Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) depuis six mois, l’ex-ministre rwandaise des Affaires étrangères a choisi une équipe paritaire, soucieuse de sa communication, soutenue par Paris… et par Kigali.
Trois grandes recommandations ont été tirées à l’issue de la conférence internationale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), dans la capitale tchadienne, sur l’éducation des filles et la formation des femmes. Sur le continent, les pays qui ont lancé cet « appel de N’Djamena » affichent en la matière des palmarès contrastés.
Pour le deuxième jour de sa visite en France, Andry Rajoelina a été reçu à l’Élysée par Emmanuel Macron. Parmi les sujets de coopération bilatérale, les deux présidents ont abordé l’épineuse question des îles Éparses, dont Madagascar réclame la restitution depuis plusieurs années, et annoncé la formation d’une commission pour parvenir à une solution d’ici à 2020.
Du génocide des Tutsi aux relations avec la France, du contentieux avec l’Ouganda à l’élection présidentielle en RDC, le chef de l’État Paul Kagame n’a éludé aucune question (ou presque). Interview exclusive.
Notre langue française à nous Africains, qui sommes fiers de nos langues maternelles ou nationales, qui parlons aussi d’autres langues internationales ou transfrontalières, comme l’anglais, l’arabe, le swahili, le mandingue, le fulfulde… est une langue désormais vécue sans tabous et intégrée à la riche diversité culturelle qui nous caractérise.
La secrétaire générale sortante de la Francophonie, Michaëlle Jean, qui cédera à la fin de l’année son poste à Louise Mushikiwabo, a fait ses adieux aux membres de son cabinet, qui seront en congé dès le 31 décembre. Michaëlle Jean, elle, prendra d’abord « du repos ».
Alors que l’une de ses éminentes ressortissantes vient de prendre la tête de la Francophonie, la question lui est posée sans relâche : le Rwanda est-il anglophone ou francophone ? Et s’il n’était ni l’un ni l’autre, et bien plus à la fois ?
Elles occupent des postes stratégiques dans le public comme dans le privé. Au pouvoir depuis 1994, le FPR a fait de leur ascension l’un des piliers de sa politique.
Écrivain, diplomate, ancien candidat à la direction de l’Organisation internationale de la francophonie, le Congolais revient sur son parcours avec un livre somme, « Il est déjà demain ».
Michaëlle Jean, qui quittera la tête de l’OIF en janvier, a appelé le 8 novembre à « suivre avec la plus grande attention le procès intenté au Rwanda contre l’activiste en faveur de la liberté d’expression Diane Rwigara ». Une déclaration qui, au lendemain des réquisitions contre l’opposante, est interprétée à Kigali comme une conséquence de la défaite de la Canadienne à Erevan.
Arrivée le 31 octobre au Congo, la Rwandaise Louise Mushikiwabo récemment nommée à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), a promis d’être « attentive » à la région d’Afrique centrale et du Bassin du Congo durant son mandat qui démarre en janvier 2019.
La présidence française a mobilisé plusieurs de ses conseillers afin d’assurer l’élection de la Rwandaise Louise Mushikiwabo au poste de secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), vendredi 12 octobre à Erevan.
Après l’élection de Louise Mushikiwabo à la tête de l’OIF, le président rwandais paul Kagame a procédé à un remaniement dans la continuité, basé sur un renouvellement générationnel et sur la parité, qui voit tout de même partir l’un de ses plus fidèles compagnons de route, le ministre de la Défense James Kabarebe.
Par plusieurs gestes hautement symboliques en direction du continent africain, le président français Emmanuel Macron montre qu’il veut changer de paradigme. Sans pour autant renoncer à ses positions stratégiques.
Tout aura été tenté auprès de Michaëlle Jean, la secrétaire générale sortante de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), pour qu’elle retire sa candidature avant le sommet d’Erevan, durant lequel Louise Mushikiwabo a été élue.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a été désignée secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour un mandat de quatre ans par les chefs d’État et de gouvernement réunis lors du sommet d’Erevan. Elle prendra ses fonctions le 3 janvier.
Élection de la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), participation des chefs d’État et étude des demandes d’adhésion à l’organisation : le point sur les trois sujets à surveiller lors du XVIIe sommet de la Francophonie, qui se tient jusqu’au 12 octobre à Erevan, en Arménie.
Le gouvernements du Canada et du Québec ont annoncé mardi qu’ils se rallieraient au « consensus » en faveur de la candidature de la Rwandaise Louise Mushikiwabo à la tête de l’OIF.
Le soutien du président français à la candidature de Louise Mushikiwabo a surpris. De l’option africaine voulue par Emmanuel Macron au choix de la ministre rwandaise des Affaires étrangères, retour sur plusieurs mois de tractations diplomatiques.
Qui, de Michaëlle Jean, la sortante, ou de Louise Mushikiwabo, la grande favorite, sera élue secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) à l’issue du sommet d’Erevan, en Arménie, le 12 octobre ?
Dix ans après la réforme qui le relégua au second plan dans l’enseignement, l’administration et l’ensemble de la fonction publique, le français effectue un discret retour.
Fière de son bilan, attachée à une Francophonie politique, porteuse de « valeurs universelles », la Canadienne fourbit ses armes à la veille du sommet de l’OIF, à Erevan. Non sans égratigner au passage l’« inélégance » du président français Emmanuel Macron et le « relativisme » de sa rivale, la Rwandaise Louise Mushikiwabo.
En marge de l’Assemblée générale des Nations unies qui vient de se clore à New York, Michaëlle Jean, soutenue par le Canada, et Louise Mushikiwabo, qui peut notamment compter sur la France et l’UA, ont rivalisé en coulisses à quelques jours du prochain sommet de l’OIF.
On saura le 12 octobre, à Erevan, si Louise Mushikiwabo succédera à Michaëlle Jean à la tête de l’OIF. Alors que s’ouvre l’assemblée générale de l’ONU, rendez-vous crucial pour les deux concurrentes, la ministre rwandaise des Affaires étrangères s’est confiée à Jeune Afrique.
Tandis que la ministre rwandaise des Affaires étrangères sillonne les pays membres de l’OIF pour récolter les soutiens, la secrétaire générale sortante opte pour une stratégie plus feutrée à l’approche du sommet d’Erevan.
Le match entre la Rwandaise Louise Mushikiwabo et la Canadienne Michaëlle Jean aura-t-il lieu ? Tandis que plusieurs dirigeants africains espèrent un forfait du Canada, l’entourage de la secrétaire générale de l‘OIF assure qu’elle ne jettera pas l’éponge.
Dans le cadre de sa tournée, Louise Mushikiwabo, candidate au poste de Secrétaire général de l’OIF, devrait en août sillonner d’autres pays membres de l’Organisation, notamment en Europe centrale et en Asie du Sud-Est.
À l’occasion d’une interview sur Radio Canada, Michaëlle Jean, la secrétaire générale de la Francophonie, a assuré connaître la ministre Louise Mushikiwabo, son adversaire lors du prochain sommet d’Erevan, puisque celle-ci avait, selon elle, été ambassadrice du Rwanda au Canada. La ministre rwandaise n’a pourtant jamais occupé ce poste.
Jovenel Moïse, le président haïtien, a adressé le 2 juillet une lettre à Emmanuel Macron, dont JA a obtenu une copie, dans laquelle il « sollicite le soutien » de la France pour la candidature de Michaëlle Jean à la tête de l’OIF.