Le Congrès national africain (ANC) semblait assuré de remporter les élections législatives selon des résultats provisoires jeudi mais avec un score en net recul qui va compliquer la tâche du président Cyril Ramaphosa pour réformer le pays.
Un quart de siècle après la fin de l’apartheid, la question raciale est encore marqueur politique fort entre les trois principaux partis sud-africains.
Le chef du principal parti de l’opposition en Afrique du Sud, Mmusi Maimane, a appelé samedi à « donner une chance au changement » lors des élections générales de mercredi, dans un pays dirigé depuis un quart de siècle par le Congrès national africain (ANC).
Les internautes ont vivement réagi jeudi sur les réseaux sociaux après une série de tweets de Helen Zille, l’ex-patronne du principal parti d’opposition en Afrique du Sud, qui défendaient les aspects positifs du colonialisme.
Mmusi Maimane est jeune et ambitieux. Son style et ses slogans rappellent furieusement ceux du président américain… Et sous sa houlette, l’Alliance démocratique vient d’infliger un revers historique à l’ANC.
La campagne pour les élections municipales du 3 août a été émaillée de violences et de règlements de comptes qui mettent en lumière les dérives et les faiblesses de l’ANC, au pouvoir depuis la fin de l’apartheid.
Les Sud-Africains sont convoqués mercredi pour les élections municipales. Un scrutin aux allures de test pour le Congrès national africain (ANC), le parti au pouvoir, puisque l’opposition est donnée en tête dans plusieurs grandes villes du pays, une situation inédite depuis la la fin de l’apartheid en 1994.
À l’approche du scrutin municipal, prévu le 3 août, les deux rivaux s’affrontent sur le terrain de la question raciale et de l’héritage du père spirituel de la nation. Le Congrès national africain (ANC), le parti au pouvoir, n’a pas supporté que l’Alliance démocratique (DA), son opposante, se réclame de Mandela.
Le parquet sud-africain a annoncé lundi qu’il n’était pas favorable au rétablissement des quelques 800 chefs d’inculpation de corruption contre le président Zuma dans une affaire de contrat d’armement, demandé fin avril par un tribunal de la capitale.
La Cour constitutionnelle sud-africaine a ordonné jeudi au président Jacob Zuma de rembourser sous 45 jours une partie des frais engendrés par la rénovation de sa propriété privée de Nkandla.
Les Hawks (« faucons » en anglais), une unité spéciale de police chargée de combattre la corruption et le crime organisé, va enquêter sur les accusations qui pèsent contre le clan Zuma et la famille Gupta, dans l’affaire du Guptagate, a confirmé le porte-parole mercredi.
La police sud-africaine a dispersé jeudi, à coups de grenades assourdissantes, des manifestants rassemblés à proximité du parlement au Cap qui appelaient à la démission du chef de l’État.
Véritable boulet de la présidence de Jacob Zuma, le scandale sur la résidence privée du chef de l’État sud-africain est porté devant la Cour constitutionnelle, ce mardi.
Le parti au pouvoir en Afrique du Sud a porté plainte mardi contre Penny Sparrow, une agente immobilière blanche qui a comparé sur Facebook ses compatriotes noirs à des singes. Des propos qui ont suscité un tollé dans ce pays meurtri par des décennies d’apartheid.
Jacob Zuma touche une rémunération supérieure à celle de David Cameron ou de François Hollande. De quoi ulcérer bien des Sud-Africains. Mais, au moins, eux savent précisément combien gagne leur président.
Qu’il doit lui paraître long, ce deuxième mandat ! Conspué à l’Assemblée, accusé de corruption et empêtré dans plusieurs scandales, Jacob Zuma doit en plus affronter une opposition revigorée.
Jacob Zuma, accusé d’avoir agrandi sa luxueuse résidence privée aux frais des contribuables, a finalement été blanchi jeudi par son propre ministre de la Police. Le président sud-africain n’a donc rien à rembourser à l’État.
À 34 ans, ce chef d’entreprise devient le premier dirigeant noir de l’Alliance démocratique, parti considéré jusque-là comme « trop blanc ». Cela suffira-t-il à ébranler la suprématie de l’ANC ?
À 34 ans, Mmusi Maimane a été élu dimanche à la tête de l’Alliance démocratique (DA), première force d’opposition en Afrique du Sud et considérée par le pouvoir comme un « parti blanc ». Une ascension fulgurante pour un jeune homme parti de Soweto. Mais qui est-il vraiment ?
L’Alliance démocratique (DA), le principal mouvement de l’opposition en Afrique du Sud, a pour la première fois porté un Noir à sa tête dimanche, en la personne de Mmusi Maimane, le président de son groupe à l’Assemblée nationale sud-africaine.
L’Alliance démocratique (DA), la principale formation de l’opposition en Afrique du Sud, devrait désigner un jeune Noir à sa tête ce week-end, une étape symbolique pour changer son image de « parti de Blancs » et peser face à la toute-puissance de l’ANC au pouvoir.
Après 8 ans à la tête du principal parti d’opposition en Afrique du Sud, Helen Zille tire sa révérence. L’adversaire coriace de Jacob Zuma ne sera pas candidate lors des élections de l’Alliance démocratique le mois prochain.
À l’occasion des élections nationales et provinciales du 7 mai prochain en Afrique du Sud, Jeune Afrique dresse le panorama des différents acteurs de ce scrutin qui débouchera sur l’élection du président au suffrage indirect.
À 33 ans, Mmusi Maimane est l’une des figures montantes de l’Alliance démocratique (DA), le principal parti d’opposition sud-africain. Candidat aux élections provinciales du 7 mai dans la région de Johannesburg, il espère infliger un important revers à l’ANC, ce qui lui ouvrirait la route de la présidentielle.