revient sur cette campagne controversée qui masquait en fait une « croisade américaine » en Afrique centrale.
L’ONG Human Rights Watch (HRW) a dénoncé, dans un rapport publié lundi, des abus sexuels commis selon elle entre 2009 et 2017 sur plusieurs femmes par des militaires ougandais déployés dans l’est de la Centrafrique.
Les États-unis débutent mercredi le retrait de leurs forces sécuritaires déployées depuis 2011 à l’est de la Centrafrique dans la lutte contre la rébellion de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Kony.
En Ouganda, l’armée américaine vient d’annoncer la fin de ses opérations contre une Armée de résistance du Seigneur qui serait réduite à néant. Mais le leader de la LRA, lui, court toujours…
Le commandant de la Brigade de Sinia de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) comparaît devant la Cour pénale internationale à l’occasion de son procès, qui a repris lundi.
Le 6 décembre s’est ouvert, à la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye le procès de Dominic Ongwen, l’un des principaux lieutenants de l’Armée de résistance du seigneur (LRA), groupe rebelle apparu dans le maquis ougandais il y a plus de trente ans et dirigé d’une main de fer par l’un des hommes les plus recherchés d’Afrique, Joseph Kony.
À l’ouverture de son procès mardi devant la Cour pénale internationale (CPI), l’enfant soldat devenu l’un des principaux chefs de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) a plaidé non coupable alors qu’il doit répondre de 70 crimes de guerre et crimes contre l’humanité dans son pays.
Sur les neuf pays qui font l’objet d’une enquête par la Cour Pénale Internationale, huit sont africains. Une statistique qui nourrit les accusations de « chasse raciale » portées par l’Union africaine, dans un contexte tendu. Le Burundi et l’Afrique du Sud viennent en effet de se retirer de la CPI.
Washington a annoncé mercredi 24 août avoir pris des sanctions économiques à l’encontre des deux fils de Joseph Kony, le leader de la guérilla ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA).
Dominic Ongwen, l’un des chefs les plus redoutés de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA), la sanglante rébellion ougandaise, comparaîtra devant la Cour pénale internationale à partir du 6 décembre pour crimes contre l’humanité, a annoncé la CPI lundi.
Les Nations unies ont indiqué lundi qu’un Casque bleu marocain de la Minusca a été tué lors d’une attaque la veille menée par des membres présumés de l’Armée de résistance du seigneur dirigée par Joseph Kony.
Les Nations unies ont documenté le meurtre de 333 enfants et la mutilation de 589 autres au cours des vagues successives de violences en Centrafrique depuis 2013, selon un nouveau rapport sur la situation des enfants dans le pays, publié lundi.
L’Armée de résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Kony a enlevé plus de 200 personnes, dont une cinquantaine d’enfants, depuis le début de l’année dans l’est de la Centrafrique, selon des ONG américaines. Soit deux fois plus qu’en 2015.
Un des chefs de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) a été capturé lundi en Centrafrique. Il s’agit de Okot Odek, un des principaux commandants de la sanguinaire rébellion ougandaise, a indiqué mercredi une source au sein de la gendarmerie centrafricaine.
En marge du Forum de Bangui, huit groupes rebelles centrafricains ont signé mardi un accord avec le pouvoir au sujet de la libération des enfants-soldats enrolés de force dans leurs troupes. Un pas important vers la pacification du pays, salué par l’Unicef.
Dominic Ongwen, l’ex-adjoint du leader de la LRA, Joseph Kony, s’est rendu au forces spéciales américaines avec des informations de première main sur son ancien mentor.
Les rebelles ougandais ne sont plus qu’une poignée, éparpillés aux confins de la Centrafrique et de la RD Congo. Et avant tout préoccupés par leur propre survie.
Dominic Ongwen, figure majeure de la LRA de Joseph Kony, est arrivé mercredi matin au centre de détention de la Cour pénale internationale à La Haye, aux Pays-Bas. Il avait été remis la veille par les autorités ougandaises à Kampala.
Sans attendre la confirmation de Washington, l’armée ougandaise a annoncé mercredi que Dominic Ongwen, l’un des principaux chefs de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Kony, s’est rendu aux forces spéciales américaines en Centrafrique.
La guérilla ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) continue de semer la terreur dans le sud-est de la Centrafrique, notamment grâce à certains éléments de l’ex-rébellion Séléka qui apporteraient ponctuellement de l’aide à ses membres, selon des experts du dossier.
Le président américain, Barack Obama, a autorisé l’envoi de 150 hommes des forces spéciales, appuyés par quatre avions de transport CV-22 Ospreys et des avions ravitailleurs. Ces renforts seront déployés entre la Centrafrique, l’Ouganda et la RDC pour traquer le chef de la LRA, Joseph Kony.
L’Ouganda et les États-Unis ont fait état vendredi du possible décès du numéro 2 de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), la sinistre et sanguinaire rébellion ougandaise, Okot Odhiambo, recherché par la Cour pénale internationale (CPI).
Ces dernières années, Joseph Kony est devenu l’Africain le plus recherché du continent. Des ONG et des particuliers se bousculent sur le web pour collecter des sommes d’argent au nom de la traque du chef militaire de la LRA. Au risque de transformer le seigneur de guerre en fonds de commerce…
Le président de la transition, Michel Djotodia, affirme négocier avec le chef de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), Joseph Kony, recherché pour crimes contre l’humanité. Mais les États-Unis et l’ONU sont septiques sur la réalité de ces contacts. Explication.
Le chef de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), Joseph Kony, se trouverait en Centrafrique où les autorités de Bangui négocient avec lui pour qu’il sorte de la clandestinité, a indiqué mercredi un responsable de l’ONU.