Au Maroc, d’un règne à l’autre, la vie politique tourne toujours autour de deux pôles : la monarchie et les partis issus du « Mouvement national ». Mais, comme on l’a vu avec la formation du gouvernement de Abbas El-Fassi, les vertus et les qualités polit
L’hebdomadaire français L’Express le révèle : l’ancien leader tiers-mondiste « disparu » en 1965 était un agent de l’Est dûment rémunéré. Les faits rapportés sont peu discutables. Leur interprétation beaucoup plus.
Ancien militant maoïste détenu pendant plus de douze ans à la prison de Kénitra, il succède à Driss Benzekri, récemment décédé, à la tête du Conseil consultatif des droits de l’homme (CCDH). Interview.
Quarante ans après la répression sanglante d’une manifestation à Casablanca, nombre de questions demeurent sur la responsabilité des acteurs politiques de l’époque.
En décembre 1981, un mystérieux correspondant raconte anonymement à l’historien Alain Decaux sa participation à l’escamotage de la dépouille de l’opposant marocain enlevé en 1965, à Paris. Oublié depuis dans un tiroir, ce document capital est ici publié p
Figure respectée de la vie politique chérifienne, l’ancien Premier ministre socialiste de Hassan II et de Mohammed VI a décidé de quitter la tête de son parti. Et de se désengager « de toutes les tâches s’y rapportant ».