Alors que la CPI n’a pas encore rendu sa décision quant à la demande de mise en liberté provisoire déposée par Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, le procureur, Eric MacDonald, a posé ses conditions.
La chambre de première instance de la Cour pénale internationale (CPI) statue jeudi 13 décembre sur la mise en liberté provisoire de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Une audience qui suscite beaucoup d’espoir chez les partisans des deux anciens hommes forts d’Abidjan.
Alors que les juges de la CPI sont en train d’étudier sa demande de non-lieu, l’ancien président ivoirien publie jeudi 13 décembre un livre d’entretien avec le journaliste français François Mattei. Il y livre sa version de ses années de présidence et de détention.
Alors que Laurent Gbagbo espère obtenir un non-lieu devant la CPI, il revient dans un livre d’entretiens à paraître le 13 décembre sur ses années de pouvoir (2002-2010). Extraits de cet ouvrage, intitulé « Libre. Pour la vérité et la justice ».
Ce livre d’entretiens a été écrit avec le journaliste français François Mattei qui s’est rendu plus de vingt fois à la prison de la CPI depuis 2012. Laurent Gbagbo ne l’a ni vu, ni relu avant sa parution, prévue le 13 décembre.
La disparition de l’ex-ministre Zacharie Séry Bailly, le 2 décembre à Abidjan, porte à quatre le nombre de barons issus des deux camps rivaux du Front populaire ivoirien (FPI de Laurent Gbagbo) à avoir tiré leur révérence, en moins de trois mois, en Côte d’Ivoire.
Le général à la retraite Gaston Ouassénan Koné, 79 ans, vice-président du PDCI et proche d’Henri Konan Bédié, affirme avoir été victime d’un empoisonnement. Si les circonstances restent encore floues, l’affaire provoque la psychose dans les rangs des opposants.
Alors que la Cour pénale internationale (CPI) doit se prononcer sur la demande de non-lieu introduite par la défense de l’ancien président, les avocats de l’État ivoirien souhaitent que les audiences puissent se poursuivre.
La chambre d’accusation de la Cour pénale internationale (CPI) a refusé jeudi 22 novembre que Charles Blé Goudé s’exprime lors de la clôture de l’audience de non-lieu introduite par les avocats de l’ancien « général de la rue » et de Laurent Gbagbo. Jeune Afrique s’est procuré le discours qu’il comptait lire à cette occasion.
Lors des audiences en vue de l’examen de la demande d’acquittement introduite par les avocats de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, l’équipe de défense de l’ex-ministre de la Jeunesse s’est employée à démonter l’accusation visant à le présenter comme un acteur majeur du plan commun de Laurent Gbagbo.
Les audiences en vue de l’examen de la demande d’acquittement introduite par Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ont repris lundi 19 novembre à la Cour pénale internationale (CPI). Les avocats de Charles Blé Goudé se sont employés à minimiser le rôle de celui qui était qualifié de « général de la rue », notamment dans la création de la milice pro-Gbagbo du Groupement des patriotes pour la paix (GPP).
Aboudramane Sangaré décédé, Laurent Gbagbo, bien que détenu à La Haye, a décidé de reprendre les rênes du FPI. Reste à savoir quel rôle jouera Simone, son épouse.
Au troisième jour de la reprise du procès devant la Cour pénale internationale (CPI) de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, poursuivis pour crimes contre l’humanité, la défense de ce dernier a rejeté les accusations du procureur, essentiellement fondées, selon elle, sur des « ouï-dire ».
Au deuxième jour de la reprise du procès devant la Cour pénale internationale de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, poursuivis pour crimes contre l’humanité pour des faits datant de la crise postélectorale, la défense a remis en cause l’authenticité des preuves présentées par le procureur.
À la Cour pénale internationale, les avocats de l’ancien président ivoirien ont tenté de convaincre de l’absence de preuve contre leur client. Après un mois et demi d’interruption, les audiences visant à étudier la demande de non-lieu dans ce dossier ont repris ce lundi.
Entamé en 2016, le procès de Laurent Gbagbo devant le tribunal de la Cour pénale internationale qui reprend le 13 novembre constitue un enjeu majeur, à la fois pour le maintien de la concorde en Côte d’Ivoire mais également pour la légitimité et la crédibilité de la CPI.
La succession d’Aboudramane Sangaré, membre fondateur du Front populaire ivoirien (FPI) et président par intérim de la branche dissidente, décédé le 3 novembre, révèle des rivalités internes au sein du parti de Laurent Gbagbo.
Marcel Gossio, l’ex-directeur général du port autonome d’Abidjan et pilier du pouvoir de Laurent Gbagbo, est décédé d’un arrêt cardiaque le 21 octobre à Abidjan, à l’âge de 67 ans. Sa disparition est un coup dur pour le FPI de Pascal Affi N’Guessan, avec lequel il prônait la réconciliation.
Sept ans et demi après la chute de Laurent Gbagbo, plusieurs figures du Front populaire ivoirien (FPI) ont décidé de rentrer du Ghana, dont Émile Guiriéoulou et Justin Koné Katinan.
Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) chargés du dossier de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé ont reporté au 12 novembre les audiences en vue de l’examen de la demande d’acquittement introduite par la défense.
Au deuxième jour des audiences visant à analyser la demande de « non-lieu total » introduite par l’équipe de défense de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, le bureau de la procureure de la CPI s’est employé à démontrer que les deux accusés méritent d’être maintenus en prison.
Le procès de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de son ancien ministre de la Jeunesse, Charles Blé Goudé, à la Cour pénale internationale (CPI), a repris le lundi 1er octobre après des mois d’interruption. Le bureau de la procureure a notamment plaidé pour que le procès aille jusqu’à son terme.
Les avocats de l’ex-président ont été autorisés à plaider le non-lieu devant la CPI. Confiants, ses partisans le voient revenir au pays avant la prochaine présidentielle.
Artisan des campagnes électorales victorieuses de nombreux chefs d’État du continent, le communicant Fabrice Sawegnon a décidé de descendre dans l’arène politique en briguant la mairie du Plateau, dans le centre d’Abidjan.
Un mois après l’ordonnance d’amnistie prise par le président Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire, la plupart des personnes détenues suite aux événements de la crise postélectorale de novembre 2010 à avril 2011 ont été libérées. Quant aux exilés politiques, la majorité est encore hésitante.
Alcide Djédjé, 62 ans le mois prochain, désormais ex-cadre du Front populaire ivoirien (FPI de Laurent Gbagbo), a profité d’une conférence de presse le 4 septembre pour évoquer les luttes de clan au sein des partisans de Gbagbo lors de la crise postélectorale.
À la suite de la publication d’un confidentiel dans notre numéro 3008, Nady Bamba, la seconde épouse de Laurent Gbagbo, nous a adressé « un droit de réponse », sans y préciser les éléments qu’elle juge erronés.