Le PDCI et le PPA-CI veulent s’allier pour les élections municipales et régionales du 2 septembre. Mais des blocages persistent dans certaines zones et pourraient compromettre leur projet d’union face au RHDP d’Alassane Ouattara.
En Côte d’Ivoire, le ministre de la Promotion de la jeunesse et le vice-président exécutif du PPA-CI s’affronteront dans les urnes, le 2 septembre, pour la présidence du conseil régional. Un match décisif pour l’avenir politique de ces deux ambitieux, respectivement fidèles à Alassane Ouattara et à Laurent Gbagbo.
Les deux partis ont conclu un accord en vue des élections locales du 2 septembre. Depuis, plusieurs candidats du FPI se sont désistés en faveur de celui désigné par la majorité présidentielle.
À deux ans de la présidentielle, les scrutins régionaux et municipaux du 2 septembre promettent de beaux duels. Des affiches qui ne doivent pas faire oublier l’essentiel : la participation des citoyens au jeu démocratique.
Les éditions de la Fondation Félix-Houphouët-Boigny publient des ouvrages consacrés à la vie et aux combats de l’ancien président. En privilégiant les sujets académiques aux romans et à la poésie, la jeune maison veut inciter les étudiants à devenir des chercheurs.
L’ancien président ivoirien a déposé un recours ce 8 juin pour obtenir sa réinscription sur les listes électorales avant les locales, prévues le 2 septembre prochain.
À quelques mois des élections municipales et régionales, les partis politiques – celui de Laurent Gbagbo en tête – remettent en question la fiabilité du fichier électoral et l’impartialité de la CEI.
Le fondateur du groupe Snedai et président de l’Assemblée nationale ivoirienne revient sur l’actualité économique de la Côte d’Ivoire et de la sous-région, n’élude pas la question des élections locales et l’échéance de 2025, tout en évoquant le Sénégal et le Burkina Faso…
En Côte d’Ivoire, l’opposition dénonce la présence de personnes décédées, mineures ou déchues de leurs droits civiques sur les listes de la commission électorale, alors que Laurent Gbagbo vient d’en être radié.
Derniers scrutins avant la course à la magistrature suprême de 2025, les élections régionales et municipales du 2 septembre prochain représentent un test majeur pour les partis politiques. Et pour tous les Ivoiriens.
Nommée le 9 mai, Chantal Nanaba Camara prendra ses fonctions le 21 juillet. Tout au long de sa carrière, elle a tissé sa toile dans les sphères d’influence.
En Côte d’Ivoire, l’ancien président reste radié de la liste électorale pour les prochaines locales, prévues en septembre. Une décision qui provoque l’ire de ses partisans et l’incompréhension des autres opposants.
La CEI maintient l’exclusion de l’ancien président ivoirien de la liste des électeurs, publiée ce samedi ; une décision qui suscite la colère de son parti, le PPA-CI. L’ex-chef de l’État ne pourra pas voter aux élections locales prévues le 2 septembre.
L’ancienne ministre a ouvert la voie à la jeune génération de féministes ivoiriennes et africaines. Lutte contre les mariages forcés, contre l’excision, pour la parité… Elle a été et reste de tous les combats pour les droits des femmes.
Le Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep) ne prendra pas part aux élections locales de septembre. Une décision prise par volonté de « rester prioritairement concentré sur les actions de paix. »
Les deux anciens présidents discutent de candidatures communes pour les élections régionales et municipales du 2 septembre. Une commission paritaire, composée de vingt-quatre membres du PDCI et du PPA-CI, est chargée d’arbitrer.
Le parti de l’ancien président ivoirien a annoncé la création d’un organe de lutte contre la fraude électorale, quatre mois avant les élections locales et à deux ans de la présidentielle.
Le parti d’Alassane Ouattara et celui de Pascal Affi N’Guessan ont formalisé le 2 mai leur entente, laquelle ne constitue pour autant un « accord électoral » en vue des élections locales, prévues le 2 septembre.
Béchir Ben Yahmed, le fondateur de JA, s’est éteint le 3 mai 2021, il y a tout juste deux ans. Nous publions ici un extrait de ses Mémoires, dans lequel il décrit l’une de ses rencontres avec le futur président ivoirien.
En Côte d’Ivoire, le chef de l’État va faire de cette bâtisse, située à Cocody-Ambassades, à Abidjan, un lieu d’histoire. Ce projet vient se substituer à celui qui avait été imaginé par Laurent Gbagbo. Explications.
L’ancienne première dame célébrait ce 30 avril la première « fête des libertés » de son nouveau parti, le Mouvement des générations capables (MGC). Un premier grand rassemblement qui a aussi permis de jauger sa nouvelle force de mobilisation sur la scène politique ivoirienne.
C’est avec des ressources restreintes que le FPI alignera des candidats sur l’ensemble du territoire aux élections locales du 2 septembre. Un accord de partenariat avec le RHDP doit être signé ce mardi.
Plus les mois passent, plus l’étau se resserre autour de Guillaume Soro, lequel bénéficie néanmoins du soutien des autorités maliennes. Et cherche, selon les informations de JA, à obtenir celui de la Russie.
Le parti de l’ancien président a dévoilé les noms de ses candidats pour les élections locales du 2 septembre. Fondé en 2021, au retour de Laurent Gbagbo à Abidjan, le PPA-CI concentre ses efforts dans la moitié sud du pays.
Pour la première fois depuis qu’il est rentré en Côte d’Ivoire, l’ancien président se montre offensif et déterminé à propulser son parti, le PPA-CI, dans la cour des grands. Dans son viseur, les locales de septembre, qui auront valeur de test.
Député-maire sans étiquette depuis deux ans, le fondateur de « L’Éléphant déchaîné » a pris la tête d’une fronde populaire contre les opérateurs téléphoniques en Côte d’Ivoire. En patron de presse engagé, c’est un habitué des coups d’éclat.
Au Cameroun, le fondateur et PDG du groupe de presse Afrique Média n’est pas seulement proche des milieux politiques. Il s’est aussi distingué, ces dernières années, par un tropisme pro-russe et des positions très anti-occidentales. Portrait.
Ce 11 avril 2011, le chef de l’État ivoirien est arrêté dans la résidence présidentielle, à Abidjan. Ses dernières heures au pouvoir avaient été racontées dans JA, à l’époque, par Christophe Boisbouvier.
De retour en Côte d’Ivoire après son acquittement par la CPI, l’ancien leader des Jeunes Patriotes continue à jouer la carte de la loyauté à l’égard de son ancien mentor… Tout en affichant ses ambitions. Interview.