Justin Trudeau, le Premier ministre canadien, soutient sa compatriote Michaëlle Jean dans sa campagne pour un nouveau mandat de quatre ans à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
La candidature de la ministre rwandaise des Affaires étrangères Louise Mushikiwabo, qui vise le poste de secrétaire général de l’OIF, a reçu le soutien officiel du Comité des candidatures de l’UA. Aucun autre État africain n’a présenté de personnalité face à la Canadienne Michaëlle Jean.
[Éditorial] La candidature de la Rwandaise Louise Mushikiwabo au secrétariat général de l’OIF a du mal à passer dans les milieux hostiles au régime de Paul Kagame.
Avant l’arrivée des chefs d’État le 1er juillet, le comité exécutif de l’Union africaine s’est ouvert ce 28 juin. Voici les principaux dossiers à surveiller de près lors du 31e sommet de l’organisation continentale.
Parmi ses soutiens, l’actuelle secrétaire générale de l’OIF compte notamment Justin Trudeau, Premier ministre canadien, et Christine St-Pierre, ministre québécoise des Relations internationales.
Cet hôtel-restaurant chargé d’histoire demeure une enseigne réputée à Kigali, que l’on y passe en pèlerinage, pour un rendez-vous d’affaires ou simplement pour y déguster des brochettes de chèvre.
Candidate au secrétariat général de l’OIF, Louise Mushikiwabo aura toute latitude pour faire campagne au sommet de l’UA, les 1er et 2 juillet, à Nouakchott.
Il y a longtemps que le chef de l’État a appris à faire fi des critiques. Qu’il s’agisse de la situation en RDC, des relations avec Paris ou de sa longévité au pouvoir, le président en exercice de l’UA défend ses positions. Et pointe du doigt les « donneurs de leçons ».
Le Rwanda a prévu de saisir l’occasion du prochain sommet de l’Union africaine, du 25 juin au 2 juillet à Nouakchott, pour convaincre les pays africains de se rallier à la candidature de sa ministre des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères a rarement été sur la même longueur d’onde que les dirigeants français. Elle va pourtant briguer avec leur soutien le secrétariat général de la Francophonie.
En soutenant la candidature de la ministre rwandaise Louise Mushikiwabo à la tête de l’OIF et en multipliant les effets d’annonce aux élites économiques et intellectuelles africaines, le président français Emmanuel Macron a mis le cap sur l’Afrique qui l’intéresse, celle qui gagne.
Les représentants de la France, de l’Angola et du Rwanda à Kinshasa ont été convoqués samedi par le ministre congolais des Affaires étrangères pour une « demande d’explication » après les propos du président français Emmanuel Macron sur la République démocratique du Congo, a-t-on appris de sources diplomatiques.
Emmanuel Macron a confirmé qu’il était favorable à une candidature de Louise Mushikiwabo, la ministre rwandaise des Affaires étrangères, à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie. L’élection aura lieu les 11 et 12 octobre prochains à Erevan.
Le président rwandais et président de l’UA effectue ce 23 mai sa première visite en France depuis 2015. Après un déjeuner avec des acteurs du monde de la technologie et un entretien avec Emmanuel Macron, Paul Kagame se rendra jeudi au salon VivaTech en compagnie de son homologue français.
Le chef de l’État rwandais Paul Kagame, qui ne s’était pas déplacé en France depuis 2015, sera à Paris du 24 au 26 mai, à l’occasion d’un salon international dédié aux start-up.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, est fortement pressentie pour présenter sa candidature à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), en octobre, face à Michaëlle Jean. Un scénario soutenu par l’Elysée.
Les dirigeants africains présents à Kigali pour le sommet extraordinaire de l’Union africaine, ont signé l’accord prévoyant l’instauration d’une zone de libre-échange continentale. Le plus dur commence désormais, avec la ratification du projet.
L’ambassadeur du Rwanda en France, Jacques Kabale, est de retour à Paris. Kigali l’avait rappelé, le 14 octobre, « pour consultation », ce qui laissait craindre une rupture des relations diplomatiques.
La rencontre – très discrète – de diplomates rwandais et français à Kigali, au début du mois, renforcerait une relation franco-rwandaise en péril depuis 1994.
Le président rwandais Paul Kagame, récemment élu pour un troisième mandat de sept ans, a nommé mercredi au poste de Premier ministre l’économiste Édouard Ngirente. Un choix plus technique que politique, selon plusieurs observateurs. Cette nomination a entraîné un remaniement imperceptible, l’équipe gouvernementale ayant été reconduite dans sa quasi intégralité.
Devant des milliers de Rwandais et de très nombreux chefs d’État africains, Paul Kagame a prêté serment ce vendredi 18 août, ouvrant pour de bon son troisième mandat.
La chef de la diplomatie rwandaise assume le référendum de 2015, qui permet à Paul Kagame de briguer un troisième mandat. Elle estime qu’il est le seul à avoir l’envergure nécessaire à cette fonction.
L’émirat, qui n’avait jamais payé ses cotisations depuis son adhésion à l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) en 2012, a réglé les 3,3 millions d’euros qu’il devait. Mais d’autres pays ont toujours des arriérés de paiement.
Burundi, RD Congo, CPI, terrorisme… Ces sujets seront au cœur des débats. Qu’en pense la ministre rwandaise des Affaires étrangères, cheville ouvrière de ce 27e sommet ?
Les femmes puissantes sont de plus en plus nombreuses sur le continent. Voici notre sélection – forcément subjective – des 50 Africaines les plus influentes au monde.
Le 30 novembre, à Dakar, les chefs d’État du continent ont « offert » au Canada la seule organisation multilatérale qu’ils présidaient encore, l’OIF. Chronique d’une défaite à laquelle François Hollande est loin d’être étranger…
Ancienne journaliste canadienne d’origine haïtienne âgée de 57 ans, Michaëlle Jean a été désignée nouvelle secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) dimanche à Dakar.