Soucieux d’incarner l’opposition, le chef de l’EFF s’en est violemment et personnellement pris au président, tout juste réélu pour un second mandat. Celui-ci s’est défendu comme rarement.
Deuxième province en termes d’électeurs, le KwaZulu-Natal aura été au centre des attentions des partis qui se présentent aux élections générales du 29 mai. Reportage à Nongoma, dans le Zululand.
Les Sud-Africains sont appelés aux urnes le 29 mai pour un scrutin qui compte pour la composition de l’Assemblée nationale et des gouvernements provinciaux.
Deuxième province du pays par le nombre d’électeurs, la région zouloue est un réservoir de voix historique pour l’ANC. Ses concurrents en font une cible de choix dans la perspective des élections générales de mai.
La gauche radicale sud-africaine, menée par Julius Malema, lance samedi 10 février à Durban sa campagne en vue des élections générales prévues dans les prochains mois.
La question migratoire occupe une place importante dans le débat politique sud-africain. Et, à l’approche des élections générales, aucun parti n’hésite à l’instrumentaliser…
Après avoir assisté à l’investiture de Joseph Boakai à Monrovia, le chef des EFF, candidat à la présidentielle en Afrique du Sud, s’est rendu à Accra. Il y a notamment rencontré John Dramani Mahama.
Le président sud-africain, qui espère être réélu à l’issue des élections générales de 2024, se montre très discret sur sa vie privée. Plus question de donner prise au moindre scandale, comme cela a pu être le cas dans le passé.
Célébrant l’anniversaire de l’ANC, le président sud-africain a tenté de remobiliser son électorat en amont d’élections générales qui s’annoncent très risquées.
Ancienne militante anti-apartheid, proche de Nelson Mandela, Mamphela Ramphele est l’une des voix les plus critiques à l’égard de ceux qui dévoient l’héritage de l’ancien président sud-africain, mort il y a dix ans, le 5 décembre 2013.
Souvent mis en avant aussi bien par les démocrates que par les autocrates et les juntes militaires lors des coups d’État, le peuple reste le grand oublié de tous ces dirigeants qui prétendent agir en son nom.
En Afrique du Sud, le chef du parti Economic Freedom Fighters et le directeur de Tesla échangent des noms d’oiseaux, à la suite de la polémique sur le chant « Kill the Boer ».
Le parti des Combattants pour la liberté économique, qui célèbre ses dix ans ce samedi 29 juillet, secoue la scène politique sud-africaine depuis 2013 – au risque d’effrayer.
À l’approche des scrutins d’avril 2024, six partis d’opposition promettent de se parler en vue de former une coalition pour évincer le Congrès national africain.
Le 2 avril, l’Alliance démocratique, le premier parti d’opposition, a reconduit son chef pour mener campagne en vue des élections générales de 2024. Et s’est déjà choisi un adversaire et une stratégie.
Depuis la Turquie où il vit désormais, l’ancien président guinéen n’a pas tardé à reconstituer son carnet d’adresses. Avec qui a-t-il maintenu le contact parmi les chefs d’État, ses anciens ministres en exil ou encore les membres de son parti ?
Comme une métastase au-delà des anciennes colonies françaises, des centaines de manifestants sud-africains ont exigé le départ d’une France « impérialiste post-coloniale » du continent africain.
Exclu de l’ANC en 2012, le leader des Combattants pour la liberté économique (EFF) a passé les dix dernières années à siphonner les voix du parti au pouvoir et à bousculer le paysage politique en multipliant punch lines et harangues populistes.
Alors que la classe politique sud-africaine se divise sur l’attitude à adopter face à l’invasion russe de l’Ukraine, le parti des Combattants pour la liberté économique (EFF) soutient Vladimir Poutine et relaie la propagande du Kremlin.
Le trublion de la gauche radicale sud-africaine a été reconduit, sans surprise, à la tête de son parti, les Combattants pour la liberté économique (EFF), réuni en congrès à Johannesburg.
Le Congrès national africain (ANC) semblait assuré de remporter les élections législatives selon des résultats provisoires jeudi mais avec un score en net recul qui va compliquer la tâche du président Cyril Ramaphosa pour réformer le pays.
Le leader des Combattants pour La liberté économique (EFF), a mené une campagne à son image : tonitruante. Si son parti n’a que très peu de chance de remporter la majorité face à une ANC toute puissante, Julius Malema s’est forgé un statut d’incontournable, à coups de diatribes radicales contre des élites corrompues coupables à ses yeux d’avoir creusé les inégalités sociales.
Un quart de siècle après la fin de l’apartheid, la question raciale est encore marqueur politique fort entre les trois principaux partis sud-africains.
Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) a épinglé samedi le héraut de la gauche radicale sud-africaine Julius Malema pour avoir publié sur Twitter le numéro de téléphone d’une journaliste, victime depuis de menaces et de harcèlement.
Une des têtes d’affiche de l’opposition radicale sud-africaine s’est vigoureusement défendue samedi d’avoir bénéficié du pillage organisé d’une banque du pays, une affaire qui secoue la classe politique à quelques mois des élections générales.
Julius Maada Bio, candidat du principal parti de l’opposition, a devancé de près 15 000 voix son concurrent du parti au pouvoir, Samura Kamara, lors du premier tour de l’élection présidentielle du 7 mars, selon la Commission électorale nationale. Un second tour aura lieu le 27 mars.
Moins d’un mois après l’échec du vote de défiance contre le président Jacob Zuma, le 8 août dernier au Parlement, une partie de l’opposition sud-africaine lance une nouvelle procédure en vue d’obtenir, cette fois, la destitution du président sud-africain.
Les protestations anti-Zuma se poursuivent à travers tout le pays, comme hier à Pretoria la capitale. Attaqué de toutes parts, le président a brandi l’étendard du racisme. Drôle d’argument pour le chef de l’État qui avait déclaré en janvier 2016 : “Nous avons vaincu le racisme, notre société est une nation arc-en-ciel et non raciale.”