La candidate du Front national à l’élection présidentielle française a fait son premier déplacement sur le continent, à N’Djamena, le 21 mars. Qui la conseille et qui la soutient ? Enquête.
On était habitués aux duels télévisés entre finalistes. On a cette fois eu droit à un quintette, où chaque candidat a tenté de tirer son épingle du jeu. Et de la planter dans le dos du voisin.
La candidate du Front national (FN) à l’élection présidentielle française a déclaré ce mardi sur son compte Twitter avoir rencontré le président du Tchad Idriss Déby Itno lors d’une visite officielle dans le pays.
Jeune Afrique, est-il besoin de le préciser, n’est pas un hebdomadaire français, même si, édité en France, il relève des lois et règlements de ce pays. Son ADN, inscrit une fois pour toutes à Tunis, en terre africaine, par son fondateur, Béchir Ben Yahmed, un jour de 1960, est à la fois africain et multiculturel.
Marine Le Pen, candidate du parti d’extrême droite Front national à la présidentielle française, a prévu de se rendre au Tchad le 22 mars. Objectif : rendre visite aux soldats de la force Barkhane.
Demandez à un militant du Front national (FN) quelles sont ses lectures du moment. Il vous citera probablement le blog de Jean Messiha. Il n’est pas le seul Français d’origine africaine dans l’entourage de Marine Le Pen.
À l’approche des élections régionales en France, le Front national dévoile ses programmes. Dans celui de sa présidente, Marine Le Pen, candidate dans la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, figure notamment l’éradication de « toute immigration bactérienne ».
Le 20 octobre, la présidente du Front national français comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Lyon. Marine Le Pen sera jugée pour « incitation à la haine raciale » après des propos tenus en 2010.
Le torchon brûle entre Marine Le Pen et son père, Jean-Marie, au sein du Front national. Après de nouvelles déclarations de ce dernier sur les « chambres à gaz », « détail de l’histoire », le Parti se déchire au rythme d’un drame familial, pas forcément joué d’avance.
Marine Le Pen a annoncé jeudi qu’elle prônait l’interdiction des prêches en arabe dans les mosquées françaises, afin de « se rendre compte plus facilement des propos qui sont tenus ». Problème : sauf à changer la Constitution et la Convention européenne des droits de l’Homme, c’est tout simplement impossible.
Plusieurs personnalités africaines soutiennent Marine Le Pen pour la présidentielle française d’avril 2012. Surprenant ? Pas tant que ça. Car il s’agit avant tout d’une histoire d’intérêts bien – ou mal – compris.
Rompant avec le national-libéralisme de son père, Marine Le Pen amorce en matière économique un virage risqué pour le Front national : antimondialiste, protectionniste, ouvriériste et parfois presque gauchiste.
Immigration, politique familiale, sécurité… Excepté au niveau économique, Marine Le Pen se situe à quelques nuances près dans le droit fil de son père Jean-Marie. Petite piqûre de rappel.
La candidate du Front national à l’élection présidentielle française, Marine Le Pen, est formelle : elle se rendra bien en Afrique francophone subsaharienne dans le cadre de sa campagne.
Printemps arabe, immigration, conflit israélo-palestinien, Françafrique… Invitée à déjeuner par l’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (Afacom), le 9 novembre, Marine le Pen s’est livrée à son sport favori : rassurer et tenter de séduire ceux qui, a priori, lui sont opposés. Morceaux choisis.
L’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (Afacom) a invité Marine Le Pen à dîner, le 9 novembre. Ce que la candidate du Front national à l’élection présidentielle de 2012 a accepté avec joie.
Si Marine Le Pen est bien la fille de son père, elle s’en sépare sur un point capital : elle veut le pouvoir. À tout prix. En ce sens, elle n’est pas sans rappeler un certain Nicolas Sarkozy. Oui, oui, l’homme qui, en 2007, faillit avoir la peau du Front national…
La montée en puissance dans les sondages du Front national, habilement relooké par Marine, l’héritière du clan Le Pen, suscite un début de panique. À droite comme à gauche.