Les perspectives des premières banques du royaume – et poids lourds régionaux en Afrique subsaharienne – se sont améliorées, après une année 2022 de consolidation de la reprise.
Avec les 136 millions d’euros qu’elle compte lever sur le marché obligataire marocain, la filiale d’Al Mada anticipe les changements de règles prudentielles… et intensifie sa quête de relais à l’est du continent.
La première banque marocaine en Afrique, qui a passé le cap des 100 milliards de dirhams (9,2 milliards d’euros) de valorisation à la Bourse de Casablanca, a restructuré son état-major et repensé l’architecture interne en créant de nouvelles entités pour une nouvelle phase de croissance sur le continent. Décryptage.
Deux ans après le rachat de la filiale de Barclays, l’établissement marocain Attijariwafa Bank enregistre des résultats très décevants. Son état-major relativise, assurant que sa stratégie se révélera payante à terme et que l’équilibre financier du groupe n’est pas menacé.
Deux semaines après le crash aérien qui a coûté la vie à 157 personnes, la compagnie d’Addis-Abeba a été choisie comme « champion africain » de l’année, durant l’édition 2019 du Africa CEO Forum. Un « vote de confiance » pour l’entreprise présente dans 40 pays africains, a salué son directeur général.
L’un est PDG de la Banque centrale populaire, l’autre dirige Attijariwafa Bank. Tous deux se livrent une bataille à fleurets mouchetés à coups de nouvelles implantations, au Maroc comme sur le reste du continent.