Depuis son départ du Conseil de l’entente après des accusations de mauvaise gestion, Marcel Amon-Tanoh s’était imposé une cure de silence médiatique. Il revient pour la première fois sur ce qu’il qualifie de « cabale » et affirme qu’il soutiendra Alassane Ouattara s’il est candidat à la présidentielle d’octobre 2025.
Il a été tour à tour ministre puis opposant, virulent puis soudain discret, candidat déclaré puis retoqué… Malgré les revers, Amon-Tanoh entend continuer à creuser son sillon et cultive sa « différence » au sein de l’opposition.
Candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre en Côte d’Ivoire, l’ancien ministre des Affaires étrangères estime qu’Alassane Ouattara ne devrait pas briguer un troisième mandat et s’inquiète du regain de tension constaté ces dernières semaines. Interview.
L’ex-ministre des Affaires étrangères Marcel Amon-Tanoh a annoncé le 22 juillet sa candidature à la présidentielle d’octobre prochain. Voici ce qui l’a poussé, ces derniers mois, à prendre cette décision.
L’ex-ministre ivoirien des Affaires étrangères, Marcel Amon-Tanoh, qui fut proche d’Alassane Ouattara, a officiellement annoncé sa candidature à la présidentielle d’octobre prochain.
Le chef de l’État ivoirien, qui envisage de remanier prochainement le gouvernement, est face à un dilemme. Deux ministres aux ambitions présidentielles sont sur un siège éjectable.
Le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Marcel Amon-Tanoh, a-t-il des velléités présidentielles ? Il devrait bientôt s’entretenir à ce sujet avec le chef de l’État.
Alors que le sort de Laurent Gbagbo est incertain depuis que Fatou Bensouda, la procureure de la Cour pénale internationale, a fait appel de son acquittement, contraignant l’ancien président ivoirien à rester à Bruxelles, nombre de piliers de son régime ont repris une activité.
Ils s’appellent « frères », et si Amadou Gon Coulibaly, 60 ans, et Marcel Amon-Tanoh, 67 ans, avaient un père commun, ce serait sans nul doute Alassane Ouattara, dont ils constituent le tout premier cercle. Mais, comme dans toutes les familles, la proximité attise la jalousie et la rivalité.
Le ministre ivoirien des Affaires étrangères Marcel Amon Tanoh s’est rendu à Moscou à la mi-juillet, où il a signé plusieurs accords de coopération avec son homologue russe. Un voyage censé préparer la toute première visite d’État du président ivoirien Alassane Ouattara en Russie, où il est attendu fin octobre à Sotchi pour le sommet Russie-Afrique.
L’entrepreneuse sénégalaise Fatoumata Ba permet une rencontre entre Macron et Dangote, changements en Côte d’Ivoire au ministère de Marcel Amon Tanoh… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Le chef de la diplomatie ivoirienne, Marcel Amon-Tanoh, a annoncé jeudi à l’ONU l’envoi de 450 Casques bleus en Centrafrique, sans préciser la date de ce déploiement.
Face à la nomination d’une vingtaine de personnes, dont certaines n’ont pas d’expérience, à des postes de conseiller aux Affaires étrangères, des diplomates de carrière menacent d’entamer une grève.
Depuis le 2 janvier, le ministre Marcel Amon Tanoh fait face à une grève des personnels administratifs et techniques du ministère des Affaires étrangères, qui réclament notamment des primes.
Le 5e sommet du Traité d’amitié et de coopération (TAC), fin juillet 2016, à Yamoussoukro, a été un signal fort de la normalisation des relations entre la Côte d’Ivoire et le Burkina, qui se sont d’ailleurs donné rendez-vous en juillet prochain, à Ouagadougou, pour une nouvelle conférence des chefs d’État.
En Côte d’Ivoire, la montée en puissance de la loge américaine Prince Hall met en évidence le désir de couper le cordon ombilical avec les obédiences françaises.
Quinze ans après la disparition du « Vieux », Hélène, l’une de ses filles, n’a touché que des miettes de son fabuleux héritage, estimé entre 50 et 100 millions d’euros. Mais elle ne renonce pas à faire reconnaître ses droits.