Affoussiata Bamba-Lamine, bras droit de l’ex-chef de la rébellion ivoirienne Guillaume Soro, a récemment rencontré à Bruxelles l’ancien président Laurent Gbagbo.
L’avocat principal de Laurent Gbagbo, Me Emmanuel Altit, a déposé lundi devant la Cour pénale internationale (CPI) une demande de remise en liberté « sans condition » de l’ancien président ivoirien, dans l’attente de la fin de la procédure d’appel le concernant.
La victoire de son parti en 2020 ? Une certitude. Homme d’affaires et de conviction, le nouveau patron de la formation au pouvoir fait peu de cas de la coalition qui prend forme au sein de l’opposition et dont l’ancien président veut prendre la tête.
Les personnalités composant la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI) ont été nommées mercredi 25 septembre en Conseil des ministres. À un an de la présidentielle, leur tâche s’annonce déjà délicate.
Une rencontre avec Laurent Gbagbo en juillet, une autre avec Guillaume Soro en septembre… À un an de l’élection, le Sphinx assume les jeux d’alliances et sa rupture consommée avec le RHDP.
Fatou Bensouda, la procureure de la Cour pénale internationale, a fait appel de l’acquittement prononcé le 15 janvier dernier en faveur de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé. Cette décision ouvre la voie à une nouvelle procédure devant la Chambre d’appel qui devrait prendre plusieurs mois.
La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) a jusqu’à minuit, ce lundi 16 septembre, pour faire appel de l’acquittement de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo. À un an de la présidentielle, la Côte d’Ivoire est suspendue à cette décision.
Après la rencontre entre Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo fin juillet à Bruxelles, les deux partis de ces nouveaux alliés ont tenus leur premier rassemblement commun à Abidjan ce samedi, à un an de la présidentielle.
La réintroduction dans la Constitution d’une limite d’âge pour briguer la présidence, évoquée par Alassane Ouattara, pourrait empêcher la propre candidature du chef de l’État, comme celle d’Henri Konan Bédié et de Laurent Gbagbo.
Simone Gbagbo a entamé, le 30 août, une tournée dans le centre-ouest du pays, fief de son mari, l’ex-président Laurent Gbagbo. Avec, en toile de fond, des tensions grandissantes au sein du FPI avec le camp d’Assoa Adou.
La popularité de l’artiste, mort brutalement le 12 août 2019, dépassait les clivages politiques et le « roi du coupé-décalé » entretenait de bons rapports avec toute la classe politique ivoirienne. Son amitié avec le ministre Hamed Bakayoko, elle, fut d’un autre ordre.
À la fin du mois de juillet, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, deux anciens présidents ivoiriens, se sont rencontrés à Bruxelles. À l’approche de la présidentielle de 2020, l’attelage qui se dessine peut-il réussir ? Et à quelles conditions ?
Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) a annoncé lundi son refus de siéger au sein de la nouvelle Commission électorale en Côte d’Ivoire, censée organiser la présidentielle de 2020, estimant qu’elle n’offre pas « de garantie d’impartialité ».
L’ancien chef des Jeunes Patriotes de Côte d’Ivoire a annoncé mercredi avoir rencontré des proches d’Henri Konan Bédié à la Haye, un an avant la présidentielle de 2020.
Le Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep) de Charles Blé Goudé, ex-ministre de Laurent Gbagbo, a tenu ce week-end son premier congrès et affûte sa stratégie politique, à quatorze mois de l’élection présidentielle d’octobre 2020. Décryptage.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a maintenu le suspense sur son éventuelle candidature à l’élection présidentielle d’octobre 2020, lors d’une interview à la télévision d’État mardi, à la veille de la fête de l’Indépendance. Il a également évoqué une éventuelle modification de la Constitution.
Dans l’entourage du chef de l’État ivoirien, plusieurs sources ont affirmé qu’Alassane Ouattara avait juré empêcher la rencontre entre Laurent Gbagbo et Henri Konan Bédié, fin juillet à Bruxelles. Mais le président ivoirien assure à Jeune Afrique qu’il n’en est rien.
Longtemps, Laurent Gbagbo et Henri Konan Bédié se sont affrontés. Le 29 juillet, ils ont mis en scène leur réconciliation. Cette alliance de circonstance peut-elle durer ?
Le principe d’une rencontre entre ces deux « éléphants » de la politique ivoirienne est « acquis » depuis plusieurs, selon plusieurs sources. Des « retrouvailles » hautement symboliques.
L’interpellation et le placement en garde à vue de cinq activistes et d’un journaliste, en début de semaine, inquiète au sein des organisations de la société civile. Celles-ci pointent notamment les effets du nouveau code pénal, accusé d’être « restrictif sur les libertés individuelles ».
Dans la perspective de la rencontre entre Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, dont la date n’est pas encore fixée, le patron du PDCI a demandé qu’une salle de plus de 2 000 personnes soit réservée pour un éventuel meeting à Paris.
Le 16 juillet, les juges de la Cour pénale internationale (CPI) qui ont acquitté l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo ont rendu leurs conclusions écrites. Sur plus de 1 000 pages, ils démontent l’instruction et les méthodes de la procureure, Fatou Bensouda.
Le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) a organisé son deuxième conseil politique en deux mois. La mouvance présidentielle au grand complet affiche son unité autour d’Alassane Ouattara, à quinze mois de la présidentielle de 2020.
Vieux compagnon de route de Laurent Gbagbo, le secrétaire général du Front populaire ivoirien, 74 ans, est le principal relais de l’ancien président à Abidjan.
La chambre de première instance de la Cour pénale internationale (CPI) a déposé mardi l’exposé écrit des motifs de l’acquittement prononcé en janvier en faveur de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Le bureau du procureur a désormais 30 jours pour en prendre connaissance et décider de faire, ou non, appel de la décision.
Laurent Gbagbo s’est dit surpris et heureux de la chanson « Scheveningen » – du nom de la prison de la CPI – de son ami Guy Labertit, ex-« Monsieur Afrique » du parti socialiste français.
Ancien ministre d’Alassane Ouattara, le député Louis-André Dacoury-Tabley est désormais l’homme clé du parti du président ivoirien à Gagnoa, le bastion de Laurent Gbagbo.
Depuis Bruxelles, l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo a repris les rênes du FPI et rêve du jour où il pourra enfin rentrer au pays. Sans rancœur, mais avec un vrai désir de revanche.
L’ancien président ivoirien reste discret depuis qu’il a été libéré sous condition par la CPI. Mais s’il n’apparaît pas publiquement, il n’en reste pas moins, à distance, au cœur de la vie politique ivoirienne. Qui voit-il ? Quels sont ses projets ? Comment prépare-t-il son retour à Abidjan ? Jeune Afrique a mené l’enquête.