Le quotidien « Le Temps » est notamment sanctionné pour avoir publié la photo d’une juge d’instruction. Un épisode de plus dans les tensions qui s’accumulent entre le camp de l’ancien président ivoirien et les autorités.
En Côte d’Ivoire, l’ancien président s’est exprimé ce vendredi devant une foule de partisans réunis à Yopougon. Il s’agit de son premier grand meeting depuis son retour à Abidjan en 2021 et le lancement de son parti, le PPA-CI.
La célèbre philosophe, poète et romancière ivoirienne, plaide pour que les Africains gardent à l’esprit leur histoire commune. Et prône le dialogue, notamment dans son pays.
L’homme d’affaires est, déjà, candidat déclaré à la présidentielle de 2025. Ce qui en agace plus d’un au PDCI, dont un congrès extraordinaire s’ouvre ce jeudi à Abidjan.
La Commission électorale indépendante a proposé une nouvelle date pour la tenue des régionales et municipales, initialement prévues en fin d’année. Explications.
La capitale administrative ivoirienne tombera-t-elle dans l’escarcelle du camp présidentiel lors des prochaines municipales ? La tâche s’annonce difficile, mais le RHDP pourrait bien profiter des querelles internes du PDCI.
Condamnés le 9 mars en première instance par la justice ivoirienne à deux ans de prison ferme pour trouble à l’ordre public, ils ont vu leurs peines commuées en sursis au terme d’un procès qui s’est achevé tard dans la nuit.
Le parti présidentiel devait annoncer, fin janvier, la liste complète de ses candidats aux régionales et municipales, prévues à la fin de l’année. Les noms seront finalement connus en avril. Explications.
Les avocats de l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne tentent de faire annuler la saisie de son assurance-vie par la justice française. Déboutés par la Cour de cassation, ils ont saisi la Cour européenne des droits de l’homme.
En Côte d’Ivoire, de vives tensions sont apparues ces dernières semaines entre le parti de l’ancien président et les autorités. Une crispation inédite, dans un climat politique fragile et à quelques mois d’élections locales très attendues.
Le Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo a dénoncé le 10 mars une « décision de justice arbitraire » après la condamnation, la veille, de 26 de ses militants, à deux ans de prison pour « trouble à l’ordre public ».
Avec « Histoire de L’Harmattan », Denis Rolland brosse le portrait d’une maison d’édition pas comme les autres, et celui de ses fondateurs, qui n’a cessé de révéler les talents… Sans forcément en récolter le fruit.
Près d’une trentaine de membres du parti de Laurent Gbagbo ont été condamnés jeudi soir à deux ans de prison ferme pour « trouble à l’ordre public » lors d’une manifestation de soutien à Damana Pickass, le secrétaire général du parti, fin février à Abidjan.
Après avoir partagé, dans l’ombre, la vie de l’ancien chef de l’État ivoirien, l’ex-journaliste est désormais sa compagne officielle. Devenue incontournable, elle joue un rôle majeur à ses côtés.
Le 25 février, des participants à un rassemblement du PPA-CI ont été arrêtés pour avoir arboré des drapeaux russes. Le parti de Laurent Gbagbo dénonce « une tentative de manipulation » des autorités.
Soupçonné d’être impliqué dans l’attaque d’un camp militaire en avril 2021, le secrétaire général du PPA-CI a été placé sous contrôle judiciaire quelques jours après une tournée à Abidjan au cours de laquelle il avait tenu des propos virulents à l’adresse du pouvoir.
Le lieutenant-colonel Damiba, Nabil Karoui, Denis Sassou Nguesso, Laurent Gbagbo, le général « Hemetti »… Tels sont quelques-uns des clients de cet obscur lobbyiste israélo-canadien aux méthodes discutables.
Conformément aux résolutions du dialogue politique, un représentant du PPA-CI, la formation de l’ancien président, va faire son entrée à la Commission électorale indépendante.
Emprisonné depuis décembre 2022, Pierre Assalé Niangoran, plus connu sous le pseudonyme de Peter 007, s’est adressé par courrier au président Alassane Ouattara et au ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara. Explications.
À quelques mois des élections locales, l’alliance du FPI avec le RHDP au nom de la réconciliation nationale fait débat. L’ancien Premier ministre, lui, se défend d’avoir retourné sa veste.
À quelques mois des élections locales qui verront s’affronter leurs partis respectifs, le président ivoirien et ses deux prédécesseurs se sont revus dans la capitale. Mais la rencontre à huis clos, très attendue, n’a pas eu lieu.
Ce 8 février, le président et ses deux prédécesseurs étaient réunis dans la capitale administrative ivoirienne pour la remise du prix Félix Houphouët-Boigny/Unesco pour la recherche de la paix à l’ex-chancelière allemande, Angela Merkel. Une cérémonie symbolique en présence de nombreux chefs d’État du continent.
Lors de la dernière présidentielle, les leaders de l’opposition étaient vent debout contre la candidature d’Alassane Ouattara à un troisième mandat. Depuis, nombre de ses cadres se sont rangés derrière le chef de l’État, faisant de son parti, le RHDP, le grand favori des prochaines élections locales.
Défections de cadres, congrès extraordinaire, alliances électorales… L’ancien président a tenté de rassurer ses troupes lors de sa présentation des vœux du Nouvel An, le 29 janvier.
L’opposant ivoirien Pascal Affi N’Guessan a annoncé le 28 janvier vouloir former une alliance avec le parti au pouvoir, le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), en vue des prochaines élections, lors d’une cérémonie de vœux de son parti, le Front Populaire ivoirien (FPI).
Cette militante radicale suisso-camerounaise, qui a fait de la dénonciation de l’ancienne puissance coloniale son cheval de bataille, est accusée d’être un pion de la Russie dans son offensive sur le continent.
Peu à peu, la situation de l’ancien président se normalise. Il vient d’obtenir le versement de plusieurs milliards de francs CFA d’arriérés et devrait rencontrer prochainement le président Alassane Ouattara.
Les élections régionales et municipales se tiendront à la fin de l’année en Côte d’Ivoire. Un test grandeur nature pour les principaux partis politiques et leurs leaders, qui ont déjà tous la prochaine présidentielle en tête.
Ambitions politiques, affaires judiciaires, relations avec Laurent Gbagbo… Pour la première fois depuis son retour en Côte d’Ivoire, il y a un peu plus d’un mois, l’ancien ministre s’est longuement exprimé devant la presse.