Bechir Ben Barka dénonce que la France ait suspendue des mandats d’arrêt dans le cadre de la disparition de son père Mehdi. Son avocat, confiant, estime cependant que l’enquête pourrait reprendre « d’ici quelques semaines ».
Deux ans après leur signature par le juge enquêtant sur la disparition de l’opposant marocain Mehdi Ben Barka en 1965 à Paris, quatre mandats d’arrêt internationaux, visant notamment le chef de la gendarmerie marocaine, ont été diffusés ces derniers jours par Interpol.
Marcel Le Roy dit Finville, agent secret français mis en cause dans l’affaire Ben Barka, est décédé vendredi à l’âge de 89 ans, a annoncé mercredi sa famille dans le Figaro.
Au Maroc, d’un règne à l’autre, la vie politique tourne toujours autour de deux pôles : la monarchie et les partis issus du « Mouvement national ». Mais, comme on l’a vu avec la formation du gouvernement de Abbas El-Fassi, les vertus et les qualités polit
L’hebdomadaire français L’Express le révèle : l’ancien leader tiers-mondiste « disparu » en 1965 était un agent de l’Est dûment rémunéré. Les faits rapportés sont peu discutables. Leur interprétation beaucoup plus.
Ancien militant maoïste détenu pendant plus de douze ans à la prison de Kénitra, il succède à Driss Benzekri, récemment décédé, à la tête du Conseil consultatif des droits de l’homme (CCDH). Interview.
Quarante ans après la répression sanglante d’une manifestation à Casablanca, nombre de questions demeurent sur la responsabilité des acteurs politiques de l’époque.
En décembre 1981, un mystérieux correspondant raconte anonymement à l’historien Alain Decaux sa participation à l’escamotage de la dépouille de l’opposant marocain enlevé en 1965, à Paris. Oublié depuis dans un tiroir, ce document capital est ici publié p
Figure respectée de la vie politique chérifienne, l’ancien Premier ministre socialiste de Hassan II et de Mohammed VI a décidé de quitter la tête de son parti. Et de se désengager « de toutes les tâches s’y rapportant ».