Avisa Partners n’est pas la seule agence d’affaires publiques parisienne à opérer sur le continent. Enquête sur des concurrents qui influencent l’opinion.
L’instance faisant office de Sénat accuse le Premier ministre d’avoir empêché la tenue d’une réunion visant à organiser des élections, dont la tenue est reportée depuis près d’un an.
Hulusi Akar, le ministre turc de la Défense, et Abdulhamid Dabaiba, le Premier ministre du gouvernement de Tripoli, ont signé ce 26 octobre deux accords, portant notamment sur la modernisation par Ankara de l’aviation militaire libyenne.
Abdel Fattah al-Sissi s’est rendu à Doha pour une rencontre qui scelle le rétablissement des relations avec les Qataris, et qui a nourri les spéculations sur un éventuel accord libyen, où les deux pays sont impliqués.
Annoncée dès le 15 août, la nomination du diplomate sénégalais au poste de représentant spécial des Nations unies avait d’abord été refusée par Tripoli. Elle a finalement été entérinée le 2 septembre.
Il a fait son retour à l’occasion de l’éphémère course à la présidence libyenne en décembre. Mais depuis le report du scrutin, le fils de Mouammar Kadhafi est de nouveau insaisissable. JA est parti sur ses traces.
Alors que le pays compte toujours deux Premiers ministres, le chef du Conseil présidentiel tente de se poser en arbitre de la crise libyenne. Son intervention a été cruciale dans l’obtention d’un accord entre le président de la Chambre des représentants et le patron du Haut conseil d’État. Explications.
L’ancien ministre de la Défense devenu commandant de la côte ouest de l’armée libyenne a reçu Jeune Afrique. Il livre sa vision de la crise sécuritaire et institutionnelle dont la Libye ne parvient pas à s’extirper depuis 2011.
Pour Pascal Ausseur, amiral, ancien chef de cabinet militaire de Jean-Yves Le Drian et directeur général de la Fondation méditerranéenne d’études stratégiques, la guerre en Ukraine a un impact sur les tensions en Méditerranée, notamment au Maghreb.
Le rival d’Abdulhamid Dabaiba – qui reste le Premier ministre reconnu par la communauté internationale – a publié une tribune sur le site du journal britannique où il s’en prend à la Russie. Avant de rétropédaler. Explications.
Après l’échec de son offensive militaire contre le Gouvernement d’union nationale (GUN) en 2020, Khalifa Haftar est parvenu à maintenir son emprise sur une grande partie du pays. Notamment en réduisant au silence les voix discordantes. Jeune Afrique a rencontré des témoins et victimes en exil.
Dans les jours (ou les semaines) à venir, devrait s’ouvrir au Qatar un pré-dialogue auquel nombre de mouvements politico-militaires tchadiens ont été conviés. L’opposant Mahamat Ali Youssouf, président de l’UMDD, y participera. Entretien.
Nommé Premier ministre après un vote de la Chambre des représentants de Tobrouk, Fathi Bachagha est censé prendre la succession d’Abdulhamid Dabaiba. Mais ce dernier, toujours reconnu par l’ONU, n’entend pas céder sa place.
L’ONU s’apprêterait à reconnaître la nomination par le Parlement de Tobrouk de Fathi Bachagha, l’ancien ministre de l’Intérieur, à la tête d’un nouveau gouvernement d’union nationale. Mais l’actuel Premier ministre n’entend pas céder la place.
C’est un trio d’adversaires politiques qui s’est discrètement réuni au Maroc après le report de la présidentielle libyenne du 24 décembre. Objectif : organiser le remplacement du Premier ministre, Abdulhamid al-Dabaiba.
Comme il fallait le craindre, le grand rendez-vous électoral du 24 décembre a été différé. Un report censé permettre d’annuler certaines candidatures, dont celle de Seif el-Islam Kadhafi, avant la nouvelle échéance prévue fin janvier.
Heureux comme un Amazigh en Libye. Depuis la chute de Kadhafi en 2011, la communauté berbère libyenne a repris son destin en main. Mais elle craint aujourd’hui le retour de l’autoritarisme incarné par les figures du maréchal Haftar et de Seif el-Islam Kadhafi.
La stratégique capitale du sud est le théâtre d’une nouvelle lutte de pouvoir entre les groupes armés du Gouvernement d’union nationale (GUN) et ceux de Khalifa Haftar. Le tout sur fond de recomposition des alliances tribales impliquant les forces kadhafistes.
Après avoir misé sur le maréchal Haftar, Emmanuel Macron, par la voix de son envoyé spécial en Libye Paul Soler, a choisi une stratégie plus pragmatique pour marquer le retour de Paris dans le jeu.
Après avoir été disqualifié par la Haute Commission électorale, le fils de Mouammar Kadhafi a finalement vu sa candidature validée par la cour de justice de Sebha. Explications.
Entre les manœuvres du Premier ministre candidat Abdulhamid Dabaiba, le blocage du recours de Seif el-Islam Kadhafi à Sebha et la démission du patron de la mission des Nations unies, les tensions politiques vont crescendo. Et compromettent gravement le processus électoral.
Officiellement exclu de la course à la présidentielle, le fils de Mouammar Kadhafi comptait déposer un recours à Sebha. Mais les forces loyales au maréchal Haftar, lui-même candidat, bloquent la Cour de justice.
L’homme fort de l’Est de la Libye, Khalifa Haftar, s’est porté mardi 16 novembre candidat à la présidentielle de décembre, deux jours après Seif el-Islam Kadhafi.
L’événement était attendu depuis plusieurs semaines : le fils de Mouammar Kadhafi, Seif el-Islam, a déposé sa candidature à la présidence libyenne ce 14 novembre, dans la ville de Sebha.
Le président Emmanuel Macron s’apprête à accueillir la troisième conférence internationale sur la Libye. Objectif : appuyer le processus électoral en cours. Mais des incertitudes continuent de peser sur la composition des participants.