Mahmoud Abbas est le président de l’État de Palestine, et le Secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP). Né le 26 mars 1935 à Safed, il entame après des études d’Histoire à Moscou une carrière de militant palestinien aux côtés notamment de Yasser Arafat. Membre actif de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP), il en devient le Secrétaire général en 1996. Le 19 mars 2003, il devient premier ministre de l’Autorité palestinienne, jusqu’au 7 octobre 2003, après sa démission. Il remporte par la suite l’élection présidentielle le 9 janvier 2005, sous l’étiquette du Fatah.
Le chef de l’OLP avait su tisser avec son peuple une relation exceptionnelle. Sa succession n’en sera que plus difficile, écrivait Jacques Bertoin dans Jeune Afrique au lendemain de la mort du raïs palestinien, le 11 novembre 2004.
Ismaïl Haniyeh, le chef du bureau politique du Hamas, a été tué dans une frappe, mercredi 31 juillet, alors qu’il séjournait à Téhéran. Le mouvement islamiste palestinien accuse Israël et condamne « un lâche assassinat ».
Le président palestinien a choisi l’économiste Mohammad Mustafa pour former un nouveau gouvernement, alors que l’Autorité palestinienne doit préparer l’après-guerre à Gaza.
Ces derniers mois, de nombreux Palestiniens ont critiqué le président de l’Autorité palestinienne pour son « impuissance » face aux raids israéliens dans la bande de Gaza.
Issu d’un quartier populaire de la région de Bruxelles, un temps SDF dans les rues de Pattaya, celui qui a battu tous les records de boxe thaï s’est fait tout seul. Il entame aujourd’hui une carrière en MMA et est courtisé par les plus grandes organisations.
Avant d’arriver à Addis-Abeba, où il doit assister au sommet de l’Union africaine, le président brésilien a fait étape au Caire. Un nouveau signe de l’intérêt des grands pays émergents pour le conflit à Gaza, mais aussi une façon de saluer l’entrée de l’Égypte et de l’Éthiopie au sein des Brics.
Alors que le secrétaire d’État américain Antony Blinken termine sa tournée au Moyen-Orient dans l’objectif de négocier une nouvelle trêve entre Tel-Aviv et le Hamas, les craintes s’accentuent pour les plus d’un million de Palestiniens coincés dans le sud de Gaza, où Tsahal veut lancer une nouvelle offensive.
Le secrétaire d’État américain poursuit sa tournée au Moyen-Orient et doit s’entretenir avec le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi. Israël, dans le même temps, fait face à des accusations « d’actes génocidaires » devant la Cour internationale de justice.
Crimes de guerre, crimes contre l’humanité, génocide… Pour quels faits les responsables israéliens et les cadres du Hamas pourraient-ils être jugés ? Jeune Afrique fait le point.
La pause humanitaire décidée par le gouvernement de Benyamin Netanyahou et le Hamas dans le cadre d’un accord d’échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens durera deux jours de plus.
Au 43e jour des confrontations entre Israël et le Hamas, qui ont déjà fait quelque 12 000 morts, l’État hébreu resserre un peu plus l’étau sur Gaza. Pour Skander Ounaies, il est encore temps d’éviter le désastre annoncé, et de contrer la rupture définitive qui se profile entre le monde arabe et l’Occident.
Le président français a également rappelé l’objectif d’une solution à deux États dans le conflit israélo-palestinien. De leur côté, les négociateurs qataris affichent leur optimisme quant à la libération des otages.
Le chef de l’État français va appeler à « préserver les populations civiles » à Gaza tandis qu’Israël y a engagé des frappes aériennes massives en riposte à l’attaque lancée par le Hamas le 7 octobre. Il doit rencontrer le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.
Le président de l’Autorité palestinienne a mis plusieurs jours à réagir au déclenchement d’une nouvelle guerre entre Israël et le Hamas. Mais est-il encore audible ?
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a catégoriquement rejeté la proposition de certains politiques israéliens d’évacuer les habitants de la bande de Gaza vers l’Égypte, à l’heure où Israël prépare une invasion terrestre du nord de l’enclave et a demandé son évacuation.
Israël massait ses troupes dimanche pour une offensive terrestre dans le nord bombardé de la bande de Gaza, résolu à anéantir le Hamas au neuvième jour de la guerre.
Depuis les premières implantations de communautés juives en Palestine, les parties en présence n’ont cessé de discuter pour trouver un terrain d’entente. Un interminable « processus de paix » semé de quelques avancées, et de beaucoup d’échecs.
Futurs hôtes de la COP28 prévue à la fin de 2023, les Émirats arabes unis sont devenus la plaque tournante du détournement des sanctions internationales. Russes et Syriens en profitent allègrement.
Au troisième jour de sa tournée moyen-orientale, le secrétaire d’État américain a mis en garde contre tout ce qui peut entraver l’objectif de la solution à deux États, citant « l’expansion des colonies ».
Alors que le royaume et Israël partagent un agenda diplomatique extrêmement dense, plusieurs médias évoquent des « pressions marocaines » pour que l’Autorité palestinienne soit intégrée au Forum du Neguev, lors de la prochaine édition, censée avoir lieu à Dakhla.
Ce 1er juillet devait marquer le début du passage sous souveraineté israélienne d’une partie de la Cisjordanie. Mais face à la réprobation générale et aux risques d’embrasement, Benyamin Netanyahou semble contraint de repousser l’échéance.
Encouragé par le plan Trump, Israël se prépare à coloniser 30% de la Cisjordanie, le 1er juillet. Les Palestiniens, furieux, menacent d’une troisième Intifada. La dynamique de l’escalade est enclenchée.
Malgré le soutien inconditionnel de Donald Trump à la politique expansionniste de Benyamin Netanyahou, le négociateur en chef de l’Autorité palestinienne veut continuer de croire au rêve d’une paix durable avec Tel-Aviv.
Plusieurs chefs d’État ont assisté aux obsèques du président Béji Caïd Essebsi, samedi 27 juillet 2019 à Tunis. Une cérémonie solennelle qui a donné lieu à quelques apartés inédits.
Le président palestinien ne manque jamais un sommet de l’UA, dont la Palestine est membre observateur – un statut que convoite Israël, en pleine offensive de charme en Afrique. Pour ses relations avec le continent, Mahmoud Abbas s’appuie sur Majdi Khaldi, son conseiller diplomatique, et sur quelques proches.
En quête de soutien international, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a été reçu le vendredi 21 septembre par le président français Emmanuel Macron.
Les intenses tractations menées par l’Égypte et l’ONU semblent porter leurs fruits. Mais le président palestinien Mahmoud Abbas menace de torpiller tout accord qui ne rétablirait pas son autorité à Gaza.
Des millions de chrétiens dans le monde s’apprêtent dimanche à fêter Noël, comme à Bethléem, lieu de naissance du Christ selon la tradition chrétienne, où les célébrations sont néanmoins assombries par la tension autour de la reconnaissance américaine de Jérusalem comme capitale d’Israël.