Né en 1952 à Dandadji, Mahmadou Issoufou a été le président du Niger du 7 avril 2011 au 2 avril 2021.
Ingénieur des mines, il occupe plusieurs postes dans la Société des mines de l’Aïr avant de créer, en 1990, le Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS-Tarayya). D’abord Premier ministre, puis président de l’Assemblée nationale, il est élu à la tête de l’État du Niger le 7 avril 2011. Mohamed Bazoum lui succèdera dix ans plus tard.
Mahamoudou Issoufou a achevé sa cinquième visite à l’Élysée, jeudi 16 juin. Depuis l’arrivée de François Hollande au pouvoir en 2012, le président nigérien est l’un des chefs d’État africains les plus vus à Paris. Et le vôtre, fait-il partie du même cercle ?
Invité par François Hollande, le président nigérien Mahamadou Issoufou entame lundi soir une visite officielle en France. Il rencontrera le président français lors d’un entretien à l’Élysée, mardi 14 juin, à 15 heures.
Selon nos informations, le fils de Mahamadou Issoufou, Sani Mahamadou Issoufou, dit Abba, a été nommé conseiller principal à la communication de la présidence nigérienne.
Jean-Marc Ayrault et Frank-Walter Steinmeier, les ministres français et allemand des Affaires étrangères, se sont rendus conjointement à Niamey, le 3 mai.
L’opposition nigérienne a décidé dimanche de mettre fin au boycott des institutions issues des dernières élections. Elle annonce notamment qu’elle va de nouveau siéger à l’Assemblée nationale, tout en ne reconnaissant pas la victoire de Mahamadou Issoufou à la présidentielle.
Face à la menace de chaos brandie par l’opposition, le chef de l’État nigérien tout juste réélu prône l’apaisement. Un geste aussi destiné à rassurer la communauté internationale.
Depuis la réélection de Mahamadou Issoufou au Niger, opposition et pouvoir n’ont cessé de s’écrire. Alors que le président propose un gouvernement national, ses contempteurs acceptent un « dialogue ». Mais les deux camps posent des conditions qui semblent jusqu’à présent inconciliables.
La Cour constitutionnelle du Niger a validé mercredi les résultats du second tour de la présidentielle du 20 mars et confirmé la réélection du président sortant Mahamadou Issoufou avec 92,51% des voix.
Le président nigérien Mahamadou Issoufou, réélu pour un deuxième quinquennat selon des résultats officiels provisoires, a proposé mercredi un gouvernement d’union nationale à l’opposition.
La Cour constitutionnelle a publié jeudi les résultats officiels des élections législatives du 21 février dernier. Le PNDS, parti du président Mahamadou Issoufou, sort gagnant dans sept circonscriptions sur neuf.
Mahamadou Issoufou a frôlé la majorité absolue au premier tour. L’heure est aux petites alliances et aux grandes manœuvres. Et à ce jeu-là, le président sortant a une longueur d’avance sur son challenger, Hama Amadou.
Hama Amadou, écroué depuis novembre à la prison de Filingué dans une affaire de trafic présumé d’enfants, participera bien au second tour de l’élection présidentielle nigérienne du 20 mars face au président sortant Mahamadou Issoufou, a annoncé jeudi un de ses avocats.
La coalition de l’opposition nigérienne (COPA 2016) soutenant l’opposant Hama Amadou qui affrontera le président sortant Mahamadou Issoufou, a annoncé mardi à Niamey qu’elle boycotterait la campagne pour le second tour de l’élection présidentielle prévu le 20 mars.
L’opposition nigérienne a demandé mercredi la libération de l’opposant Hama Amadou, écroué depuis novembre pour une affaire controversée de trafic d’enfants. Il affrontera le président sortant Mahamadou Issoufou au second tour de l’élection présidentielle le 20 mars.
L’opposition nigérienne a affirmé mardi qu’elle ne reconnaissait pas les résultats de l’élection présidentielle annoncés depuis la veille par la commission électorale (Ceni), dénonçant des fraudes dans le scrutin.
Aucun scrutin n’est gagné d’avance, concède le président sortant, qui se prend néanmoins à rêver d’un coup KO. « J’ai tenu mes promesses », affirme-t-il.
Le président nigérien Mahamadou Issoufou brigue un second mandat lors de l’élection du 21 février. Il a promis dimanche à ses partisans une victoire « dès le premier tour ».
Oriflammes, fanions aux couleurs des partis et photos des candidats ont fait leur apparition au Niger, où la campagne électorale en vue du premier tour de la présidentielle du 21 février s’est ouverte samedi, sans Hama Amadou, un des favoris, incarcéré depuis plus de deux mois.
Directement impliqué aux côtés d’autres unités dans la tentative de coup d’État déjouée à la mi-décembre, le Groupe d’intervention des forces spéciales a été, selon nos informations, dissous il y a plus d’une semaine sur ordre du président Mahamadou Issoufou.
La Cour constitutionnelle a validé quinze candidatures pour le premier tour de la présidentielle du 21 février au Niger. Jeune Afrique a dressé le portrait de chacun d’entre-eux.
Quatre personnes arrêtées après le coup d’État déjoué de décembre sont passées aux aveux, a affirmé mercredi 13 janvier à la presse le ministre de la Défense Mahamadou Karidio.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Mahamadou Issoufou, Président du Niger.
Le candidat à la présidentielle, Amadou Boubacar Cissé, a émis des « réserves » vendredi sur le coup d’État que le président Mahamadou Issoufou dit avoir déjoué lors d’une allocution télévisée. Il dénonce une tentative de « passage en force » en vue des élections de 2016.
Lors d’une allocution à la télévision nationale jeudi soir, le président nigérien Mahamadou Issoufou a affirmé qu’une tentative de coup d’État avait été déjouée, justifiant ainsi une vague d’arrestations de militaires à travers le pays.
Plusieurs officiers de l’armée nigérienne étaient entendus dans les locaux de la gendarmerie à Niamey jeudi. Selon nos informations, les autorités chercheraient à éclaircir les circonstances de plusieurs déplacements d’armes et d’officiers non-autorisés par la hiérarchie. Voici ce que l’on sait à l’heure actuelle.
Une enquête a été lancée lundi après l’attaque du siège du PNDS (au pouvoir) à Niamey dans la nuit de dimanche à lundi. Les hommes armés, divisés en trois groupes, ont ouvert le feu sur le bâtiment et blessé un policier en faction.