Michel Djotodia est un militaire et homme politique centrafricain. Membre de l’UFDR (Union des forces démocratiques pour le rassemblement) et de la Seleka (coalition de partis politiques et de forces rebelles formée en 2012 contre le président Bozizé), il devient président de la république en mars 2013 et démissionne en janvier 2014, suite à quoi il se réfugie au Bénin.
Alors que les résultats, contestés, du référendum constitutionnel viennent d’être officialisés, les tractations battent leur plein dans l’entourage de Faustin-Archange Touadéra pour l’attribution de la primature, de la vice-présidence et de la présidence de l’Assemblée nationale.
Dix ans jour pour jour après la chute de François Bozizé, le 24 mars 2013, Jeune Afrique vous propose le récit de l’offensive éclair de la rébellion sur Bangui et la fuite éperdue du président centrafricain jusqu’au Cameroun.
Après les candidats à la présidentielle François Bozizé, Martin Ziguélé et Anicet Georges Dologuélé, le chef de l’État Faustin-Archange Touadera organisera son congrès du 24 au 26 septembre. Avec le plus grand nombre possible de partenaires étrangers.
De retour à Bangui à trois mois de la présidentielle, Michel Djotodia a lancé sa campagne de la « réconciliation ». Un programme de rencontres avec les forces en présence élaboré en lien avec le président Touadéra…
L’ancien président centrafricain Michel Djotodia a atterri vendredi 10 janvier au matin à l’aéroport de Bangui, en provenance de Cotonou, au Bénin. Il y vivait en exil depuis sa chute, en 2014.
L’accord politique pour la paix et la réconciliation paraphé le 6 février à Bangui prévoit « l’adoption d’une loi sur le statut des anciens chefs d’État ».
Accusé par le journaliste Maurice Wilfried Sebiro d’avoir financé et soutenu la Séléka, Crépin Mboli-Goumba, l’ancien ministre d’État aux Travaux publics de Michel Djotodia, a porté plainte pour diffamation et incitation à la haine.
L’ex-président centrafricain a rencontré des représentants russes, fin mars, lors d’un passage à Cotonou. Au menu des discussions : l’accès à des mines non contrôlées par le gouvernement centrafricain.
Depuis son élection en février 2016, à la tête du pays, le président Centrafricain peine à résoudre la situation de crise sécuritaire, économique et sociale qui frappe le pays. Pour faire face, cet ancien Premier ministre du président déchu François Bozizé entend resserrer les rangs. Six hommes composent son premier cercle, vieux compagnons ou membres de sa famille.
Une nouvelle fois, des ex-Séléka puissants sont placés à des postes stratégiques à Bangui. Le décret publié ce mercredi 11 octobre par la présidence annonce l’arrivée de deux cadres de l’ancienne rébellion au sein du cabinet du Faustin-Archange Touadéra.
Dans son essai intitulé « Oubangui-Chari, le pays qui n’existait pas », le journaliste français Jean-Pierre Tuquoi revient sur l’histoire tourmentée de la nation centrafricaine, ballotté depuis des années d’un coup d’État à un autre.
Le gouvernement centrafricain est remanié. Si l’équipe de « Sandjari 2 » n’est pas fondamentalement différente de la première, deux arrivées sont relevées.
Le président de l’Assemblée nationale centrafricaine revient pour Jeune Afrique sur les récentes violences survenues dans le pays, notamment à Bangassou, et met les choses au clair concernant les rumeurs qui circulent à Bangui sur l’ancien président de la République.
Particulièrement inquiètes des intentions belliqueuses de Noureddine Adam, les autorités centrafricaines ont demandé à l’ancien président Michel Djotodia, toujours en exil au Bénin, de tenter de le raisonner.
Bannis de leur propre pays, ils continuent de rêver au fauteuil présidentiel, comme l’ont fait avant eux Alexis Sinduhije au Burundi ou Gilchrist Olympio au Togo. Gros plan sur ces exilés qui se voient chefs d’État.
Vous en connaissez certains. Vous en avez certainement oublié d’autres. Alors que le sort de Gilbert Diendéré pose question au Burkina, Jeune Afrique se penche sur le destin des leaders des coups d’État de ces dix dernières années.
Censé regrouper toutes les parties impliquées dans la crise centrafricaine, le forum de Bangui se déroulera du 27 avril au 4 mai dans la capitale centrafricaine. La grande inconnue concerne la présence des deux anciens présidents François Bozizé et Michel Djotodia.
L’ancien chef de la défunte Séléka cherche à rallier d’anciens soutiens dans la perspective de faire son grand retour en Centrafrique. Sans grand succès.
Michel Djotodia et François Bozizé s’apprêtent à signer, mercredi ou jeudi, une déclaration commune dans laquelle les deux anciens présidents centrafricains assurent s’inscrire dans le processus lancé à Brazzaville en juillet dernier. Une reconnaissance implicite des autorités actuelles de transition, dont « Jeune Afrique » s’est procuré le texte en exclusivité.
Les experts des Nations unies sur la Centrafrique ont demandé au Conseil de sécurité de sanctionner une dizaine de personnalités dont l’ancien président Michel Djotodia. Tous verraient alors leurs avoirs financiers bloqués et seraient interdits de voyager.
L’ancien chef de la Séléka et ex-président centrafricain Michel Djotodia pourrait apporter sa contribution au processus de sortie de crise en Centrafrique. Une délégation du gouvernement de transition s’est rendue au Bénin pour le rencontrer.
Toujours en exil à Cotonou, l’ancien président centrafricain Michel Djotodia a été réélu le 11 juillet à la tête de l’ex-Séléka. Comment interpréter ce retour surprise ? « Jeune Afrique » répond en cinq points.
L’ex-président centrafricain Michel Djotodia, qui dirigeait la coalition rebelle Séléka qui l’a porté au pouvoir en mars 2013, a été reconduit à la tête du mouvement à l’issue d’une assemblée générale à Birao, dans le nord du pays.
Exilé au Bénin, l’ex-président centrafricain, Michel Djotodia, s’est bien adapté à sa nouvelle vie et joue les gentlemen-farmers. Mais la Cour pénale internationale pourrait mettre fin à cette paisible retraite…
Comme François Bozizé, il y a un peu moins d’un an, l’ex-président centrafricain de la transition va s’exiler à Cotonou au Bénin, a-t-on appris samedi.
L’ex-chef de la rébellion Séléka Michel Djotodia a démissionné vendredi de son poste de président de la transition centrafricaine. Le Premier ministre Nicolas Tiangaye quitte également ses fonctions.