Six ans après avoir été visée par une campagne hostile sur les réseaux sociaux, la société Les Eaux minérales d’Oulmès, filiale du géant marocain Holmarcom, dirigé par Mohamed Hassan Bensalah, se retrouve malgré elle au cœur d’une polémique.
Situation des PME, représentativité de la CGEM, nouveau modèle de développement, politique des grands chantiers… L’économiste et homme d’affaires marocain répond sans langue de bois aux questions de Jeune Afrique.
Au Maroc, un « fils ou fille de » qui tente de percer dans l’art, cela ressemble souvent à un cliché. Mais dans le cas de ces trois personnalités, on est bien au-delà du simple passe-temps. Peintres ou producteur, ils ont su s’imposer loin du pré carré familial.
Ils s’appellent Akhannouch, Benjelloun, Azoulay, Aouita… Enfants de célébrités du monde des affaires, de la politique ou du sport, ils semblaient destinés à marcher dans les pas de leurs parents. Pourtant, ils ont choisi des chemins différents.
Quand il avait annoncé son retrait, en 2019, beaucoup pensaient ne plus revoir l’ancien dirigeant du PAM et patron de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceïma. Le voici qui réapparaît dans les médias, mais sans préciser ses intentions.
Du Maroc à la France en passant par l’Afrique subsaharienne, les pays du Golfe et Israël, le PDG de Holmarcom possède un puissant réseau. Et pas uniquement dans les milieux d’affaires.
Le groupe des Eaux minérales d’Oulmès a connu une année difficile en 2018 à la suite du mouvement de boycott dont la marque phare Sidi Ali a été la victime. L’ensemble des agrégats financiers sont en baisse.
Ils seront seulement 6% d’Africains parmi les 150 chefs d’entreprises attendus au sommet « Choose France ! », porté par le président français Emmanuel Macron. Et parmi eux, les Nigérians se taillent la part du lion.
La société des Eaux minérales d’Oulmès affiche un recul de ses ventes de 17,8 % au cours des six premiers mois de l’année 2018, d’après les chiffres rendus publics le 20 septembre. Une conséquence de la campagne de boycott entamée en avril contre la filiale du groupe de la famille Bensalah.
Après l’annonce par Centrale Danone d’une réduction conséquente de ses achats, en conséquence du boycott que subit l’entreprise depuis plus d’un mois, le gouvernement a appelé à l’arrêt du boycott.
Le lait de Centrale Danone, l’eau minérale Sidi Ali et le carburant des stations Afriquia… Depuis quelques jours, ces trois marques sont victimes d’un boycott lancé sur les réseaux sociaux. Ce mouvement qui surfe sur des thématiques de défense des consommateurs fait réagir les cercles politiques et économiques.
La Confédération patronale marocaine, qui publie un rapport choc sur l’ampleur du secteur informel dans le royaume, présente plusieurs pistes pour intégrer ce secteur à l’économie formelle. Synthèse.
Le 12 mai, celle qui a été la première femme présidente des chefs d’entreprise marocains quittera un poste qu’elle a profondément marqué de son empreinte.
Elle a été la première femme à devenir présidente de l’organisation patronale marocaine. Le dépôt de candidatures pour la succession de Miriem Bensalah Chaqroun s’ouvre ce lundi. Alors que l’élection du prochain patron des patrons marocains est prévue le 22 mai, les deux mandats de l’administratrice d’Holmarcom laisseront certainement une empreinte.