Le célèbre homme d’affaires soudanais vient de prendre une participation minoritaire dans l’un des plus grands réseaux d’écoles privées du Maroc, afin de l’accompagner dans son expansion et améliorer la qualité de son enseignement.
Réformes radicales, répression de l’opposition, lutte contre le terrorisme… Le Premier ministre égyptien dresse le bilan de son action, deux ans après la destitution de l’ancien président islamiste Mohamed Morsi.
de sa première année aux commandes de la « nouvelle Égypte ».
Doté de 75 milliards de dollars d’actifs, l’américain TPG s’associe avec Satya Capital, la société d’investissement fondée par Mo Ibrahim, pour investir un milliard de dollars en Afrique.
Le président namibien Hifikepunye Pohamba, qui doit céder sa place d’ici la fin du mois à son successeur, a remporté jeudi le prix de la Fondation Mo Ibrahim pour la bonne gouvernance en Afrique.
Les femmes puissantes sont de plus en plus nombreuses sur le continent. Voici notre sélection – forcément subjective – des 50 Africaines les plus influentes au monde.
La Fondation Mo Ibrahim, qui a passé au crible 52 pays africains, peint un tableau contrasté qui invite à la vigilance. Oui, le continent fait des progrès indéniables. Mais, même chez les meilleurs élèves, les acquis restent fragiles.
La fondation Mo Ibrahim a publié, lundi 29 septembre, son indice annuel sur la gouvernance en Afrique. Bilan : l’Afrique progresse globalement, notamment grâce aux questions des droits de l’homme et de la participation du citoyen à la politique, malgré un ralentissement des performances économiques.
Ils s’appellent Patrice Motsepe, Mo Ibrahim ou Tony Elumelu… Encouragés par leurs homologues occidentaux, les milliardaires du continent n’hésitent plus à consacrer une partie de leur richesse à des actions de charité.
Africa CEO Forum vient de sortir un livre blanc intitulé « L’entreprise, moteur de la croissance africaine ». Publié en préambule au lancement de l’édition 2015 de cet événement, ce document a pour objectif de faire partager au plus grand nombre les thèmes d’actualité débattus durant les précédentes éditions de ce rendez-vous annuel des décideurs du continent.
La fondation du milliardaire anglo-soudanais a publié son palmarès 2013 de la bonne gouvernance en Afrique. Mais, pour la quatrième fois en sept ans, aucun ancien dirigeant n’a été distingué. Les membres du jury placent-ils la barre trop haut ?
La Fondation Mo Ibrahim a publié, lundi 14 octobre, son indice annuel sur la gouvernance en Afrique. Une analyse des performances en termes de politique, de sécurité, d’économie, de droits de l’homme ou encore de santé, qui permet de tirer une conclusion : l’Afrique progresse, mais les écarts sont de plus en plus importants. D’autre part, le Prix Mo Ibrahim, censé récompenser l’excellence d’un ancien dirigeant africain en matière de gouvernance, n’a pas été décerné.
Alors que la crise pèse sur l’aide publique au développement, de nouvelles organisations de bienfaisance émergent. Fortes de leurs moyens financiers, ces fondations privées exercent une influence croissante sur l’agenda des pays où elles interviennent, hors de tout contrôle politique.
En progrès mais peut, incontestablement, mieux faire. Telle est la mention qui accompagnerait l’indice Mo Ibrahim, s’il n’était qu’un simple bulletin de notes pour le continent. Avec de bons résultats en termes d’économie, l’Afrique avance. Mais de gros « bémols » demeurent, notamment dans la participation citoyenne et les droits de l’Homme.
Le prix Mo Ibrahim reste une nouvelle fois sans lauréat en 2012. Comme en 2009 et 2010, les membres du jury ont estimé, lundi 15 octobre, qu’aucun ancien président africain ne remplissait les critères d’ »excellence » requis.
L’édition 2012 de l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique confirme la tendance générale à l’amélioration de la gouvernance sur le continent africain, mais laisse percevoir quelques évolutions préoccupantes chez certaines grandes puissances régionales.
L’ancien président du Cap-Vert Pedro Pires a reçu le prix de la fondation du milliardaire soudanais Mo Ibrahim, qui récompense un chef d’État africain ayant quitté le pouvoir démocratiquement. Faute de candidats, il n’était pas attribué depuis deux ans.
Le 10 octobre, à Londres, la Fondation Mo Ibrahim a rendu public son palmarès 2011 pour l’Afrique. Et remis son prix pour la bonne gouvernance, qui n’avait pas eu de lauréat en 2009 et 2010, à l’ex-président du Cap-Vert Pedro Pires.
Mo Ibrahim, ex-homme d’affaires britannique d’origine soudanaise, croit dur comme fer aux révolutions arabes. Il était fin juillet en Tunisie, où il organisera le forum annuel de sa fondation, du 11 au 13 novembre.
Notoriété, aptitude à peser sur le jeu diplomatique, poids économique, rayonnement moral ou culturel… « Jeune Afrique » désigne les hommes et femmes de la société civile les plus influents du continent.
D’après le classement 2010 de la fondation Mo Ibrahim, de nombreux pays africains connaissent des « avancées » en matière de développement économique et humain. Mais dans certains pays, l’État de droit recule.
Le comité chargé de décerner le prix Mo Ibrahim de la bonne gouvernance en Afrique a annoncé lundi à Londres qu’il n’avait pas trouvé de lauréat cette année malgré de longues délibérations.