Depuis plusieurs mois, c’est silence radio du côté de l’ancien gendre de Laurent Gbagbo, qui s’est volontairement retiré de la vie publique. Explications.
De retour sur une scène politique transformée, toujours inéligible et privé de sa machine de guerre désormais en miettes, l’ancien chef de l’État ivoirien veut se présenter à la présidentielle malgré tout. Une potentielle quatrième candidature qui pose la question du renouvellement générationnel et de l’alternance au sein des formations politiques d’opposition en Afrique.
Ce 10 mai, l’ancien président a été investi candidat du PPA-CI au scrutin de 2025. Sauf qu’il demeure inéligible, ayant été radié des listes électorales à la suite d’une condamnation par la justice ivoirienne.
Plus de treize ans après la crise post-électorale qui l’a ébranlée, la Côte d’Ivoire enregistre de belles performances économiques et est sur le point de remporter le pari de la réconciliation. Mais les dirigeants doivent encore renforcer le sentiment d’appartenance de tous les citoyens.
La rupture entre Laurent Gbagbo et son ancien allié Charles Blé Goudé semble aujourd’hui consommée. Pour Justin Koné Katinan, proche de l’ex-président ivoirien, c’est à l’ancien ministre de la Jeunesse de faire le premier pas vers celui qui fut son mentor.
Lors de la fête annuelle de son parti, le week-end dernier, l’ancien président a une nouvelle fois égratigné son ancien ministre de la Jeunesse. De quoi susciter une petite polémique – et l’incompréhension de plusieurs observateurs.
L’ancien ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo, qui a déclaré en novembre dernier vouloir peser sur la présidentielle de 2025 en Côte d’Ivoire, s’est rendu dès le 3 avril à Yaoundé, afin de se reconnecter avec ceux qui l’ont soutenu pendant son incarcération à La Haye.
« Je dis oui » : l’ex-président ivoirien a confirmé samedi 6 avril qu’il était bien candidat à l’élection présidentielle d’octobre 2025, bien qu’il soit pour l’heure inéligible.
L’ancien chef de l’État ivoirien, candidat hypothétique à la présidentielle de 2025, pourra-t-il réellement influer sur le scrutin s’il se présente ? L’analyse de Florence Richard.
Trois ans après son retour en Côte d’Ivoire, l’ancien chef de l’État, qui souhaite concourir à la présidentielle de 2025 malgré son inéligibilité, peine à imposer le PPA-CI dans le paysage politique.
L’ex-président ivoirien et opposant Laurent Gbagbo a accepté samedi 9 mars d’être candidat à l’élection présidentielle de 2025, selon son parti. Il est pourtant inéligible.
L’ancien patron de la Garde républicaine ivoirienne, qui avait défendu Laurent Gbagbo jusqu’à la fin de la crise postélectorale de 2010-2011, a été gracié par Alassane Ouattara.
Le communiqué du Conseil national de sécurité a été lu, ce jeudi 22 février, par Fidèle Sarassoro, le directeur de cabinet du chef de l’État. Parmi les personnes concernées figurent également d’anciens proches de Guillaume Soro.
En Côte d’Ivoire, l’élection pour la présidence de la Ligue des femmes du PPA-CI a déclenché une véritable crise au sein d’un parti qui peine à se remettre des mauvais résultats engrangés aux dernières élections locales.
Après son faible score aux locales de septembre 2023 en Côte d’Ivoire, l’ancien président mise sur ce vieux compagnon de route pour implanter son parti à travers le pays.
Le puissant syndicat étudiant vient d’élire son nouveau secrétaire général, qui promet de pacifier un mouvement à l’histoire tumultueuse et aux pratiques décriées.
La question de la candidature du chef de l’État, 82 ans, à la présidentielle de 2025 est déjà sur toutes les lèvres. À Abidjan, le grand jeu des pronostics politiques est ouvert.
DJ-Arafat, Laurent-Gbagbo, Didier-Drogba… Toutes les voies de la capitale économique vont désormais être clairement identifiées, dans le cadre d’un projet d’adressage engagé en 2017. Reste à s’approprier ces nouveaux noms, dont la plupart sont « ivoirisés », et à les intégrer dans les applications de navigation GPS.
Charles Blé Goudé demande à Guillaume Soro de se rapprocher d’Alassane Ouattara, « son papa ». Comme lui affirme vouloir le faire avec le sien, Laurent Gbagbo.
Après quatre ans d’exil hors du continent, l’ex-Premier ministre ivoirien a fait une tournée remarquée chez les putschistes sahéliens, dont les relations avec Alassane Ouattara sont notoirement tendues.
L’élection présidentielle de 2025 en Côte d’Ivoire « ne s’écrira pas sans moi », a affirmé samedi Charles Blé Goudé, président du Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep).
L’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne, recherché par la justice de son pays depuis 2019, s’est affiché aux côtés des autorités nigériennes après avoir annoncé mettre un terme à son exil. Le début d’une tournée qui doit le conduire dans plusieurs pays africains.
L’ancien Premier ministre ivoirien vient d’annoncer, par vidéo, qu’il mettait fin « maintenant » à son exil… Mais c’est à Niamey, et non à Abidjan, qu’il vient de poser ses valises.
L’ancien Premier ministre ivoirien, qui a annoncé dimanche vouloir mettre fin à son « exil » entamé en 2019, a déclaré lundi 13 novembre se trouver à Niamey, où il a rencontré le général Abdourahamane Tiani.
Nommé haut-représentant du chef de l’État ivoirien, le président du directoire du RHDP revient sur la large victoire de son camp aux élections locales puis sénatoriales, sur la mise à l’écart de Patrick Achi et sur les prochaines échéances électorales.
Depuis son retour à Abidjan, en 2021, l’ancien président ivoirien ne parvient pas à imposer son nouveau parti sur la scène politique et laisse toujours planer le doute sur ses intentions.
L’ancien président ivoirien a procédé à une réorganisation de son parti quelques semaines après la débâcle des locales. Hubert Oulaye et Damana Pickass ont été démis de leurs fonctions.
Le 22 octobre 2000, Robert Gueï, qui a destitué Henri Konan Bédié quelques mois plus tôt, affronte le chef du FPI lors d’un scrutin d’où sont exclus le président déchu et Alassane Ouattara. Voici le récit qu’en faisait Albert Bourgi, dans JA.
Depuis quelques années, le débat sur le nombre de mandats effectués par les chefs d’État agite l’opinion publique africaine. Et nombreux sont ceux qui établissent une corrélation entre la limitation de la durée au pouvoir et la gouvernance idéale. À tort, selon Rachid Ndiaye.
L’interpellation, courant mars, de plusieurs hommes d’affaires d’origine libanaise en possession de fausses plaques diplomatiques a permis aux enquêteurs de remonter jusqu’aux deux cerveaux présumés de la combine : Aboubacar Diakité et Hussein Karim. Mais aussi de découvrir l’existence d’autres trafics bien plus importants.