Si la capitale fait toujours rêver, les retards accumulés dans sa stratégie de développement attisent les passions. Voyage au cœur d’une agglomération à la recherche du temps perdu.
Le journaliste et écrivain sud-africain Lewis Nkosi, qui avait accompagné la lutte contre le régime de l’apartheid, s’est éteint le 5 septembre à Johannesburg.
Loin de se limiter à la world, la musique sud-africaine ancrée dans l’univers urbain bouillonne et les groupes, dont une dizaine sont invités au festival rock du Printemps de Bourges (centre de la France), espèrent profiter de l’éclairage apporté sur leur pays par le Mondial de football.
Disparu le 28 décembre dernier, dix ans après son illustre père, il servit son pays avec panache sans jamais se comporter en « fils de » et laisse le souvenir d’un homme d’une intégrité morale peu commune.
Toujours engagée, la chanteuse béninoise sort un nouvel album, intitulé Oyo. D’un éclectisme triomphant, il reflète les coups de cœur de ses jeunes années.
Cesaria Evora, Youssou N’Dour, Salif Keita, Kassav’, des centaines de plasticiens et de danseurs… le Festival panafricain de la culture s’annonce riche et varié.
Quarante ans après avoir abrité le premier Festival panafricain de la culture, Alger retrouve ses pulsions africaines et s’apprête à organiser, du 5 au 20 juillet, la seconde édition.
La radio algérienne a rendu un hommage à la chanteuse sud-africaine, Miriam Makeba (1932-2008), décédée le mois de novembre dernier, en organisant lundi soir à Alger, un spectacle en présence de plusieurs personnalités dont l’ambassadeur d’Afrique du Sud en Algérie, M. Mzuvukile Maqetuka.
Les Algériens cultivent une certaine nostalgie des « années Boum » (1965-1978), dont ils ne veulent retenir que les aspects positifs, convaincus que le règne du président du Conseil de la révolution a été d’abord celui de la dignité retrouvée.
Juste après avoir donné un concert contre la mafia et le racisme, « Mama Africa » est décédée dans la nuit du 9 au 10 novembre. Retour sur une grande voix de la chanson africaine.
À 73 ans, Miriam Makeba entame une ultime tournée mondiale qui lui permettra de faire ses adieux dans chacun des pays qu’elle a connus au long de sa carrière.
Là où les Occidentaux voient un continent plombé par les guerres et la corruption, des pays en quasi-faillite, les Africains trouvent des nations en construction. Et affichent une confiance inattendue.