Henri Monceau est directeur de la Francophonie économique qui tenait son forum au lendemain du sommet de l’OIF. Il considère le partenariat avec l’organisation dirigée par Louise Mushikiwaboe comme indispensable, notamment pour endiguer le recul de la langue française.
La secrétaire générale de l’OIF a été reconduite dans ses fonctions, non sans avoir fait souffler à Djerba un vent de renouveau sur le 18e sommet de l’institution.
Si l’inauguration officielle du 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), à Djerba, a eu lieu dans la matinée du 19 novembre, le coup d’envoi a été donné la veille, avec la traditionnelle conférence ministérielle. L’occasion pour les délégations d’aborder les dossiers sensibles du moment.
Le 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se tiendra les 19 et 20 novembre en Tunisie. Une dizaine de présidents africains feront le déplacement.
Élue en 2018 grâce au soutien de la majorité des pays africains et de Paris, la secrétaire générale de l’OIF brigue un second mandat. Si ses méthodes ont pu faire polémique, les résultats obtenus parlent en sa faveur. Aucun autre candidat ne se présente face à elle.
À l’approche de l’ouverture du 38e sommet de la Francophonie, ce 19 novembre, à Djerba, les autorités tunisiennes ont donné le coup d’envoi des festivités en inaugurant le village dédié à l’événement. Un rendez-vous en partie gâché par plusieurs ratés protocolaires.
Au pouvoir depuis vingt-deux ans, le chef de l’État rwandais, qui n’exclut pas d’être candidat à la présidentielle de 2024, reste fidèle à ses méthodes de gouvernance. S’il dépersonnalise les différentes sphères du pouvoir, il n’en trie pas moins ses proches collaborateurs sur le volet.
Le prochain sommet aura bien lieu en Tunisie en novembre. Et il devrait voir la reconduction à la tête de l’organisation de Louise Mushikiwabo, seule candidate à sa propre succession.
Avec 25 accords commerciaux conclus et une dizaine de projets de coopération en phase finale, l’Organisation internationale de la Francophonie fait de la langue française un actif économique.
La porte-parole de l’Organisation internationale de la Francophonie tient à répondre aux critiques concernant l’élection de son prochain secrétaire général. Laquelle est toujours prévue lors d’un sommet en présentiel à Djerba.
Déjà reporté à deux reprises, le sommet de la Francophonie, qui doit se tenir en novembre en Tunisie, fait de nouveau l’objet d’inquiétudes. En cause : des tensions politiques et diplomatiques.
Le 16 mars, l’Organisation internationale de la francophonie a adopté une résolution condamnant l’offensive de Moscou. Un quasi-consensus qui n’a pas été facile à trouver, explique la secrétaire générale de l’organisation.
Dans le concert quotidien des prises de positions depuis l’entrée le 24 février des troupes russes en Ukraine, manquait encore celle de Louise Mushikiwabo. Consciente de l’incompréhension que pourrait susciter la prolongation de ce silence, notamment auprès de certains pays membres, la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) prend la parole, en son nom. Et c’est à Jeune Afrique qu’elle a réservé la primeur de ses explications.
Son organisation en temps et en heure semblait de plus en plus compromise. Prévu en novembre sur l’île du Sud tunisien, le sommet de l’OIF a finalement été reporté d’un an. Explications.
À quelques mois du XVIIIe Sommet de la Francophonie, la cheffe de la diplomatie québécoise revient sur les priorités de la province sur la scène internationale.
À mi-mandat, et alors que l’OIF fête cette année son 50ème anniversaire en Tunisie, la secrétaire générale de l’organisation revient sur son bilan, ses projets, et répond aux critiques sur son mode de management.
La Secrétaire générale de la Francophonie appelle les entreprises privées, les citoyennes et citoyens engagés et les États à contribuer au Fonds « la Francophonie avec Elles », créé pour apporter un soutien aux femmes et filles malmenées par la crise.
L’administratrice de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) Catherine Cano a démissionné par surprise, depuis son Canada natal. Voici pourquoi.
Tensions entre l’organisation qu’elle préside et la Guinée d’Alpha Condé, remise en cause de son indépendance vis-à-vis de la France et du Rwanda…. Plus d’un an après avoir pris la tête de la Francophonie, Louise Mushikiwabo revient sur les dossiers brûlants de l’organisation et les attaques auxquelles elle fait face.
Alors que le président guinéen Alpha Condé a annoncé que le double scrutin aura lieu le 22 mars, la Cedeao, à qui l’audit du fichier électoral a été confié après le retrait de l’OIF, a choisi le chef de l’État ghanéen pour conduire la médiation à Conakry.
Après avoir invité, le 2 mars, l’Organisation internationale de la francophonie à participer à une mission d’assistance technique en Guinée, la commission électorale guinéenne a pris l’OIF de court en annulant sa mission à la veille de l’arrivée des experts à Conakry.
L’organisation internationale de la Francophonie (OIF) a fait savoir lundi qu’elle ne pouvait plus « soutenir le processus électoral » du 1er mars en l’absence d’un consensus national sur le nombre d’électeurs.
Selon nos informations, le départ du Français Nicolas Groper au poste de directeur de cabinet de la secrétaire générale de l’OIF serait dû à de vives tensions au sein de l’organisation.
La secrétaire générale de la Francophonie a officiellement changé de directeur de cabinet lundi 4 novembre. L’ancien magistrat Nicolas Groper est remplacé par Jean-Marc Berthon, le conseiller spécial du président Emmanuel Macron pour la francophonie.
Coopération économique accrue, dialogue politique renforcé, gestes symboliques forts… Emmanuel Macron a ouvert un nouveau chapitre dans les relations entre Paris et le continent.
Un an après son élection à la tête de la Francophonie, Louise Mushikiwabo veut « moderniser » une organisation qui se débat pour peser dans le jeu diplomatique. Un effort qui n’est pas sans provoquer quelques crispations.
Le président français Jacques Chirac est décédé jeudi 26 septembre à l’âge de 86 ans. En Afrique, l’annonce de sa mort a provoqué une pluie d’hommages pour celui qui a entretenu pendant plus de soixante ans une relation aussi riche que contradictoire avec le continent et ses chefs d’État.
Élue en 2018 à la tête de l’OIF, Louise Mushikiwabo, l’ancienne ministre rwandaise des Affaires étrangères, s’est entourée d’une équipe resserrée pour donner un nouvel élan à l’organisation et lui imposer sa marque.