L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, acquitté par la Cour pénale internationale (CPI) de crimes contre l’humanité, bénéficie d’une liberté conditionnelle en Belgique, a annoncé la CPI mardi soir.
Nul ne sait avec certitude si le chef de l’État sera candidat à sa propre succession en 2020, mais la réussite de son camp est désormais inexorablement liée à celle du nouveau parti unifié.
La Belgique a dit samedi avoir « accepté d’accueillir » l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, acquitté par la Cour pénale internationale (CPI) de crimes contre l’humanité commis en 2010 et 2011 lors de violences post-électorales en Côte d’Ivoire et libéré vendredi sous conditions.
Acquittés de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale le 15 janvier, l’ancien chef d’État ivoirien et son ancien ministre sont toujours prisonniers. Vendredi, ils ont à nouveau rendez-vous avec les juges de la Cour pour tenter d’obtenir la fin de leur détention, suite à l’appel du Procureur.
Avenir de la CPI, retour à Abidjan de l’ex-président, enquêtes contre les pro-Ouattara… À la veille d’une nouvelle audience capitale à La Haye, Jean-Paul Benoit et Jean-Pierre Mignard, les avocats de l’État de la Côte d’Ivoire, reviennent sur l’acquittement retentissant de Laurent Gbagbo et ses conséquences.
L’examen sur le fond de l’appel du Procureur contre la décision de la Cour pénale internationale de remettre en liberté Laurent Gabgbo et Charles Blé Goudé s’ouvre vendredi à La Haye. Proche de l’ancien président ivoirien, l’ex-ministre et ambassadeur Pierre Kipré plaide pour la libération immédiate des deux hommes.
Après son acquittement, Laurent Gbagbo espère être libéré par la Cour pénale internationale dans les prochains jours. Mais il n’en aura toujours pas fini avec la justice. En Côte d’Ivoire, il reste menacé par plusieurs procédures judiciaires.
L’acquittement de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé vient conforter ceux qui dénoncent une justice internationale par trop politisée et peu soucieuse du droit, selon l’avocate Samia Maktouf.
Tout au long de sa détention, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo est resté confiant quant à l’issue de son incarcération, selon ses proches, préparant même son procès en prison.
L’ancien président ivoirien a été acquitté par la Cour pénale internationale. Une décision qui bouleverse son destin et rebat les cartes du jeu politique à Abidjan.
Trois ans après le début de leur procès, la Cour pénale internationale acquittait l’ancien président ivoirien et son ministre mardi 15 janvier, dans un retournement historique. Mais les deux hommes n’en ont pas fini avec la justice internationale.
Acquittés mardi 15 janvier de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale, l’ancien président ivoirien et son ancien ministre de la Jeunesse ne seront pas libérés immédiatement, vient de décider la chambre d’appel de la Cour.
Des manifestations contre la libération de l’ex-président Laurent Gbagbo, acquitté par la Cour pénale internationale, se sont déroulées le jeudi 17 janvier dans deux grandes villes du Nord de la Côte d’Ivoire. Cette région est traditionnellement favorable à son rival Alassane Ouattara.
La Cour pénale internationale (CPI) a suspendu mercredi soir la remise en liberté de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, après un nouvel appel déposé par le procureur au lendemain de son acquittement retentissant.
Le gouvernement ivoirien a estimé le 16 janvier que la décision de revenir en Côte d’Ivoire appartenait à Laurent Gbagbo, après l’acquittement de l’ancien président par la Cour pénale internationale.
La demande du procureur de maintenir en détention Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé a été rejetée par les juges de la Cour pénale internationale (CPI) mercredi 16 janvier, après avoir annoncé la veille leur acquittement pour crimes contre l’humanité.
Mercredi 16 janvier, le gouvernement ivoirien a appelé la population à la « réconciliation », après l’acquittement par la Cour pénale internationale (CPI) de l’ex-président Laurent Gbgabo.
À l’annonce de l’acquittement de l’ex-président Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, les réactions ont été mitigées parmi les victimes de la crise post-électorale en Côte d’Ivoire.
Les procureurs de la Cour pénale internationale (CPI) vont faire appel de l’acquittement de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, ont-ils écrit dans un document de la Cour consulté le 16 janvier par l’AFP.
L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et son ex-ministre Charles Blé Goudé ont été acquittés ce mardi. À Abidjan, leurs partisans n’ont pas tardé à célébrer cette décision historique.
Sept ans après son arrestation et son transfèrement à la CPI, l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo a été acquitté mardi. Compte-rendu depuis les coulisses de cette audience éclair mais historique.
La 1e chambre de la CPI a prononcé ce mardi matin l’acquittement de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, estimant que les charges réunies par le procureur étaient insuffisantes. À La Haye, les partisans de l’ex-président exultent…
La Cour pénale internationale (CPI) a « fait droit aux demandes d’acquittement » de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, prononçant leur libération. Détenu depuis novembre 2011, le fondateur du Front populaire ivoirien (FPI) va donc pouvoir quitter sa cellule de la prison de Scheveningen, à La Haye.
La Cour pénale internationale doit se prononcer ce mardi sur une demande de non-lieu et une demande de libération provisoire de l’ancien président ivoirien et de son co-accusé, son ex-ministre Charles Blé Goudé.
En Afrique comme ailleurs, la politique est un métier à risque où, comme le disait Mandela, « l’option prison fait partie du contrat », que ce soit avant ou après le pouvoir, pour de bonnes ou de mauvaises raisons. Que nous réserve 2019 sur le terrain judiciaire ?
Les Ivoiriens seront appelés aux urnes en 2020 pour élire un nouveau président de la République. Face aux craintes d’un regain de tension, comme lors de la crise post-électorale de 2010-2011, le président Alassane Ouattara a assuré qu’« il ne se passera rien en 2020 ».
L’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié n’écarte pas l’idée de se présenter à l’élection présidentielle de 2020, éventuellement allié avec Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale, ou avec le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo, dans une interview à des médias français.
La chambre de première instance de la Cour pénale internationale (CPI) ne prendra pas de décision sur la mise en liberté provisoire de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé avant mi-janvier 2019.
À moins de deux ans de la présidentielle ivoirienne, les manœuvres vont bon train au sein des trois principales familles politiques. Qui doivent s’organiser au plus vite et désigner leur champion.