La secrétaire générale sortante de la Francophonie, Michaëlle Jean, qui cédera à la fin de l’année son poste à Louise Mushikiwabo, a fait ses adieux aux membres de son cabinet, qui seront en congé dès le 31 décembre. Michaëlle Jean, elle, prendra d’abord « du repos ».
Michaëlle Jean, qui quittera la tête de l’OIF en janvier, a appelé le 8 novembre à « suivre avec la plus grande attention le procès intenté au Rwanda contre l’activiste en faveur de la liberté d’expression Diane Rwigara ». Une déclaration qui, au lendemain des réquisitions contre l’opposante, est interprétée à Kigali comme une conséquence de la défaite de la Canadienne à Erevan.
Tout aura été tenté auprès de Michaëlle Jean, la secrétaire générale sortante de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), pour qu’elle retire sa candidature avant le sommet d’Erevan, durant lequel Louise Mushikiwabo a été élue.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a été désignée secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour un mandat de quatre ans par les chefs d’État et de gouvernement réunis lors du sommet d’Erevan. Elle prendra ses fonctions le 3 janvier.
Deux visions divergentes se sont exprimées lors de la cérémonie d’ouverture du XVIIe sommet de la Francophonie. Le Français Emmanuel Macron veut un espace où « personne n’a de leçon à donner ». La secrétaire générale sortante, Michaëlle Jean, a pour sa part estimé « qu’une organisation qui ruse avec ses valeurs et ses principes est déjà moribonde ».
Élection de la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), participation des chefs d’État et étude des demandes d’adhésion à l’organisation : le point sur les trois sujets à surveiller lors du XVIIe sommet de la Francophonie, qui se tient jusqu’au 12 octobre à Erevan, en Arménie.
En préambule du Sommet de la Francophonie d’Erevan, les ministres des Affaires étrangères de l’organisation se sont mis d’accord pour ouvrir deux nouveaux bureaux régionaux, à Tunis et Beyrouth.
Le gouvernements du Canada et du Québec ont annoncé mardi qu’ils se rallieraient au « consensus » en faveur de la candidature de la Rwandaise Louise Mushikiwabo à la tête de l’OIF.
Le soutien du président français à la candidature de Louise Mushikiwabo a surpris. De l’option africaine voulue par Emmanuel Macron au choix de la ministre rwandaise des Affaires étrangères, retour sur plusieurs mois de tractations diplomatiques.
Qui, de Michaëlle Jean, la sortante, ou de Louise Mushikiwabo, la grande favorite, sera élue secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) à l’issue du sommet d’Erevan, en Arménie, le 12 octobre ?
La secrétaire générale sortante aborde l’élection en position d’outsider. Seul un ferme veto de ses partisans visant sa rivale pourrait lui permettre d’obtenir un second mandat.
Fière de son bilan, attachée à une Francophonie politique, porteuse de « valeurs universelles », la Canadienne fourbit ses armes à la veille du sommet de l’OIF, à Erevan. Non sans égratigner au passage l’« inélégance » du président français Emmanuel Macron et le « relativisme » de sa rivale, la Rwandaise Louise Mushikiwabo.
En marge de l’Assemblée générale des Nations unies qui vient de se clore à New York, Michaëlle Jean, soutenue par le Canada, et Louise Mushikiwabo, qui peut notamment compter sur la France et l’UA, ont rivalisé en coulisses à quelques jours du prochain sommet de l’OIF.
On saura le 12 octobre, à Erevan, si Louise Mushikiwabo succédera à Michaëlle Jean à la tête de l’OIF. Alors que s’ouvre l’assemblée générale de l’ONU, rendez-vous crucial pour les deux concurrentes, la ministre rwandaise des Affaires étrangères s’est confiée à Jeune Afrique.
Tandis que la ministre rwandaise des Affaires étrangères sillonne les pays membres de l’OIF pour récolter les soutiens, la secrétaire générale sortante opte pour une stratégie plus feutrée à l’approche du sommet d’Erevan.
Le match entre la Rwandaise Louise Mushikiwabo et la Canadienne Michaëlle Jean aura-t-il lieu ? Tandis que plusieurs dirigeants africains espèrent un forfait du Canada, l’entourage de la secrétaire générale de l‘OIF assure qu’elle ne jettera pas l’éponge.
Dans le cadre de sa tournée, Louise Mushikiwabo, candidate au poste de Secrétaire général de l’OIF, devrait en août sillonner d’autres pays membres de l’Organisation, notamment en Europe centrale et en Asie du Sud-Est.
Jovenel Moïse, le président haïtien, a adressé le 2 juillet une lettre à Emmanuel Macron, dont JA a obtenu une copie, dans laquelle il « sollicite le soutien » de la France pour la candidature de Michaëlle Jean à la tête de l’OIF.
La candidature de la ministre rwandaise des Affaires étrangères Louise Mushikiwabo, qui vise le poste de secrétaire général de l’OIF, a reçu le soutien officiel du Comité des candidatures de l’UA. Aucun autre État africain n’a présenté de personnalité face à la Canadienne Michaëlle Jean.
Parmi ses soutiens, l’actuelle secrétaire générale de l’OIF compte notamment Justin Trudeau, Premier ministre canadien, et Christine St-Pierre, ministre québécoise des Relations internationales.
Candidate au secrétariat général de l’OIF, Louise Mushikiwabo aura toute latitude pour faire campagne au sommet de l’UA, les 1er et 2 juillet, à Nouakchott.
Quelles personnalités accompagnaient le président rwandais Paul Kagame lors de sa visite à Paris les 23 et 24 mai dernier ? À quel hôtel sa délégation était-elle installée ? Pour quelles raisons s’était-il entretenu avec Michaëlle Jean, la secrétaire générale de l’OIF, avant son arrivée à Paris ? Retour sur cette « visite de travail » de 48 heures.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, est fortement pressentie pour présenter sa candidature à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), en octobre, face à Michaëlle Jean. Un scénario soutenu par l’Elysée.
Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) depuis trois ans, la Canadienne d’origine haïtienne briguera au mois d’octobre un nouveau mandat. En attendant, elle s’est confiée à Jeune Afrique.
Président de la Confédération helvétique en 2003 et en 2008, envoyé spécial de l’Organisation internationale de la francophonie pour la région des Grands Lacs depuis, Pascal Couchepin évoque pour de Jeune Afrique les relations qu’entretiennent la Suisse et le continent africain.
La cheffe de la francophonie, Michaëlle Jean, a jugé samedi « indigne » et « offensant » que le président américain Donald Trump qualifie de « pays de merde » Haïti et les nations africaines, un propos qui a suscité un déluge de condamnations à travers le monde.
La secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie, Michaëlle Jean, sollicitera un deuxième mandat en octobre 2018,au sein d’une institution où elle a encore du mal à s’affirmer.
Le président français semble avoir « mis de côté » l’organisation mondiale de la francophonie. Depuis la prise de fonction d’Emmanuel Macron à la tête de la France, l’institut est très peu sollicité lors de la réalisation, de différents projets en rapport avec la Francophonie.