Depuis l’offensive sur Tripoli, en avril, de l’Armée nationale libyenne (ALN), dirigée par le maréchal Haftar, la Libye est le théâtre d’un déploiement massif de drones de combat.
Les forces du maréchal Khalifa Haftar ont annoncé samedi soir avoir arraisonné un cargo turc battant pavillon de la Grenade, au large de l’est de la Libye, pour le fouiller.
Ghassan Salamé, envoyé spécial des Nations unies en Libye, et Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine, s’opposent notamment sur l’opportunité de créer un poste de médiateur conjoint ONU-UA pour résoudre la crise qui secoue le pays depuis plusieurs années.
Pour empêcher la production de la National Oil Corporation (NOC) de flancher, le gouvernement de Fayez al-Sarraj met la main à la poche, et l’addition va rapidement se chiffrer en milliards de dollars.
L’Afrique au nord du Sahara. Six pays qui comptent en tout plus de 200 millions d’habitants. Pour la première fois depuis des lustres, cette partie de l’Afrique qui s’étend sur toute la rive sud de la Méditerranée inspire de l’inquiétude, car les six pays qui la composent vont mal ou assez mal et risquent de voir leur situation empirer dans les prochaines années.
Les forces loyales au gouvernement d’union nationale (GNA) en Libye ont accusé les forces du maréchal Khalifa Haftar d’avoir bombardé samedi l’aéroport civil de Misrata, blessant une personne, endommageant deux avions et provoquant une brève suspension des vols.
Tripoli a soif. Les robinets tournent de plus en plus souvent à vide tandis que se multiplient les délestages. Autant de coupures qui mettent en lumière le morcellement territorial du pays.
Les crises en Libye, au Soudan et en Centrafrique ont contraint le chef de l’État à déployer ses troupes et tous ses talents de diplomate. Pas question de se laisser déborder !
C’est un personnage tout droit sorti d’un roman de Dostoïevski. Glacial et provocateur. Officiellement sans lien avec le Kremlin, Prigojine passe pourtant pour un proche de Poutine. Portrait.
Des tirs de roquette ont visé dimanche l’aéroport international de Mitiga, le seul fonctionnel de Tripoli, en violation d’une trêve temporaire entre les belligérants qui s’affrontent depuis plus de quatre mois autour de la capitale libyenne.
Les forces loyales à l’homme fort de l’est libyen, le maréchal Khalifa Haftar, ont revendiqué lundi la frappe aérienne contre un hôpital de campagne au sud de Tripoli, sous le contrôle du Gouvernement d’union nationale (GNA), tuant cinq médecins et blessant huit autres personnes.
Les forces loyales au Gouvernement libyen d’union nationale (GNA), basé à Tripoli, ont annoncé vendredi soir avoir mené un raid contre une base aérienne, dans le centre du pays, contrôlée par les forces du maréchal Khalifa Haftar.
Le gouvernement libyen d’union nationale (GNA), basé à Tripoli et reconnu par l’ONU, s’est dit samedi « inquiet » d’une nouvelle « escalade militaire » qui se prépare selon lui contre la capitale, dans un communiqué publié sur sa page Facebook.
Le Gouvernement libyen d’union nationale (GNA), reconnu par l’ONU, a demandé jeudi des explications « urgentes » à Paris, après que la France a reconnu que des missiles découverts dans un QG du maréchal Khalifa Haftar près de Tripoli lui appartenaient.
Le lot de missiles Javelin retrouvé il y a dix jours à Gharyan, dans une base abandonnée par les combattants pro-Haftar, appartiennent à la France, selon le Pentagone. Ainsi Paris s’est vu contraint une nouvelle fois de donner des explications sur la position française en Libye, un pays soumis depuis 2011 à un embargo sur les armes.
La crise libyenne a fait l’objet d’âpres discussions lors du sommet de l’Union africaine à Niamey. L’organisation continentale devrait rapidement soumettre l’idée d’envoyer en Libye un émissaire conjoint à l’UA et l’ONU.
Près de 40 migrants ont été tués mardi 2 juillet dans une frappe aérienne contre leur centre de détention dans la banlieue de Tripoli, attribuée aux forces du maréchal Khalifa Haftar. Le bilan pourrait s’alourdir.
Les forces loyales au Gouvernement d’union nationale (GNA) en Libye ont présenté samedi à des journalistes des armes « modernes » de fabrication américaine et chinoise, qu’elles affirment avoir saisi dans une base des combattants rivaux du maréchal Haftar.
Lancée le 4 avril à l’initiative du maréchal Khalifa Haftar, l’opération Déluge de dignité s’embourbe dans les faubourgs de la capitale Tripoli. Et ne fait que désespérer un peu plus la population.
Le maréchal Khalifa Haftar, homme fort de l’est libyen, a remis mardi soir à l’Égypte un chef jihadiste égyptien très recherché par le Caire et qui avait été arrêté en Libye en octobre dernier.
L’émissaire de l’ONU pour la Libye Ghassan Salamé est devenu « un médiateur partial » dans le conflit, a accusé le maréchal libyen Khalifa Haftar, homme fort de l’Est du pays, dans une interview publiée en France par le « Journal du dimanche » (JDD).
Le maréchal Khalifa Haftar, dont l’offensive sur Tripoli se poursuit, nourrit-il des ambitions autoritaires, comme l’en accusent ses adversaires ? Réponse du ministre des Affaires étrangères du gouvernement de Tobrouk.
En Libye, en Syrie ou encore au Yémen, la politique étrangère actuelle de la France, tiraillée entre le réalisme et la défense du statut de « Pays des droits de l’homme », suscite autant de critiques que d’incompréhensions.
Les forces du Gouvernement d’union nationale (GNA) basé à Tripoli ont annoncé samedi avoir reçu des dizaines de blindés en renfort pour repousser les troupes du maréchal Khalifa Haftar qui mènent une offensive contre la capitale libyenne.
Le président français Emmanuel Macron recevra la semaine prochaine le maréchal Khalifa Haftar, l’homme fort de l’Est libyen, afin de tenter de relancer le processus politique dans le pays.
Un chassé-croisé a eu lieu le 8 mai dernier à Paris entre Fayez al-Sarraj, le Premier ministre libyen, et Abdelhadi Lahouij, le ministre des Affaires étrangères du gouvernement rival.
Si certains la considéraient vaincue en Libye après sa défaite à Syrte en 2016, l’organisation État islamique (EI) s’est en réalité réfugiée dans le sud du pays et réorganisée en plus petits groupes pour mener une guerre de guérilla. Ses attaques se sont multipliées depuis le début de l’offensive du général Haftar dans l’ouest du pays. Analyse.
Une quarantaine de sociétés internationales ont vu leurs activités en Libye suspendues, après la publication d’un décret du Gouvernement d’union nationale faisant état de l’expiration de leurs droits d’exploitation.