Né en 1952 à Dandadji, Mahmadou Issoufou a été le président du Niger du 7 avril 2011 au 2 avril 2021.
Ingénieur des mines, il occupe plusieurs postes dans la Société des mines de l’Aïr avant de créer, en 1990, le Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS-Tarayya). D’abord Premier ministre, puis président de l’Assemblée nationale, il est élu à la tête de l’État du Niger le 7 avril 2011. Mohamed Bazoum lui succèdera dix ans plus tard.
De passage à Paris, entre autres, pour préparer la campagne présidentielle de Mahamadou Issoufou, Mohamed Bazoum, ministre d’État à la présidence du Niger et président du PNDS (au pouvoir), a répondu aux questions de Jeune Afrique.
La « requête » de l’opposition demandant la « mise en accusation » du président Mahamadou Issoufou pour « haute trahison » a été « rejetée » par une commission. Elle ne sera donc pas examinée par le Parlement, a indiqué mercredi 18 novembre le vice-président de cette institution.
Les dirigeants européens et africains sont réunis ce jeudi à Malte pour un sommet extraordinaire sur l’immigration. L’objectif des Européens : éviter d’apparaître comme une « forteresse » aux yeux d’Africains avec lesquels ils vont signer un plan d’action censé endiguer l’afflux de migrants.
À quatre mois de l’élection présidentielle au Niger, l’ancien Premier ministre Amadou Boubacar Cissé s’est déclaré candidat face à Mahamadou Issoufou. Quittant la coalition présidentielle, il affirme s’élever contre les tentations hégémoniques du parti au pouvoir. Il s’explique dans un entretien à Jeune Afrique.
Dans la majorité, dans l’opposition comme dans la société civile, qu’elles soient ou non candidates aux législatives ou à la présidentielle, certaines personnalités s’imposent. Leurs avis et leurs choix seront déterminants pour l’issue des prochains scrutins. Ousseini Salatou est président du RDN-Labizé et porte-parole du FPR, la coalition de l’opposition nigérienne.
Dans la majorité, dans l’opposition comme dans la société civile, qu’elles soient ou non candidates aux législatives ou à la présidentielle, certaines personnalités s’imposent. Leurs avis et leurs choix seront déterminants pour l’issue des prochains scrutins. Hama Amadou est président du Moden-Lumana.
Dans la majorité, dans l’opposition comme dans la société civile, qu’elles soient ou non candidates aux législatives ou à la présidentielle, certaines personnalités s’imposent. Leurs avis et leurs choix seront déterminants pour l’issue des prochains scrutins. Mahamane Ousmane est l’ancien chef de l’État et fondateur de la CDS-Rahama.
Grands chantiers, climat des affaires, lutte contre la vie chère… Le ministre du Commerce et de la Promotion du secteur privé expose la stratégie de l’État pour stimuler l’économie.
Dans la majorité, dans l’opposition comme dans la société civile, qu’elles soient ou non candidates aux législatives ou à la présidentielle, certaines personnalités s’imposent. Leurs avis et leurs choix seront déterminants pour l’issue des prochains scrutins. Ibrahim Yacouba est le directeur de cabinet adjoint du président Issoufou.
Dans la majorité, dans l’opposition comme dans la société civile, qu’elles soient ou non candidates aux législatives ou à la présidentielle, certaines personnalités s’imposent. Leurs avis et leurs choix seront déterminants pour l’issue des prochains scrutins. Marou Amadou est ministre de la justice et porte-parole du gouvernement.
Dans la majorité, dans l’opposition comme dans la société civile, qu’elles soient ou non candidates aux législatives ou à la présidentielle, certaines personnalités
s’imposent. Leurs avis et leurs choix seront déterminants pour l’issue des prochains scrutins. Mohamed Bazoum est ministre dans le gouvernement de Mahamadou Issoufou.
Tous ceux qui ont du Niger l’image, désespérante, d’un pays abonné à la queue de classement des indices de développement humain seraient avisés de prendre connaissance du dernier et très sérieux indice de la gouvernance africaine, publié le 5 octobre par la Fondation Mo Ibrahim.
Dans la majorité, dans l’opposition comme dans la société civile, qu’elles soient ou non candidates aux législatives ou à la présidentielle, certaines personnalités s’imposent. Leurs avis et leurs choix seront déterminants pour l’issue des prochains scrutins. Ali Idrissa est coordinateur national du Rotab et de PCQVP.
Réunis depuis la mi-août au sein du Front patriotique républicain, les détracteurs du chef de l’État visent l’alternance en 2016. Et semblent prêts à oublier leurs différends.
Le chef de l’État sortant considère que c’est l’une de ses plus belles réussites : malgré la situation au Mali et en Libye, malgré les agressions de Boko Haram, le Niger est en paix. À quel prix ?
À quatre mois de la présidentielle, le chef de l’État défend son bilan…
contesté par les leaders de l’opposition. Mais c’est sur le terrain social
que les uns et les autres vont devoir convaincre et muscler leurs programmes.
Dans son numéro 2857 du 11 au 17 octobre, Jeune Afrique revient sur le quinquennat du président Mahamadou Issoufou à la tête du Niger à quatre mois de la présidentielle et des législatives. Premier constat : le pays est en paix et ce, malgré les menaces terroristes…
Hama Amadou ne manquera pas à l’appel. Désigné candidat à la présidentielle de 2016 par son parti, le Mouvement démocratique nigérien (Moden), à Zinder, le 13 septembre, l’ancien président de l’Assemblée nationale promet de rentrer « bientôt » battre campagne, même si le gouvernement menace de l’arrêter dès son arrivée. Mis en cause dans l’affaire des bébés volés, il réside en France depuis un an, mais veut croire en ses chances.
La menace terroriste de plus en plus présente a forcé les services secrets africains à se moderniser, et à revoir en profondeur leur politique de renseignement. Au Niger, les services de renseignements sont pilotés par Lawal Chékou Koré.
Avant de rentrer au Niger, où il risque d’être arrêté à sa descente d’avion, l’opposant Hama Amadou met à profit les derniers jours de son exil en France pour multiplier les rencontres avec les responsables politiques et les médias, avec l’aide d’Emmanuel Dupuy, un consultant bien connu en Afrique.
Hama Amadou a été investi dimanche candidat du Mouvement démocratique nigérien (Moden) pour la présidentielle de février 2016. Il est le premier à se déclarer officiellement pour ce scrutin.
À six mois des élections, Niamey est déjà en pleine effervescence. Mais le chef de l’État défend son bilan et n’a pas l’intention de se laisser ébranler. Ni par les attaques répétées de Boko Haram ni par les critiques de l’opposition.
A six mois de l’élection présidentielle, le président nigérien a accordé un entretien à Jeune Afrique. Il répond aux attaques de l’opposition qui critique son bilan et l’accuse d’instrumentaliser la commission électorale pour s’assurer la victoire en 2016.
Tandis que l’accord de paix est menacé par la situation tendue à Anéfis, dans le nord du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta a entamé dimanche une tournée en Algérie puis au Niger, deux voisins mobilisés dans la résolution de la crise malienne.
À six mois de la présidentielle, la tension est montée d’un cran cette semaine au Niger, avec les déclarations de l’opposition et de la société civile qui mettent en doute le processus électoral. Réactions du ministre de l’Intérieur, Hassoumi Massaoudou.
Après l’opposition, lundi, la société civile met à son tour la pression sur les autorités au Niger. Elle a demandé mercredi l’organisation d’élections crédibles et a insisté sur la nécessité de réduire le nombre d’ « emplois fictifs » dans l’administration. Ali Idrissa, président du Rotab, détaille cette prise de position à six mois de la présidentielle.
Réunie dans une nouvelle coalition, l’opposition nigérienne soupçonne le pouvoir de vouloir « instrumentaliser » les institutions en charge des scrutins et veut « imposer » des « élections transparentes », a-t-elle affirmé lundi 17 août.
L’opposition nigérienne a rejeté dimanche le calendrier électoral établi par la Commission électorale nationale indépendante. Elle réclame notamment la tenue des élections locales avant la présidentielle, prévue pour le 20 février 2016.
Trente-huit personnes, dont une majorité de femmes et d’enfants, ont été tuées dans la nuit de mercredi à jeudi dans le sud-est du Niger lors d’une attaque des combattants islamistes de Boko Haram, a annoncé le ministre nigérien de l’Intérieur.