Mohamed Bazoum, né en 1960 à Bilabrine au Niger, est un homme politique nigérien et membre de longue date du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS-Tarayya). Il a occupé plusieurs postes ministériels, notamment ceux des Affaires étrangères et de l’Intérieur, avant de devenir le candidat du parti pour l’élection présidentielle de 2021. Élu président en février 2021, il devient le premier chef d’État du Niger issu d’une succession démocratique. Sa présidence est marquée par des défis majeurs en matière de sécurité, notamment face aux menaces des groupes terroristes au Sahel. En juillet 2023, il est renversé par un coup d’État militaire. Il refuse de signer sa démission et est gardé en otage par la junte dans sa résidence présidentielle.
Comme le prévoit la Constitution, le chef de l’État Mahamadou Issoufou ne se représentera pas en 2021, mais il a déjà désigné son dauphin. À ses détracteurs, qui lui reprochent d’avoir sacrifié le développement économique au profit des dépenses sécuritaires, il oppose un bilan positif dont il s’enorgueillit.
Le président nigérien Mahamadou Issoufou a décidé de quitter le pouvoir en avril 2021, adoubant pour lui succéder son ministre de l’Intérieur Mohamed Bazoum. Une sagesse assez rare sur le continent pour être saluée.
Le ministre de l’Intérieur, candidat du parti de Mahamadou Issoufou pour la présidentielle 2021, a deux axes stratégiques : mettre le parti en ordre de marche et apparaître comme le successeur naturel de l’actuel président nigérien.
Une « attaque terroriste » contre la prison de haute sécurité de Koutoukalé, au nord de Niamey, a été repoussée lundi par la garde nationale nigérienne. Un membre des forces de sécurité a été tué dans d’« intenses combats » avec un groupe d’assaillants « lourdement armés ».
Moustapha Dicko, Simon Compaoré, Pascal Affi N’Guessan… Nombre de personnalités étaient conviées fin mars à la cérémonie d’investiture de Mohamed Bazoum, le candidat du PNDS à la présidentielle de 2021.
Mohamed Bazoum, le puissant ministre nigérien de l’Intérieur, a été investi dimanche candidat du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS, au pouvoir) à la présidentielle de 2021 et à laquelle l’actuel président Mahamadou Issoufou ne se présentera pas.
Compagnon de route de Mahamadou Issoufou depuis plus de trente ans, le ministre de l’Intérieur doit être désigné, le 31 mars, candidat à sa succession pour la présidentielle de 2021.
Mohamed Bazoum serait-il le principal bénéficiaire du camouflet politique infligé à Massaoudou ? Le ministre de l’Intérieur se garde bien de s’exprimer officiellement sur la situation.
Le Conseil national de dialogue politique (CNDP) a adopté le 24 janvier le nouveau code électoral au Niger, en l’absence de l’opposition politique, qui avait refusé de siéger. Celui-ci doit être utilisé pour la première fois pour les locales, prévues en 2020, et surtout la présidentielle de 2021.
Alliés lorsqu’ils étaient aux côté de Mahamadou Issoufou à l’époque ou celui-ci rêvait de succéder à Mamadou Tandja, les deux hommes s’opposent désormais violemment. Mohammed Bazoum, ministre de l’Intérieur, accuse Ali Idrissa, syndicaliste, d’être « un opposant déguisé en militant de la société civile ». Ce dernier accuse le ministre de dérives autoritaires.
Le ministre nigérien de l’Intérieur, patron du PNDS (au pouvoir), fait figure de présidentiable pour l’élection de 2021. Qui sont les proches sur lesquels il peut compter ?
Mardi 11 juillet, Amnesty International a appelé les autorités du Niger à annuler les charges retenues contre plusieurs journalistes, leaders de la société civile et activistes politiques détenus, selon l’ONG, arbitrairement, et à les libérer sans condition. Le ministre de l’Intérieur du Niger, Mohamed Bazoum, joint le même jour par Jeune Afrique, soutient que chacune des personnes défendues par l’ONG a commis au moins une infraction.
Le 31 mars, Mahamadou Issoufou a déjeuné avec François Hollande à l’Élysée. Le président nigérien, qui souhaitait surtout s’entretenir avec son homologue français de la lutte contre le jihadisme au Sahel, était accompagné à Paris par plusieurs de ses ministres.
Au moins deux soldats ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche lors d’une attaque du groupe Boko Haram contre l’armée nigérienne dans le sud-est du pays, a-t-on appris ce lundi. Cette attaque intervient une semaine après la reddition d’une trentaine de combattants islamistes.
Jean-Marc Ayrault et Frank-Walter Steinmeier, les ministres français et allemand des Affaires étrangères, se sont rendus conjointement à Niamey, le 3 mai.
L’opération « ville morte », organisée par le collectif « Résistance citoyenne », jeudi au Niger, n’a été que très partiellement suivie. Un « échec total » selon les autorités, mais « la lutte ne fait que commencer », rétorquent les organisateurs, qui appellent à manifester samedi.
Mahamadou Issoufou a officialisé lundi, sur proposition de son Premier ministre, la composition du premier gouvernement de son deuxième quinquennat. Ses fidèles y prennent une place de choix à l’Intérieur et à la Défense tandis que des portefeuilles ont également été accordés à ses alliés.
Face à la menace de chaos brandie par l’opposition, le chef de l’État nigérien tout juste réélu prône l’apaisement. Un geste aussi destiné à rassurer la communauté internationale.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Mohamed Bazoum, ministre d’Etat à la présidence, et Hassoumi Massaoudou, ministre de l’Interieur.
Officiellement à Paris du 13 au 20 novembre pour raisons personnelles, Mohamed Bazoum, le président du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS, au pouvoir), en a profité pour rassembler des soutiens à Mahamadou Issoufou en vue de la présidentielle de février 2016.
De passage à Paris, entre autres, pour préparer la campagne présidentielle de Mahamadou Issoufou, Mohamed Bazoum, ministre d’État à la présidence du Niger et président du PNDS (au pouvoir), a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Dans la majorité, dans l’opposition comme dans la société civile, qu’elles soient ou non candidates aux législatives ou à la présidentielle, certaines personnalités
s’imposent. Leurs avis et leurs choix seront déterminants pour l’issue des prochains scrutins. Mohamed Bazoum est ministre dans le gouvernement de Mahamadou Issoufou.
Boko Haram n’est plus en mesure de prendre de ville dans le sud-est du Niger, frontalier du Nigeria, car les islamistes nigérians ont été rendus inopérants par deux mois d’opérations militaires, a affirmé samedi Mohamed Bazoum, ministre d’Etat à la présidence nigérienne.
Mohamed Bazoum, le ministre nigérien des Affaires étrangères, a été promu mercredi ministre d’État à la présidence. Il est remplacé à la tête de la diplomatie nigérienne par Kané Aïchatou Boulama, jusqu’à présent directrice de cabinet du Premier ministre, Brigi Rafini.
Parce qu’un sommet de chefs d’État se déroule aussi en coulisses, voici quelques informations glanées dans les couloirs du siège de l’Union africaine et dans les grands hôtels d’Addis-Abeba.
D’Alassane Ouattara à Boni Yayi, en passant par Ibrahim Boubacar Keïta, Faure Gnassingbé ou Alpha Condé… Tous n’ont pas le même avis sur le départ de Compaoré.
Entre Niamey et le géant français du nucléaire Areva, les négociations sur l’exploitation des mines d’uranium patinent. Pour le ministre nigérien des Affaires étrangères, cette affaire doit se régler d’État à État.
Devant la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, le 14 novembre à Paris, le ministre nigérien des Affaires étrangères, Mohamed Bazoum, s’est exprimé sur la situation au Mali. Et il n’a pas mâché ses mots.