Les Sud-Africains sont convoqués mercredi pour les élections municipales. Un scrutin aux allures de test pour le Congrès national africain (ANC), le parti au pouvoir, puisque l’opposition est donnée en tête dans plusieurs grandes villes du pays, une situation inédite depuis la la fin de l’apartheid en 1994.
Les députés des Combattants pour la liberté économique, parti de Julius Malema, ont échangé des coups de poing avec des membres de la sécurité du Parlement mardi. Ils ont été expulsés de force de l’hémicycle, où ils réclamaient le départ du président Jacob Zuma.
Les députés du parti radical sud-africain, qui n’en sont pas à leurs premières échauffourées au sein du Parlement, se sont fait poussés vers la sortie de l’assemblée mercredi alors qu’ils tentaient de retarder la prise de parole du président Zuma.
Le chef du parti d’opposition sud-africain des Combattants pour la Liberté Economique (EFF), Julius Malema, a affirmé dans une interview à Al-Jazeera, diffusée dimanche soir, qu’il allait « bientôt perdre patience » et qu’il n’excluait pas d’avoir recours à la violence pour renverser le gouvernement.
Les accusations de corruption contre Julius Malema, leader du parti des Combattants pour la liberté économique (EFF), ont été abandonnées mardi, a annoncé la justice sud-africaine. Le juge en a décidé ainsi en raison des nombreux reports de son procès au cours des trois dernières années.
Julius Malema a annoncé jeudi son intention de porter plainte contre le vice-président sud-africain Cyril Ramaphosa, qu’il accuse d’être le commanditaire de la tuerie de Marikana, en août 2012, lorsque la police avait abattu 34 mineurs.
On s’y attendait : le discours annuel sur l’État de la nation sud-africaine a été jeudi une épreuve difficile pour le président Jacob Zuma. Discours interrompus, députés de l’opposition expulsés, invectives des partisans de Julius Malema… L’exercice a tourné au pugilat.
Pour le leader populiste sud-africain Julius Malema, c’est « tenue d’ouvrier ou tenue d’Adam ». Puisque le parlement lui interdit le port d’un vêtement d’ouvrier au sein de l’hémicycle, il menace de siéger nu.
Dans le numéro du quotidien « The Star » de ce lundi, Julius Malema, ancien enfant terrible de l’ANC, menace de siéger nu au Parlement si le nouveau règlement intérieur de l’hymicycle sud-africain en cours d’élaboration empêche à ses députés de porter leurs uniformes.
Le 30 septembre, le tribunal de Polokwane, dans le nord de l’Afrique du Sud, a décidé de renvoyer au 3 août 2015 le procès pour corruption ouvert à l’encontre de Julius Malema. Que reproche la justice sud-africaine à l’ancien enfant terrible de l’ANC ? Décryptage en quatre points.
Le parti au pouvoir en Afrique du Sud, l’ANC, a confirmé sa victoire aux législatives de mercredi avec 62,5% des voix, selon des résultats portant sur 95% des bureaux de vote. Le jeune tribun populiste Julius Malema crée la surprise en recueillant 6,1% des voix.
À l’occasion des élections nationales et provinciales du 7 mai prochain en Afrique du Sud, Jeune Afrique dresse le panorama des différents acteurs de ce scrutin qui débouchera sur l’élection du président au suffrage indirect.
Le leader populiste sud-africain Julius Malema a présenté son programme pour les élections de mai devant un stade comble près de Johannesburg, promettant « la vraie liberté » à la majorité noire, à savoir selon lui l’eau, l’électricité, l’emploi et des salaires corrects.
Le responsable politique sud-africain Julius Malema, 32 ans, exclu en 2012 du parti au pouvoir en Afrique du Sud, l’ANC, a lancé samedi un nouveau parti politique, qui veut rivaliser avec son ancienne formation aux élections de 2014.
Le procès du jeune tribun populiste Julius Malema, qui devait comparaître vendredi devant le tribunal de Polokwane (nord) pour blanchiment d’argent, a été reporté au 23 avril 2013, le parquet ayant décidé d’ajouter le racket à la liste des chefs d’inculpation.
Un mandat d’arrêt a été émis vendredi contre le jeune tribun populiste sud-africain Julius Malema, farouche opposant au président Jacob Zuma et récemment exclu de l’ANC au pouvoir, alors que l’agitation sociale s’est étendue à une nouvelle mine.
Très présent aux côtés des mineurs au moment du drame de Marikana, Julius Malema s’apprête cette fois à haranguer les bataillons militaires, qui ont eux aussi des revendications à faire valoir. Guidée tant par un certain opportunisme que par des convictions profondes, cette « hyper-présence » dans toutes les luttes n’est pas du goût des autorités sud-africaines, qui l’ont fait savoir.
Populiste, mais aussi opportuniste… Exclu du Congrès national africain (ANC), Julius Malema est à nouveau venu prêter main forte aux grévistes de la mine de Marikana, mardi 21 août. Il a lui-même porté plainte contre la police dont l’intervention a fait 34 morts, jeudi 16 août, lors de la répression du mouvement syndical.
Julius Malema, le leader exclu de la Ligue de jeunesse de l’ANC, le parti au pouvoir en Afrique du Sud, a accusé le président Jacob Zuma d’avoir remplacé la démocratie par « la dictature », a rapporté la presse samedi.
Julius Malema a été exclu mercredi par le Congrès national africain (ANC), qui lui reproche de n’avoir manifesté aucun remords après avoir semé la division dans le parti.
Il possède l’un des comptes Twitter les plus suivis d’Afrique et a pourtant cessé de gazouiller. Julius Malema, le controversé leader de la ligue de jeunesse de l’ANC (parti au pouvoir en Afrique du Sud), estime que son activité sur les réseaux sociaux pourrait être utilisée contre lui pour confirmer sa mise à l’écart du parti.
Le turbulent président de la Ligue de jeunesse de l’ANC, Julius Malema, a été condamné à cinq ans de suspension du parti au pouvoir en Afrique du Sud. Un jugement qui surprend par sa fermeté mais dont il peut faire appel.
Le trublion de l’ANC, Julius Malema a été condamné à payer une partie des frais de justice de son procès pour incitation à la haine, après avoir été reconnu coupable. Il avait remis au goût du jour dans ses meetings une chanson de la lutte anti-apatheid appelant à mettre à mort les Boers.
Le président de la Ligue de jeunesse de l’ANC comparait devant le conseil de discipline du parti ce mardi. Ses déclarations radicalement antioccidentales et ses propositions contraires à la ligne du parti lui sont reprochées. Ses supporters ont affronté les forces de l’ordre dans la matinée.
Le leader des jeunes de l’ANC a été condamné par son parti à une peine très modérée au regard des faits qui lui étaient reprochés. Explication : le parti est divisé et déjà en proie à des luttes intestines pour la succession du président Zuma.
Le chef de la Ligue de jeunesse de l’ANC (Ancyl), Julius Malema, doit être visé par une procédure disciplinaire interne au parti. Ses dérapages à répétition sur fond de vives tensions raciales ont fini par irriter les leaders de l’African National Congress (ANC).