Réclamant au royaume 2,5 milliards d’euros de dédommagement, le milliardaire saoudien a affirmé avoir été écarté du marché de la distribution d’hydrocarbures à la suite de pressions exercées par le gouvernement marocain voire du Premier ministre Aziz Akhannouch lui-même. Jeune Afrique a eu accès à un témoignage décisif de son ancien associé qui avance le contraire.
Le bureau du Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a annoncé la libération de l’homme d’affaires de 72 ans, arrêté lors de la purge anti-corruption de novembre 2017 en Arabie saoudite.
La première session de l’arbitrage opposant, devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements de Washington, le groupe Corral Petroleum Holdings AB du Saoudo-Éthiopien Mohammed Hussein Al Amoudi et le Maroc s’est tenue le 29 novembre.