Après avoir reçu moins de flux d’investissements que quinze pays africains en 2023, le royaume redresse cette année la barre grâce à des projets stratégiques.
En visite aux Émirats arabes unis, le roi du Maroc est accompagné d’une délégation à forte composante économique, imprimant une couleur très « business » à ce déplacement royal.
États-Unis, Chine, France et Israël continuent d’alimenter l’arsenal militaire marocain. Mais de nouveaux concurrents entrent dans la danse, comme l’Inde et le Brésil, qui proposent des équipements moins onéreux.
En trois mois, plusieurs grands groupes chinois ont annoncé leur intention de s’implanter au Maroc pour y produire des batteries électriques. Si le royaume dispose de nombreux atouts sur ce filon d’avenir, des experts mettent en garde contre « les effets d’annonces ».
Infrastructures, agriculture, engrais, pêche, industrie, santé, énergie… La coopération entre le Maroc et la RDC (actuellement présidente de l’UA) s’étend à de nombreux domaines. Et témoigne de la solidité des liens entre les deux pays, comme le souligne dans cet entretien le ministre marocain délégué aux Affaires africaines.
Si le Maroc est le premier investisseur africain en Afrique de l’Ouest, et le deuxième à l’échelle du continent, lui-même n’attire pas – ou peu – les capitaux africains. Une session a été organisée au CEO Forum pour mieux vendre la destination Maroc aux investisseurs du continent.