Roi du Lesotho depuis 1996, il est né en 1963 à Morija dans l’ouest du royaume, sous le nom de Mohato Bereng Seeiso. Il obtient une licence de droit avant de poursuivre ses études supérieures au Royaume-Uni, à Bristol puis Cambridge. Il intègre l’Université de Londres pour recevoir un diplôme d’économie agricole. Il accède au trône après la mort de son père.
À 87 ans, Béji Caïd Essebsi se pose déjà en futur président de la République tunisienne. Blaise Compaoré, lui, vient de quitter la présidence burkinabè qu’il occupait depuis vingt-sept années. L’occasion de faire un point sur la vieillesse et le pouvoir en Afrique.
Les dirigeants rivaux du Lesotho se sont engagés mardi à résoudre la crise politique ouverte par une tentative de coup d’État fin août, après une médiation du président sud-africain Jacob Zuma. Ils ont convenu de reprendre les pourparlers et de communiquer à Jacob Zuma une date concrète de réouverture du Parlement – suspendu en juin.
La confusion est totale au Lesotho. Entre les accusations de coup d’État orchestré par l’armée, la fuite du Premier ministre en Afrique du sud et la fragilité de la coalition au pouvoir, le petit royaume d’un peu plus de deux millions d’habitants enclavé dans l’Afrique du Sud traverse une crise politique d’envergure. Décryptage.
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